1945, dans le paisible village de Great Rollright, au sud-ouest de l'Angleterre, Mrs Burton habite une ferme avec son mari et ses trois enfants. Ils sont des gens aimables, sans histoires...
Mrs Burton - alias Sonya - est en réalité une espionne de haut rang au service de Moscou. Pour son plus grand bonheur, elle a vu le naufrage du Troisième Reich, mais déjà un nouveau conflit se profile entre les alliés d'hier. Sonya doit poursuivre son combat au service du camp soviétique.
Grâce à elle, Staline aura bientôt accès aux secrets atomiques anglo-américains.
Dans le monde du Renseignement, Sonya - de son vrai nom Ursula Kuczynski (1907-2000) - devient rapidement une légende. Avec le livre de Ben Macintyre, elle entre dans l'Histoire.

Agent Sonya

6 juin 1944, le jour J. Un tournant dans le conflit mondial, une victoire des Alliés par les armes, mais aussi grâce à un moyen inédit et décisif : la désinformation. Celle-ci vise à convaincre les Nazis que le Débarquement aura lieu à Calais et en Norvège, et, une fois l'opération lancée, à leur faire croire qu'il s'agit d'une manoeuvre de diversion destinée à retarder l'arrivée des renforts allemands. Au coeur du stratagème réside le système Double Cross : les espions du Débarquement. Au nombre de cinq, ces agents doubles, des espions nazis retournés par les Britanniques, feront parvenir de fausses informations capitales à leurs supérieurs du Reich. Une play-girl péruvienne bisexuelle, un pilote de chasse polonais, un séducteur serbe, un éleveur espagnol de poulets et une Française lunatique. Diversement courageux, perfides, capricieux, inspirés ou avides, ce ne sont pas des combattants classiques, ils forment même une équipe plutôt insolite. Mais leurs entreprises de mystification vont permettre de convoyer les troupes alliées en sécurité outre-Manche. Ce livre raconte leur histoire avec toute la minutie, l'humour et le talent de conteur qui caractérisent Ben Macintyre. À l'aide d'archives inédites, l'auteur parvient à une brillante reconstitution de la plus grande opération d'intoxication jamais entreprise et met en lumière des héros jusqu'ici anonymes. Leurs noms de code : Bronx, Brutus, Treasure, Tricycle et Garbo.

