L'adolescent

L'Idiot

  Dostoïevski

     Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique           . Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.   
Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il est capable d'analyses psychologiques très fines. Après avoir passé sa jeunesse en Suisse dans un sanatorium pour soigner son épilepsie (maladie dont était également atteint Dostoïevski), il retourne en Russie pour pénétrer les cercles fermés de la société russe, sans sou ni attache, mais avec un certificat de noblesse en poche. Il se retrouve par hasard mêlé à un projet de mariage concernant Nastassia Filippovna.

L'Idiot est l'un des romans les plus complexes et psychologiques de Dostoïevski. En effet, le récit met en scène une quarantaine de personnages qui ont tous des caractères bien distincts.
L'enchevêtrement d'intrigues entre ces personnages donne lieu à des rebondissements permanents et imprévisibles. L'écriture de Dostoievski parvient avec virtuosité à rendre le lecteur anxieux dans l'attente de la réaction de chaque personnage. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L'Idiot
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L'Idiot

Le premier grand roman (1861) de Dostoïevski, alors âgé de quarante ans, écrit à son retour de Sibérie. Il a eu, depuis sa parution, plus de lecteurs que L'Idiot. Publié en feuilleton, c'est un roman d'aventures sentimental et social à la manière d'Eugène Sue et de Dickens. La société de Saint-Pétersbourg est vue comme par Balzac, les femmes ressemblent à des héroïnes de George Sand. Le romanesque est fortement ancré dans la vie de l'écrivain, qui se fond dans la vie de Saint-Pétersbourg telle qu'il la connaît. Il y explore la misère humaine avec une curiosité passionnée doublée de révolte. Cette ville flottante, brumeuse, est vue par un personnage de rêveur, image de l'auteur. Par-delà, la vision du monde de Dostoïevski est déjà présente : l'humanité est en train de courir à sa perte. C'est cette évolution que le génial romancier montre ici pour la première fois.

Humiliés et offensés

Extrait : "Au milieu des steppes, des montagnes ou des forêts impraticables des contrées reculées de la Sibérie, on rencontre, de loin en loin, de petites villes d'un millier ou deux d'habitants, entièrement bâties en bois, fort laides, avec deux églises, - l'une au centre de la ville, l'autre dans le cimetière, - en un mot, des villes qui ressemblent beaucoup plus à un bon village de la banlieue de Moscou qu'à une ville proprement dite."
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Souvenirs de la Maison des morts

Les frères Karamazov Tome 2

Dostoevsky’s most revolutionary novel, Notes from Underground marks the dividing line between nineteenth- and twentieth-century fiction, and between the visions of self each century embodied. One of the most remarkable characters in literature, the unnamed narrator is a former official who has defiantly withdrawn into an underground existence. In full retreat from society, he scrawls a passionate, obsessive, self-contradictory narrative that serves as a devastating attack on social utopianism and an assertion of man’s essentially irrational nature.Richard Pevear and Larissa Volokhonsky, whose Dostoevsky translations have become the standard, give us a brilliantly faithful edition of this classic novel, conveying all the tragedy and tormented comedy of the original.

Carnets Du Sous Sol, édition Bilingue (Français/Russe)

Au début des années 1860, à l'heure où la Russie se libéralise, un fonctionnaire se fait avaler par le premier crocodile jamais montré à Saint-Pétersbourg. En cette période de naissance du capitalisme, le crocodile est à la fois propriété privée et source de revenus, il est donc inviolable. D'ailleurs, il est creux et confortable à souhait ; il permet de penser, de parler, et d'être écouté - c'est, du moins, l'avis de la victime. Cet apologue ravageur, antisocial (et pas seulement antisocialiste, comme l'ont cru nombre de ses contemporains), qui parodie le mythe de Jonas, a été écrit en 1865 par un auteur qui travaillait en même temps sur " Crime et Châtiment " et " Le Joueur ".

Le crocodile

D'un côté à l'autre d'une cour, Macaire Alexéïevitch Diévouchkine, fonctionnaire d'une cinquantaine d'années, et Varvara Alexéïevna Dobrossiélova, jeune orpheline placée sous sa protection, s'écrivent presque tous les jours. Très pauvres et sans cesse en proie à la faim, la maladie, la honte et la déchéance, les deux personnages, dont toute la relation est vécue à travers l'écrit, se dévoilent peu à peu dans leurs lettres. Pour eux, écriture et littérature sont le seul exutoire contre le désespoir. Les Pauvres Gens (1846) est le premier roman et le seul récit épistolaire de Dostoïevski. Celui qui deviendra l'un des plus grands écrivains russes montre déjà ici, avec brio, ce qui fera son succès : l'utilisation de l'art au service de la représentation de la vérité.

L'adolescent

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