Presque rien sur presque tout

Publié par Gallimard, le 24 janvier 1997

384 pages

Résumé

Il y a un roman plus vaste que le roman des hommes : c'est le roman du tout. Le tout d'abord, seul. Première partie. Formidable. Formidable, mais inutile. Explosion. Galaxies. Soupe primitive. Diplodocus. Puis des hommes dans le tout. Deuxième partie. Plus belle encore. Et avec un semblant de signification. Sentiments. Passions. Violons sur les toits, violons dans les coeurs. Le ciel descend sur la Terre. Cavalcades et coups d'État. Trahison et grandeur. Systèmes de l'univers. Qui a écrit ce roman ? Qui l'écrit ? On ne sait pas. Peut-être le tout lui-même ? Peut-être les hommes ? Peut-être un Être suprême auquel, faute de mieux, nous donnons le nom de Dieu ? On dirait tantôt que nous sommes écrits d'avance dans le livre et tantôt que c'est nous, jour après jour, qui l'écrivons. On ne sait pas. Mais on peut essayer, vaille que vaille, de feuilleter ce chef-d'oeuvre, cette grande Big Bang Story, qu'est le monde autour de nous.

Et moi, je vis toujours

C'est une chose étrange à la fin que le monde

Au revoir et merci

Comme un chant d'espérance

La gloire de l'empire

"Elles sont 300 000 chaque année" : Discours pour le droit à l'avortement devant l'Assemblée nationale ; Discours de réception à l'Académie française ; "Vous êtes du côté des femmes" ; Allocution et réponse de Simone Veil - Occasion

Voyez comme on danse

C'est une chose étrange à la fin que le monde

Critiques