Cent rébus littéraires

L'image d'Oscar Wilde est accrochée à notre inconscient : un homme brillant et insolent dont la déchéance fut à la mesure de la célébrité. Cet ouvrage offre un spectacle multiforme où les jubilatoires aphorismes de Wilde alternent avec des extraits de ses pièces, des minutes du procès qui ruina sa vie, ainsi que des témoignages d'artistes qui l'ont rencontré.

Importance d'être Wilde

Dans un décor et un univers musical qui évoquent le cirque et le cabaret, trois comédiens font revivre la rédemption du forçat Jean Valjean, l'obstination du sévère Javert, la monstruosité du couple Thénardier, le calvaire de la pauvre Fantine et les amours triomphantes de l'éclatant Marius et de la belle Cosette...

Misérables

La prose à la fois précise et bon enfant d'Alexandre Vialatte, son intérêt pour tout ce qui respire, marche, nage ou vole, ses passions d'entomologiste et son amour de la zoologie concouraient à la réunion de ces textes. Quant aux illustrations d'Honoré, elles apportent un humour subtil et répondent comme un véritable contrepoint aux textes de Vialatte.
La prose à la fois précise et bon enfant d'Alexandre Vialatte, son intérêt pour tout ce qui respire, marche, nage ou vole, ses passions d'entomologiste et son amour de la zoologie, et surtout les nouvelles " grandes et magnifiques " qu'il ne cesse de nous donner de l'homme " depuis la plus haute antiquité ", tout concourait à la réunion de ces textes, pour la plupart issus du journal auvergnat 
La Montagne. Quant aux illustrations d'Honoré, qui allient les grandes masses noires qui semblent des gravures sur bois à la précision de la technique des " encres ", elles apportent un humour subtil et répondent comme un véritable contrepoint aux textes de Vialatte.

Bestiaire

Dans une lente descente aux enfers, les personnages se mettent en place. Philippe Honoré nous entraîne dans le secret inavouable d'une famille, à la façon des intrigues policières.

L'obligation du sentiment - Occasion

Pour François Frin, tout démarre par une soirée banale au cours de laquelle va naître une pulsion assassine : tuer sa mère. Depuis des années, il n'en peut plus de sa tyrannie. Scène après scène, nous suivons la progression de ce complot infâme. Tour à tour, nous nous trouvons en présence de sa mère, de son meilleur ami, du tueur à gage... Entre rire et compassion, nous attenons fébrilement l'issue de ce projet rocambolesque. Se débarrasser de l'emprise d'une mère : rien de plus difficile !

Je dois tout à ma mère

Maupassant est l'auteur le plus lu en France. Que sait-on de l'homme ? Il a été formé par la femme ; il a vécu d'elle et pour elle. C'est un Maupassant libre-penseur, libertin jusqu'à l'excès qui nous a séduit, mais sans occulter la fin tragique de cet homme jeune, frappé par la syphilis. Maupassant(es) se veut un spectacle joyeux et terrible, l'hommage que n'a cessé de rendre Maupassant à toutes celles qu'il a adorées, les servant impérieusement sans chercher à les retenir.

Maupassant(es)

Pour François Frin, tout démarre par une soirée banale au cours de laquelle va naître une pulsion assassine : tuer sa mère. Depuis des années, il n'en peut plus de sa tyrannie. Scène après scène, nous suivons la progression de ce complot infâme. Tour à tour, nous nous trouvons en présence de sa mère, de son meilleur ami, du tueur à gage... Entre rire et compassion, nous attendons fébrilement l'issue de ce projet rocambolesque. Se débarrasser de l'emprise d'une mère : rien de plus difficile !

Cent rébus littéraires

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