In that pleasant district of merry England which is watered by the river Don, there extended in ancient times a large forest, covering the greater part of the beautiful hills and valleys which lie between Sheffield and the pleasant town of Doncaster. The remains of this extensive wood are still to be seen at the noble seats of Wentworth, of Warncliffe Park, and around Rotherham. Here haunted of yore the fabulous Dragon of Wantley; here were fought many of the most desperate battles during the Civil Wars of the Roses; and here also flourished in ancient times those bands of gallant outlaws, whose deeds have been rendered so popular in English song.

Ivanhoe

"Une sonnerie de trompettes retentit et les deux camps s'élancèrent l'un contre l'autre. Quand le nuage de poussière se fut dissipé, le public vit que la moitié des chevaliers étaient à terre."Retrouve les aventures d'Ivanhoé dans ce chef-d'ouvre de la littérature classique. Une version adaptée aux jeunes lecteurs et magnifiquement illustrée. Idéal pour les 8-12 ans.

Ivanhoé

Paru en 1819, dans la série des Contes de mon hôte, et inspiré par une tragédie familiale authentique, La Fiancée de Lammermoor est un des romans les plus sombres de son auteur. Dans le cadre sauvage de l'Écosse du XVIIe siècle, au milieu de l'agitation politique qui précède la réunion de l'Écosse et de l'Angleterre, Walter Scott nous dépeint les amours contrariées d'Edgar, le jeune maître de Ravenswood, et de Lucy, fille de Sir William Ashton. L'attachement né entre les deux héritiers de familles déchirées par les rivalités et les haines ancestrales, un temps promis au bonheur, se verra détruit par Lady Ashton, la mère despotique et arrogante de la jeune Lucy... Une lettre interceptée, un mariage forcé, et la tragédie s'achève: Lucy de Lammermoor, après avoir poignardé son nouvel époux, sombre dans la folie, puis meurt dans de terribles convulsions...

La fiancée de Lammermoor

Ce livre numérique présente "Les contes de mon hôte (L'édition intégrale - 6 volumes)" avec une table des matières dynamique et détaille. Notre édition a été spécialement conçue pour votre tablette/liseuse et le texte a été relu et corrigé soigneusement.


  Les Contes de mon hôte, une nouvelle série de romans dont la première série comprend Le Nain noir et Le Vieillard des tombeaux - Old Mortality (qui décrit la répression des Covenantaires sous Charles II en 1679). La seconde série comprend Le Coeur du Midlothian (1818), dont l'histoire s'ouvre sur l'émeute Porteous, qui eut lieu à Édimbourg en 1736, et décrit le périple d'une fille du peuple, Jeanie Deans, pour sauver sa soeur, accusée d'infanticide. En 1819, paraît la troisième série des Contes de mon hôte chez Constable, La Fiancée de Lammermoor, un roman noir à la manière de Roméo et Juliette évoquant l'amour de deux jeunes gens appartenant à des familles ennemies, dans l'Écosse vers 1669, et Une légende de Montrose (qui décrit l'Écosse et les Highlands sous Charles Ier, pendant la guerre civile). Le Château périlleux (Castle Dangerous), parfois intitulé Le Château dangereux, est un roman historique avec lequel il constitue la quatrième série des Contes de mon hôte.


  Walter Scott (1771 - 1832) (Sir Walter Scott, 1er baronnet) est un poète et écrivain écossais. C'est l'un des plus célèbres auteurs écossais. Père du roman historique, il a contribué à forger une image romantique de l'écosse et de son histoire.


  Table des matières:


  Contes de mon hôte, 1ère série


   Le Nain Noir


   Le Vieillard des tombeaux ou Les Presbytériens d'Écosse 


  Contes de mon hôte, 2e série


    La Prison d'Édimbourg ou le Coeur du Midlothian


  Contes de mon hôte, 3e série


   La Fiancée de Lammermoor 


   Une légende de Montrose 


  Contes de mon hôte, 4e série


    Le Château dangereux

Les contes de mon hôte (L'édition intégrale - 6 volumes)

Walter Scott (1771-1832)
 
