Le mot sans lequel rien n'existe

La funambule et l'oiseau de pierre

A sa naissance, sa maman déposa son berceau, délicatement, sous un piano. Elle-même ne savait pas jouer, mais elle était fascinée par la musique qui pouvait jaillir du clavier. Devenu grand, l'enfant apprend à connaître les moindres secrets de l'instrument. Mais quelque chose lui manque... Alors, il part sur les routes, son piano sur le dos... Magie, douceur et poésie pour tous les musiciens en herbe, et les rêveurs de tous les âges... !

Un piano sur son dos

Big Mama n'est vraiment pas une grand-mère comme les autres ! Dans le bistrot-restaurant familial où elle passe la journée derrière les fourneaux, elle se détend en jouant de son trombone, pour le malheur des uns et le plaisir des autres. Sa petite-fille Célia est curieuse face à cette mamie hors du commun, gourmande comme pas une, aussi attachée à la bonne cuisine qu'à son trombone.
Alors que le quartier tout entier se prépare à fêter les mamans, avec la venue en concert du célèbre joueur de blues Micky Mille-Doigts, la petite Célia va découvrir le secret de sa grand-mère...
L'écriture poétique de Claude Clément rythme cette histoire très attachante, à la découverte du blues mais pas seulement.
Le 4e volume d'une collection dont les instruments de musiques sont les héros !

Big Mama Trombone

Un grand marionnettiste fabrique un jour un pur joyau : une frêle poupée de bois tendre. Il lui apprend à danser au bout des fils entrecroisés, et ils enchantent des spectateurs venus du monde entier. Mais vient le moment où la marionnette, fatiguée, implorer sa liberté...

La poupée de bois tendre

«Ma première est une Belle au sommeil maléfique. Ma deuxième est une conteuse aux mille et une histoires.Mon troisième a le courage et le génie de la lampe. Mon tout est une histoire d'amour qui défie le temps.»Pour sauver l'enfant royal des intentions maléfiques d'une sorcière, Shéhérazade la plonge dans un profond sommeil. Elle se lance alors dans une longue quête pour trouver le preux chevalier perse qui, seul, pourra réveiller la princesse d'un baiser. Un croisement entre La belle au bois dormant et les Contes des mille et une nuits.

Les Mille et une Nuits de la Belle au bois dormant (Le Théâtre des Monstres, #10)

Saint Bernard ou la puissance d'un grand initié ; de la Cabale à la Mystique

3 contes poétiques à la limite du mystère et du fantastique 1 L’homme qui allumait les étoiles Un soir, au bout de sa fatigue, un homme sans bagages, sans famille, sans domicile arriva dans un village. Seul un enfant se tenait assis sur un banc... 2 La ville abandonnée Au retour d'une bataille, le souverain Main-de-Fer demande à tous les artistes de la ville de confectionner un chef-doeuvre afin de récompenser un prince ami. Aussitôt, chacun se met au travail mais un imprévu va bouleverser le concours... 3 Longtemps C'était une vielle qui ne chantait plus. Personne n'en jouait plus. Personne ne l'aimait plus depuis longtemps

L'homme qui allumait les étoiles et autres contes - Cycle 2 et cycle 3

Dans un village, Franz et Swaldina s'aimaient d'un amour tendre et devaient se marier. Un jour arrive à bord d'une roulotte un inquiétant savant : Coppélius. A sa fenêtre, Franz aperçoit une ravissante demoiselle qui immédiatement fait chavirer son coeur... Jalouse, Swaldina veut en savoir plus sur sa rivale. Elle s'introduit avec ses amies dans l'antre de Coppélius, où elle découvre un fatras de ressorts, mécanismes, costumes, têtes, bras et jambes... Coppélia, la fameuse rivale, n'est qu'un pantin ! Si Coppélius tente de tromper Franz en lui présentant sa belle créature, Swaldina fait tout pour qu'éclate la vérité. Confus de s'être laissé berner par un simple automate, Franz implore le pardon de sa fiancée et l'épouse à la fête du village. En fin d'ouvrage, une double-page riche en anecdotes met en perspective cette adaptation en album du ballet de Coppélia, aussi mythique que Giselle, Le Lac des Cygnes ou Casse-Noisette. Si le livret d'origine, composé par Charles Nuitter en 1870, s'inspire de l'inquiétant conte d'Hoffmann L'Homme au sable, le ballet, avec ses quiproquos amoureux et sa musique joyeuse composée par Léo Delibes, tient davantage du gai marivaudage que de la tragédie.

Le mot sans lequel rien n'existe

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