Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

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Le Manifeste Du Camp Nº 1: Le calvaire des officiers francais prisonniers du Viêt-minh

Bataillon R.A.S.

Le Manifeste du camp n.1 est tout à la fois un témoignage, un roman et un document prodigieux. L'histoire est celle de ces officiers français qui furent faits prisonniers par le Viêt-minh en 1950. Au bout d'un an de captivité au camp n° 1, au cœur de la jungle vietnamienne, et soumis à un " lavage de cerveau ", ils signèrent, dans des conditions dramatiques, un manifeste par lequel ils approuvaient la guerre de Ho Chi Minh et condamnaient l'armée française, leur propre armée. A partir de son expérience personnelle et du témoignage des anciens du camp de Na-Leng, Jean Pouget décrit leur calvaire avec un rare pouvoir d'évocation.

Le Manifeste du camp n° 1 - Le calvaire des officiers français prisonniers du Viêt-minh

Les maladies neuromusculaires

La Soif

Algérie, octobre 1956. Le chef d'escadron Jean Pouget, alias Jean-Marie, est brusquement désigné pour prendre le commandement "du plus pouilleux des bataillons d'infanterie", la honte de la Grande Famille que l'on cache aux étrangers dans les montagnes désertiques du Sud, en disant de lui : "R.A.S." ! Ce livre révèle ce que recouvre la pudique formule "rien à signaler" : une histoire d'hommes dans la guerre, avec leurs sordides calculs, leurs élans sublimes, leur courage lors de grandes opérations auxquelles rien ne les avait préparés. Investi des pleins pouvoirs par le haut commandement, dépouillé de toute ambition de carrière, le jeune commandant Jean-Marie acquiert sur ses hommes une telle emprise qu'il les entraînera irrésistiblement derrière lui vers une grande aventure d'Homme. Le commandant Jean-Marie apporte son acquis indochinois dans cette guerre africaine et fatalement il sera amené à l'action politique : "Pénétrer en terrain ennemi, violer le monopole du civil". Cette voie le conduira logiquement à prendre part au mouvement du 13 mai 1958.

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Résumé

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