Coup de des

Calendrier Mural 1997 Les Chats Du Bonheur

De l'amour homosexuel entre femmes - à part quelques récits de fiction et des ouvrages scientifiques ou pseudo-scientifiques - on ne sait que peu de choses. Ce livre est un document de vie sur les métamorphoses de cet amour, une tentative pour détruire une image stéréotypée, faussée par la volonté de « normalisation » ou l'enfermement dans un ghetto. Nella Nobili et Édith Zha ont recueilli les paroles de femmes de tous âges et de tous milieux - surtout de celles qu'elles nomment « la majorité silencieuse des homosexuelles ». Des femmes sans agressivité, pour la plupart heureuses ou qui, du moins, essaient de l'être.

Les femmes et l'amour homosexuel

La dernière nuit d'amour près de Fontainebeau de deux amants terribles, figures mythiques du romantisme : George Sand et Alfred de Musset.
Après un malencontreux voyage à Venise, une séparation et une réconcilliation houleuse, George quitte Alfred, lasse de ses crises de jalousies, de ses accès de folie.
Une évocation vertigineuse, au bord de la crise de nerfs, d'une passion impossible entre deux êtres trop entiers pour savoir s'aimer.

La dernière nuit

En France, la morale de l'argent reste ambiguë et emprunte des chemins compliqués : un couple sur trois ne se dit pas toute la vérité dans le domaine des finances et l'argent est la deuxième cause de séparation après l'infidélité.
 N'esquivant aucun sujet qui fâche, Marie-Françoise Hans décrit la relation de la femme à l'argent et fourni des clés pour comprendre l'évolution de ce rapport en mêlant des considérations économiques, sociologiques et psychologiques. Un livre à la rencontre de l'éternel féminin, une vraie plongée dans un univers qui cristallise tous les fantasmes.

33 histoires de femmes et d'argent

George et Alfred.
(1 homme, 1 femme).

La dernière nuit d'amour près de Fontainebleau de deux amants terribles, figures mythiques du romantisme : George Sand et Alfred de Musset Après un malencontreux voyage à Venise, une séparation et une réconciliation houleuse, George quitte Alfred, lasse de ses crises de jalousies, de ses accès de folie.
Une évocation vertigineuse, au bord de la crise de nerfs, d'une passion impossible entre deux être trop entiers pour savoir s'aimer.

Louise.
(2 hommes, 2 femmes).
Auteur du fameux " Tant que mes yeux pourront larmes épandre... ", Louise Labé fut la première femme, d'origine roturière - ses parents étaient cordier - dont les poèmes furent édités.
" Louise " présente en plusieurs tableaux chronologiques, de 1536 à 1564, cette poétesse d'une culture exceptionnelle, qui lutta pour que toutes les femmes apprennent à lire et à écrire. Courtisée par le talentueux mais âgé Clément Marot, elle résista à ses avances mais ne dissimula jamais son admiration (son amour ?) pour lui. Mal mariée au vieil Ennemond Perrin, celle qui déclarait : " je N'aime que Mars et le savoir " succomba pourtant aux charmes du bel Olivier de Magny.
Cet hommage passionnant à " La Belle Cordière ", souvent drôle ou égrillard (nous sommes au temps de Rabelais), brouillonne des contradictions d'une femme pas comme les autres, dans une époque violente où les bûchers flambaient au moindre écart de comportement.

Revue fréquence théâtre n.20 : George et Alfred ; Louise

Chaque soir, la ville naît une nouvelle fois. L'ombre dessine des formes, refait des espaces. De nouveaux lieux apparaissent. Et dans ces lieux renouvelés, les gens de la nuit célèbrent leur culte, et croisent ceux qui ne vivent dans le noir que par nécessité professionnelle. Pascal Dupont est parti à la recherche des noctambules. Il s'est nommé l'envoyé spécial de la nuit : infirmières et prostituées, policiers et brigands, danseurs de disco ou combattants de la nuit du Liban, somnambules ou junkies, la disparate peuplade de la nuit fait entendre ici ses voix. De la diligence au Concorde, et du fiacre au débarquement sur la lune, un siècle à peine a passé. Jamais, dans l'histoire, les progrès techniques n'ont été plus fulgurants. Mais des rituels de la vie de tous les jours, que demeure-t-il ? Comment avons-nous réagi devant les transformations, l'uniformisation que nous ont imposé les progrès industriels ? Ce sont les métamorphoses de la vie quotidienne que cette collection souhaite dire, en interrogeant nos mentalités, nos habitudes, nos journées, nos travaux.

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