Les espions du Débarquement

Philby est sans aucun doute la (TM)espion le plus cA(c)lA]bre et le plus scandaleux du XXe siA]cle. Ce livre, basA(c) sur des lettres personnelles, des journaux intimes, des interviews ainsi que sur des archives dA(c)classA(c)es des services secrets britanniques, amA(c)ricains et soviA(c)tiques, retrace le parcours da (TM)une vie qui futa ] une perpA(c)tuelle trahison.A Issu da (TM)une famille cossue de la gentry britannique, le jeune Kim Philby, fils de St John Philby, lui-mAame diplomate et espion, est sensible A la (TM)aura da (TM)intellectuels des annA(c)es 1930 favorables au communisme. RemarquA(c) A Cambridge en 1930 par un de ses professeurs communistes, il est aiguillA(c) par ce dernier vers les services secrets soviA(c)tiques pour lesquels il accepte de travailler sous le nom de A Sonny A. Reporter de guerre en 1939, il intA]gre le contre-espionnage du MI6 en juin 1940 et devient alors un parfait agent double.A A cette A(c)poque, il fait la connaissance de son collA]gue Nicholas Elliott, un agent des services du renseignement britannique, qui deviendra son meilleur ami. Cet ami, il va le tromper 30 ans durant en transmettant toutes ses confidences A la (TM)Est. Un des principaux tours de force de Philby consistera A crA(c)er et diriger une section britannique antisoviA(c)tique qui lui permettra de poursuivre ses activitA(c)s da (TM)espionnage A la solde de Moscou sans crainte da (TM)Aatre lui-mAame dA(c)masquA(c).A La (TM)Espion qui trahissait ses amis retrace avec force dA(c)tails, et dans un style purement narratif qui fait penser aux romans de John Le CarrA(c), la (TM)histoire rocambolesque de Kim Philby, sur fond de guerre, puis de guerre froide. Un personnage double dans les faits et dans la psychologie, A la fois responsable de la mort de milliers de personnes A travers le monde et grand sA(c)ducteur.Le livre commence avec la derniA]re rencontre da (TM)Elliot et Philby A Beyrouth en janvier 1963. Le premier est venu entendre la confession du second, accusA(c) de traA(R)trise. Entre amitiA(c), loyautA(c) et fA(c)lonie, Philby choisit une nouvelle et derniA]re fois de tromper son ami avant de sa (TM)envoler dA(c)finitivement pour Moscou. La suite du livre dA(c)roule sur un fond historico-politique, les aventures da (TM)un espion pour qui tromper A(c)tait une prA(c)occupation quotidienne, une addiction.ALa (TM)Espion qui trahissait ses amis se lit da (TM)une traite, comme un roman. Ca (TM)est une histoire da (TM)espionnage palpitante, aussi intense et intrigante qua (TM)un thriller, digne de Graham Greene ou John Le CarrA(c). Mais ca (TM)est aussi, on la (TM)oublierait presque, une histoire vraie solidement documentA(c)e sur le parcours rocambolesque de Kim Philby depuis la Seconde Guerre mondiale jusqua (TM)A la fin de la guerre froide, et sur son amitiA(c) tragique avec Nicholas Elliott. Une amitiA(c) extraordinaire entre deux Aatres viscA(c)ralement liA(c)s mais que la (TM)idA(c)ologie sA(c)parera toute leur vie: Nicholas Elliott, maA(R)tre espion britannique, sera aussi fidA]le A son pays que Philby, le sublime traA(R)tre, le sera A la (TM)Union soviA(c)tique.Ben Macintyre est un conteur-nA(c) et sa description de la (TM)univers des espions est aussi fine qua (TM)hilarante: en pA(c)nA(c)trant les arcanes des services de renseignement britanniques, le lecteur dA(c)couvrira une galerie de portraits hauts en couleurs sur fond da (TM)establishment et de beuveries monumentales. Anecdotes et grande Histoire se mAalent astucieusement au fil du rA(c)cit pour donner lieu A une brillante combinaison de connaissances et de divertissement. Au final, ce livre merveilleusement ficelA(c) na (TM)est peut-Aatre le dernier sur le A phA(c)nomA]ne Philby A, mais A travers le prisme de la (TM)amitiA(c) et de la loyautA(c) bafouA(c)es, il offre une nouvelle comprA(c)hension psychologique de la (TM)espion le plus remarquable des temps modernes.A propos de l'auteurBen Macintyre est chroniqueur et rA(c)dacteur en chef adjoint du Times, journal pour lequel il a A(c)galement A(c)tA(c) correspondant A Paris, New York et Washington. Il a A(c)tudiA(c) la (TM)histoire A Cambridge et est la (TM)auteur de prA(c)cA(c)dents livres da (TM)histoire narrative A succA]s dont OpA(c)ration Mincemeat et Les Espions du DA(c)barquement.Un livre publiA(c) par Ixelles A(c)ditionsVisitez notre site: http: //www.ixelles-editions.comContactez-nous A l'adresse contact@ixelles-editions.com

L'Espion Qui Trahissait Ses Amis

This edition does not include illustrations.

 A wartime romance, survival saga and murder mystery set in rural France during the First World War. From the Number 1 bestselling author of 'Agent ZigZag' and 'Operation Mincemeat'.

 Four young British soldiers find themselves trapped behind enemy lines at the height of the fighting on the Western Front in August 1914. Unable to get back to their units, they shelter in the tiny French village of Villeret, where they are fed, clothed and protected by the villagers, including the local matriarch Madame Dessenne, the baker and his wife.

 The self-styled leader of the band of fugitives, Private Robert Digby, falls in love with the 20-year-old daughter of one of his protectors, and in November 1915 she gives birth to a baby girl. The child is just six months old when someone betrays the men to the Germans. They are captured, tried as spies and summarily condemned to death.

 Using the testimonies of the daughter, the villagers, detailed town hall records and, most movingly, the soldiers' last letters, Ben Macintyre reconstructs an extraordinary story of love, duplicity and shame - ultimately seeking to discover through decades of village rumour the answer to the question, 'Who betrayed Private Digby and his men?' In this new updated edition the mystery is finally solved.

 This edition does not include illustrations.