"C'était vers le déclin d'un des premiers jours du printemps. La nature, au milieu même d'une des provinces les plus froides de l'Écosse, sortait du long sommeil de l'hiver. Si la végétation ne se montrait point encore, du moins la température adoucie promettait la fin des rigueurs de la saison. On vit, à quelques milles du château de Douglas, deux voyageurs qui venaient du sud-est. En se montrant à cette période peu avancée de l'année, ils annonçaient suffisamment une vie errante, et cela seul assurait un libre passage même à travers un pays dangereux. Ils semblaient suivre la direction de la rivière qui emprunte son nom au château, et qui parcourt une petite vallée propre à faciliter l'approche de ce fameux édifice féodal. Ce filet d'eau, si petit en comparaison de sa renommée, attirait à lui l'humidité des campagnes d'alentour, et ses bords offraient une route, difficile à la vérité, qui conduisait au village et au château. Les hauts seigneurs à qui ce manoir avait appartenu durant des siècles auraient pu sans doute, s'ils l'avaient voulu, rendre ce chemin plus uni et plus commode. Mais ils ne s'étaient point encore révélés, ces génies qui, plus tard, apprirent au monde entier qu'il vaut mieux faire un circuit autour de la base d'une montagne que de gravir en droite ligne d'un côté et de descendre pareillement de l'autre, sans s'écarter d'un seul pas pour rendre le chemin plus aisé ; moins encore songeait-on à ces merveilles qui sont tout récemment sorties du cerveau de Mac-Adam. Mais à bien dire, pourquoi les anciens Douglas auraient-ils mis ces théories en pratique, quand même ils les eussent connues dans toute leur perfection ? Les machines de transport, munies de roues, si l'on excepte celles du genre le plus grossier et destinées aux plus simples opérations de l'agriculture, étaient absolument inconnues. La femme même la plus délicate n'avait pour toute ressource qu'un cheval, ou, en cas de grave indisposition, une litière. Les hommes se servaient de leurs membres vigoureux ou de robustes chevaux pour se transporter d'un lieu dans un autre ; et les voyageurs, les voyageuses particulièrement, n'éprouvaient pas de petites incommodités par suite de la nature raboteuse du pays. Parfois un torrent grossi leur barrait le passage et les forçait d'attendre que les eaux eussent diminué de violence. Souvent la digue d'une petite rivière était emportée par suite d'une tempête, d'une grande inondation ou de quelque autre convulsion de la nature ; et alors il fallait s'en remettre à sa connaissance des lieux, ou prendre les meilleures informations possibles pour diriger sa route de manière à surmonter ces fâcheux obstacles."
 
1306. Le château de Douglas, nommé le Château dangereux, est défendu par une troupe anglaise, fidèle au roi Edouard, commandée par sir de Walton et le jeune Aymer de Valence. James Douglas, partisan de Robert Bruce, tente de le reprendre. Pour couronner le tout, une dame anglaise, Augusta, déclare offrir sa main et sa fortune à celui qui tiendra le château un an et un jour...

Le Château dangereux

The ideal being who is here presented as residing in solitude, and haunted by a consciousness of his own deformity, and a suspicion of his being generally subjected to the scorn of his fellow-men, is not altogether imaginary. An individual existed many years since, under the author's observation, which suggested such a character. This poor unfortunate man's name was David Ritchie, a native of Tweeddale. He was the son of a labourer in the slate-quarries of Stobo, and must have been born in the misshapen form which he exhibited, though he sometimes imputed it to ill-usage when in infancy. He was bred a brush-maker at Edinburgh, and had wandered to several places, working at his trade, from all which he was chased by the disagreeable attention which his hideous singularity of form and face attracted wherever he came. The author understood him to say he had even been in Dublin.

Tired at length of being the object of shouts, laughter, and derision, David Ritchie resolved, like a deer hunted from the herd, to retreat to some wilderness, where he might have the least possible communication with the world which scoffed at him. He settled himself, with this view, upon a patch of wild moorland at the bottom of a bank on the farm of Woodhouse, in the sequestered vale of the small river Manor, in Peeblesshire. The few people who had occasion to pass that way were much surprised, and some superstitious persons a little alarmed, to see so strange a figure as Bow'd Davie (i.e. Crooked David) employed in a task, for which he seemed so totally unfit, as that of erecting a house. The cottage which he built was extremely small, but the walls, as well as those of a little garden that surrounded it, were constructed with an ambitious degree of solidity, being composed of layers of large stones and turf; and some of the corner stones were so weighty, as to puzzle the spectators how such a person as the architect could possibly have raised them.

The Black Dwarf

The "Betrothed" did not greatly please one or two friends, who thought that it did not well correspond to the general title of "The Crusaders." They urged, therefore, that, without direct allusion to the manners of the Eastern tribes, and to the romantic conflicts of the period, the title of a "Tale of the Crusaders" would resemble the playbill, which is said to have announced the tragedy of Hamlet, the character of the Prince of Denmark being left out. On the other hand, I felt the difficulty of giving a vivid picture of a part of the world with which I was almost totally unacquainted, unless by early recollections of the Arabian Nights' Entertainments; and not only did I labour under the incapacity of ignorance-in which, as far as regards Eastern manners, I was as thickly wrapped as an Egyptian in his fog-but my contemporaries were, many of them, as much enlightened upon the subject as if they had been inhabitants of the favoured land of Goshen. The love of travelling had pervaded all ranks, and carried the subjects of Britain into all quarters of the world. Greece, so attractive by its remains of art, by its struggles for freedom against a Mohammedan tyrant, by its very name, where every fountain had its classical legend-Palestine, endeared to the imagination by yet more sacred remembrances-had been of late surveyed by British eyes, and described by recent travellers.

The Talisman

L'action se déroule en l'année 1651 durant la guerre civile anglaise. Charles II est en fuite après la bataille de Worcester. Sir Henry Lee est Garde de la Loge Royale de Woodstock et un ardent défenseur de la monarchie. Il s'oppose à l'union de sa fille Alice avec Markam Everard qui a pris parti pour le parlement de Cromwell. Everard est en mesure d'empêcher la mise sous séquestre de Woodstock grâce à son influence auprès de Cromwell qui espère en outre que le fugitif Charles II choisisse de s'y cacher. Charles en effet s'y réfugie déguisé en page du fils de Sir Henry...

Woodstock ou Le Cavalier

Réimpression de l'édition de Paris, 1832.

Ivanhoe

Résumé

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