Présente les théories fondatrices et structurantes de l'étude de la communication et de la communication de masse, en prenant en compte l'apport des théories des sciences humaines et sociales.

100 mots pour introduire aux théories de la communication

Quand on est enfant, le pire, ce n'est pas : qu'il y ait toujours quelqu'un qui soit plus grand, que quelqu'un sache tout mieux que toi, qu'il y ait toujours quelqu'un de bien intentionné pour t'interdire quelque chose, que quelqu'un soit prêt à te corriger à tout instant. Non, le pire, c'est qu'il y a toujours quelqu'un qui soit prêt à te donner un " petit " conseil ! Le monde, à travers les yeux des enfants... Que pensent-ils des adultes, de la guerre, du racisme, de l'écologie, et de tant d'autres choses (car rien ne leur échappe ! ? Que veulent-ils devenir plus tard ? Leurs joies et leurs peines, leurs soucis, leurs priorités, tout cela est décrit comme un petit journal de pensées et d'anecdotes et illustré avec douceur et humour par Roger Paré. Un petit bijou à mettre entre toutes les mains, les petites comme les grandes.

Les grandes personnes, le monde et moi - Occasion

La science de la communication

Voici la chronique de l'injustice ordinaire que l'institution universitaire refuse de s'avouer et dont elle ne cesse de bruire. A partir du témoignage d'une enseignante, il s'agit de mettre sur la place publique le mal honteux dont souffre l'université française et qui teint en une seule phrase : l'université est un organisme qui se reproduit mal. On découvre l'arbitraire sans limites dont sont capables les instances supposées remplir une fontion de contrôle.

Les secrets de famille de l'université

La simplicité des choses vues et ressenties par les enfantsLe monde à travers les yeux des enfants. que pensent-ils des adultes, de la guerre, du racisme, de l'écologie, et tant d'autres choses (car rien ne leur échappe !) ? Que veulent-ils devenir plus tard ? Leurs joies et leurs peines, leurs soucis, leurs priorités, tout cela est décrit comme un petit journal de pensées et d'anecdotes et illustré avec douceur et humour par Roger Paré, dont le style nous rappelle un peu celui de Sempé. Un petit bijou à mettre entre toutes les mains, les petites comme les grandes !Un livre rafraichissant et éclairant !EXTRAITChez nous, ma mère n'a jamais le temps. Mon père n'a jamais le temps non plus. Mon grand frère, lui, ne vient même pas à la maison. C'est bizarre. Moi, j'ai tout mon temps. Je fais mes devoirs. Je fais des courses. Je me promène avec le chien Max. Je vais chercher mon petit frère à l'école. Et pourtant, il me reste du temps. CE QU'EN PENSE LA PRESSE« Un recueil de réflexions enfantines qui fera réfléchir plus d'une personne avec des pensées sur les adultes, le racisme, la guerre. Le tout est illustré avec fraîcheur et une bonne dose d'humour par Roger Paré. Un petit bijou à découvrir dès 9 ans jusqu'à 100 ans et plus. Pour sourire et réfléchir ! » - Libbylit« C'est avec naïveté que l'auteure livre cette vision déconcertante du monde des grands. Le ton léger, les mots simples mais justes et l'atmosphère bon enfant mise en scène forment un ensemble saisissant. Le texte est accompagné des illustrations douces et taquines de Paré qui s'allient bien au propos offert. » - Le Soleil « Sous la plume claire et tendre de Judith Lazar, les pensées des petits et grands enfants s'égrènent abordant tous les sujets. Tendre, amusant et bien croqué. Chaque petit texte est un instantané qui donne envie de sourire. Ce livre pourra être judicieusement proposé en lecture scolaire et exploité comme piste d'expressions écrites. » - Librairie La LicorneA PROPOS DE L'AUTEURE ET DE L'ILLUSTRATEURJudith Lazar est sociologue. Elle est auteur de nombreux livres (chez Armand Colin, Droz, Les empêcheurs de penser en rond, ESF, Flammarion, PUF, Seuil, Sirey), traduits en plusieurs langues, consacrés aux divers problèmes de nos sociétés : la transmission de la connaissance, l'opinion publique, la diffusion des idées, l'éducation de la jeunesse, la sanction, etc. Elle cherche surtout à comprendre pour quelles raisons certaines personnes deviennent « grandes », alors que d'autres gardent durant toute leur vie la fraîcheur, la pureté et surtout la sagesse des enfants. Ce thème a largement inspiré l'écriture de son recueil Les grandes personnes, le monde et moi. Elle vit à Paris, mais se considère comme une citoyenne du monde. Roger Paré est né au Témiscamingue (Québec). Il vit à Montréal où il poursuit sa carrière d'illustrateur de livres pour enfants. De 1958 à 1983, il est illustrateur au Service des Arts graphiques de la Société Radio-Canada où il est assigné, plus particulièrement, aux émissions pour enfants produites par le Service jeunesse. Depuis 1979, il a signé les illustrations d'une trentaine de livres pour enfants. Dans la majorité des cas, il en est également l'auteur des textes. Ses livres sont traduits en plusieurs langues et diffusés à travers le monde. Tous formats confondus, L'Alphabet, publié en 1985, a été vendu à près de 400 000 exemplaires. Le Conseil des Arts du Canada lui a décerné, en 1979, le Premier Prix pour les illustrations de son album Une fenêtre dans ma tête et, en 1987, le Grand Prix en littérature jeunesse pour L'Alphabet. En 1993 et en 1994, l'UNICEF a choisi des illustrations tirées de ses livres pour la production de casse-tête et de cartes de voux.

Les grandes personnes, le monde et moi

Depuis les années 1990, la violence des jeunes est en augmentation constante. Comment expliquer ce phénomène ? Pourquoi ne trouve-t-on aucun remède alors qu'il est devenu en si peu de temps une préoccupation centrale ? Résisterait-il à toute analyse ou bien doit-on supposer que le problème n'est pas là où on le cherche ?
Le chômage, l'éclatement de la famille, la faillite de l'école, les médias et plus récemment la mondialisation ont tour à tour été désignés comme les responsables de la montée de cette violence, coupables «rêvés» et trop faciles.
Judith Lazar fait ici la part de nos fantasmes et dresse une analyse sans complaisance de la réalité. Les réponses existent. Encore faut-il poser les bonnes questions.

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Résumé

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