A Foreign Field (Text Only)

Un matin d'avril 1943, au large de l'Andalousie, un pêcheur espagnol repère un cadavre flottant sur la mer. C'est la dépouille d'un soldat britannique...
Ainsi débute l'opération Mincemeat, la mystification militaire qui permit de berner les espions nazis, de détourner les troupes de la Wehrmacht vers la Grèce et la Sardaigne pour permettre aux Alliés de débarquer en Sicile, et de sauver des milliers de vies.
À l'aide de documents privés inédits et d'archives du MI5, Ben Macintyre retrace brillamment l'histoire vraie, et paradoxalement totalement fictive, de la plus grande supercherie de la Seconde Guerre mondiale.

L'opération Mincemeat

" Notre village, Villeret, se trouvait près du front, du côté allemand. Au moment de la déroute de l'armée britannique, en 1914, quelques soldats sont restés à la traîne et n'ont pas pu rejoindre leurs troupes. lis nous ont demandé de les aider. Nous les avons soignés, nous leur avons donné à manger. Nous les avons cachés. Un jour, les Allemands les ont découverts... C'était en 1916. J'avais six mois. L'un d'eux était mon père... " Pendant deux ans, alors que la France endurait son martyre, le soldat Robert Digby et ses compagnons partagèrent clandestinement la vie d'un petit village de Picardie, devenant d'authentiques paysans français... Jusqu'au jour où quatre d'entre eux furent fusillés, officiellement pour espionnage. Quelqu'un les a trahis. Mais qui ? Ben Macintyre a retrouvé Hélène, " la fille de l'Anglais ". Pour percer le secret, il rencontre les derniers témoins, ausculte les journaux d'époque, décrypte les textes laissés par les protagonistes de cette étonnante affaire. Un acte collectif de résistance, qui fut aussi une histoire d'amour : celle de Robert Digby et de Claire Dessenne, la villageoise française qui l'avait recueilli, au péril de sa vie... " D'une simple chronique villageoise comme il en a pu exister tant d'autres, entendons par là le cortège de morts et de privations diverses occasionnées par l'occupation allemande, nous découvrons ici la saga d'une modeste bourgade qui a su dissimuler au "Titan militaire" allemand la présence en son sein de Robert Digby et de ses hommes, presque jusqu'au bout. [..] Il n'est qu'à se laisser porter par ce récit. Il est remarquable. " Pierre Miquel (extrait de sa préface)

La fille de l'Anglais

Quoique méconnu, Adam Worth est un personnage au destin hors du commun dont les méfaits illuminent la fin du XIXe siècle. Cambrioleur, pickpocket au grand coeur, ce dandy ne peut s'empêcher de piller les caisses des plus grandes banques de notre continent. Mais c'est en mai 1876, à Londres, qu'il commet son plus glorieux forfait en s'emparant du portrait de la duchesse de Devonshire, de Gainsborough. Suscitant les plus vives réactions, déchaînant les passions les plus violentes, le gangster au gant de velours parviendra à se concilier les faveurs de l'incorruptible Pinkerton. Le célèbre détective américain le traquera sans relâche, mais ne cessera jamais de lui vouer une secrète admiration. La vie d'Adam Worth inspira à Conan Doyle, en 1893, le personnage de Moriarty, l'ennemi juré de Sherlock Holmes.

Le Napoléon du crime

Une audace sans frein, une intelligence sans bornes, des complicités sans nombre, une énergie sans faille servie par une chance insolente: tel fut le Napoléon du crime, le plus prestigieux des monte-en-l’air de l’époque victorienne.Adam Worth (1844-1902) passe ses premières années d’immigrant misérable dans un quartier new-yorkais où l’on vit totalement en marge des lois. Il y apprend bien vite tout ce qu’il faut savoir pour «réparer les injustices du sort». Cambrioleur de génie, il déjouera toutes les poursuites, changeant de continent comme d’identité et poursuivant sa carrière avec un égal bonheur en Amérique, en Europe (Londres, Paris et Liège) et en Afrique du Sud (le pays du diamant).Il connaît intimement la pègre et les bas-fonds mais, émule de «Jekyll et Hyde», il cultive les dehors d’un gentleman accompli.Son plus glorieux fait d’armes? Le vol d’un des plus prestigieux tableaux du grand portraitiste Gainsborough, Georgiana, Duchesse de Devonshire.Il fascina jusqu’à ses adversaires, comme l’illustre détective Pinkerton.Enfin, pour parachever sa légende, Conan Doyle s’inspire directement de lui pour représenter le «génie du mal» avec la créature du professeur Moriarty.

Agent Sonya

Résumé

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Critiques

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