En France, on les appelle des poulets. Aux États-Unis, des cochons. Au Québec ? Des chiens, même si on a souvent envie de les traiter de « chiens sales ». Quand ils font une connerie, pour la cacher, ils en font une plus grosse, qui devra être dissimulée par une énorme, et celle-là, par une monumentale... Mais si vous trouvez que c'est exagéré, attendez de lire ce qui est arrivé à Carmen Paradis...

Chiens sales

Fantasia chez les plouffe

Momo aime Jessica et l'inverse est aussi vrai. Mais que se passerait-il si la mère de Momo et le père de Jessica faisaient de même? Pire scénario possible ou idée géniale ? Momo n'arrive pas encore à trancher... et partir rejoindre son père en France lui semble tout à coup une option à considérer.Avec cette huitième aventure de Momo de Sinro, François Barcelo nous offre un récit rigolo qui montre que l'amour se cache souvent plus près qu'on ne le pense, et que la trahison peut parfois revêtir un visage d'ange...Momo va se marier ? Non, il est trop jeune. Mais quelqu'un près de lui songerait à le faire, d'après ce vilain garnement de Simon Dubois. En tout cas, c'est ce qu'il dit à Momo lors d'une partie de ballon-chasseur endiablée. Qui va se marier ? se demande Momo.Avec qui ? Surtout, qu'est-ce que ça va changer dans sa vie ? Ou dans celle de sa mère, Lucie, de sa blonde, Jessica, et du père de Jessica, Roland Laliberté, chef des pompiers de Bougainville et de Saint-Romain-deschamps? Plus il y pense, plus Momo est convaincu qu'il est en train de vivre le pire des cauchemars !

Premier mariage pour Momo de Sinro

«Je vis à Saint-Barnabé, un bled du Canada où même les arbres sont plus moches qu'ailleurs parce qu'ici les gens sont pauvres. En mourant, ma mère a ouvert la portière et elle est tombée dans le fossé. Ça m'agace. Même si je n'ai fait que mon devoir en la tuant parce qu'elle me l'a demandé, il faut que je répare la voiture abîmée et que je repêche le corps dans le fossé avant que les flics ne le trouvent.»

Cadavres

En France, on les appelle des poulets. Aux États-Unis, des cochons. Au Québec ? Des chiens, même si on a souvent envie de les traiter de «chiens sales». Quand ils font une connerie, pour la cacher ils en font une plus grosse qui devra être dissimulée par une énorme, et celle-là, par une monumentale... Mais si vous trouvez que c'est exagéré, attendez de lire ce qui est arrivé à Carmen Paradis...

Antoine Vachon haït le hockey. À la suite de l'assassinat du coach de l'équipe de hockey de son fils, Antoine se voit pourtant contraint de le remplacer à pied levé, sans savoir alors que sa vie va changer. Le flou persiste. Qui a assassiné le coach? Et surtout, pourquoi? Le fils d'Antoine aurait-il quelque chose à voir dans tout cela? L'entraîneur était pourtant connu et apprécié dans sa communauté, il s'occupait bien de ses joueurs, trop bien peut-être.
François Barcelo signe ici un roman vif, nerveux, outrageux, sensible, noir, étonnant, détonnant, shakespearien, tragique, sportif, amoureux, désillusionné, un roman sur l'amour, sur la trahison, sur l'incompréhension.

J'haïs le hockey

La fatigante et le fainéant

Ville-Dieu

Inquiétants, sombres, angoissants, parfois drôles, François Barcelo, Marie-Claire Blais, André Truand, Chrystine Brouillet et Gilles Pellerin nous donnent de leurs nouvelles. Dans cette édition en format poche, Patrick Senécal et André Marois rejoignent le collectif qui nous transporte dans les rues les plus sombres de la ville. Une unité de lieu : Montréal... mais noir, et Montréal noir ne fait pas de quartier...

Chiens sales

Résumé

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Critiques

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