La laisse

Il fait beau jour et nuit

L'histoire se déroule aujourd'hui à Paris dans un décor théâtral. L'héroïne principale est Sybila Delreyová, dont les racines tombent à Prague. L'amant de Sybil est François Rosset. Les deux vivent non seulement ensemble, mais co-créent également des pièces que Sybila traduit des langues slaves.

Le Miroir égaré

À Cardin, petite ville du Nord, Guéret emprunte chaque soir le même chemin pour rentrer de l’usine, et chaque soir, c’est le même chien qui l’accompagne jusqu’à sa pension. Ce chien serait son unique compagnon s’il n’y avait Nicole, jeune ouvrière qui rêve de mariage. Nicole est désirable et attentionnée, mais tellement frivole que Guéret lui préfère Maria, sa logeuse quinquagénaire. Hélas, celle-ci ne lui exprime qu’indifférence et mépris ; jusqu’au jour où un meurtre sanglant est commis. Maria a tôt fait de prendre son piètre locataire pour l’auteur du crime. Elle le regarde enfin. Bien plus, elle le respecte et l’admire. Guéret, trop heureux d’avoir enfin ses faveurs, ne la détrompera pas. Un jeu de dupes s’instaure alors entre eux. Jusqu’où cette imposture mènera-t-elle Guéret ? S’il se dévoile, ne risque-t-il pas de perdre l’amour de Maria, de tout perdre ? Seul témoin de cette relation qui peut en pressentir la douloureuse fin : le fidèle chien couchant.

Le Chien couchant

Le portrait incandescent d'une jeune fille prise entre frivolité et gravité Le soleil brûlant, une magnifique villa, la Méditerranée toute proche... Cécile, dix-sept ans, s'apprête à passer un été inoubliable. De l'amour, elle ne connaît que la légèreté, les baisers et l'inévitable lassitude, tout comme son père Raymond, qui enchaîne les conquêtes. L'arrivée d'Anne, femme cultivée et droite, menace soudain leur insouciance. Pour préserver leur vie d'amusements, Cécile s'engage alors dans un jeu dangereux...

Bonjour tristesse

Théâtre

Au printemps de 1832, Flora, fille d'émigrés, élevée en Angleterre, devenue brutalement orpheline et veuve, arrive un beau jour à Jarnac pour y rouvrir Margelasse, le château familial. Personne ne l'a encore aperçue dans la région quand Me Nicolas Lomont, trente ans, notaire, se rend à Margelasse. L'histoire commence. Avant que n'advienne le drame, plein de bruit, de fureur, de passion. Le récit est tout entier rapporté par Nicolas, trente ans plus tard. Vieillissant, solitaire, peu porté vers la littérature, il ne sait pas ce qui le pousse à saisir un cahier et à tracer ces lettres : « Si un lecteur découvre un jour ces pages... » Autant que pour le récit lui-même, violent et éperdu, on se passionne pour ce miracle qui transforme chaque soir un vieux notaire de province en un écrivain fougueux, lyrique... en un mot, romantique. Un livre à part dans l'univers de Sagan, qui n'est pas sans évoquer Stendhal ou Maupassant.

Un orage immobile

Ce Carnet eacute;laboreacute; agrave; partir drsquo;articles de presse issus de Eacute;goiuml;ste, Lrsquo;Humaniteacute;, Lrsquo;Express, Vogue, Senso, Elle, offre une description de lieux aussi varieacute;s que #58; le village natal de F. Sagan, Cajarc ; Jeacute;rusalem ougrave; elle est mandateacute;e comme envoyeacute;e speacute;ciale ; Cuba ougrave; elle fut inviteacute;e par Castro dans les anneacute;es 1960, ou encore les champs de course qui lrsquo;envoucirc;taient.

La laisse

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Critiques

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