In the mid-21st century, time travel is used to send political prisoners to Hawksbill Station, a prison camp in the late Cambrian Era. When the latest arrival suspiciously deflects questions about his crimes and knowledge of 'Up Front', the inmates decide to find out his secret.
First published in 1968

Hawksbill Station

En 1348, totalement ravagée par la peste, l'Europe a été conquise par l'empire Ottoman qui y règne en maître absolu. La Renaissance et les Grandes Découvertes n'ont pas eu lieu. Les Aztèques dominent le Nouveau Monde. Dans les années 1960, Dan Beauchamps, jeune anglais fougueux en quête de gloire et de reconnaissance quitte l' Angleterre pour les Hespérides. Il s'embarque alors pour une extraordinaire aventure autour d'une planète devenue le miroir inversé de l'ordre mondial actuel.
Silverberg nous offre un très bon roman d'uchronie, un véritable bolide littéraire à dévorer d'une traite, haletant et riche en action.

La porte des mondes

Acclaimed writer and editor Robert Silverberg gathered eleven of the finest writers in Fantasy to contribute to this collection of short novels. Each of the writers was asked to write a new story based on one of his or her most famous series. Stephen King tells a tale of Roland, the Gunslinger, in the world of The Dark Tower, in "The Little Sisters of Eluria."Terry Pratchett relates an amusing incident in Discworld, of a magical contest and the witch Granny Weatherwax, in "The Sea and Little Fishes"Terry Goodkind tells of the origin of the Border between realms in the world of The Sword of Truth, in "Debt of Bones."Orson Scott Card spins a yarn of Alvin and his apprentice from the Tales of Alvin Maker, in "Grinning Man."Robert Silverberg returns to Majipoor and to Lord Valentine's adventure in an ancient tomb, in "the Seventh Shrine."Ursual K. Le Guin adds a sequel to her famous books of Earthsea, portraying a woman who wants to learn magic, in "Dragonfly."Tad Williams tells a dark and enthralling story of a great and haunted castle in the age before Memory, Sorrow, and Thorn, in "The Burning Man."George R.R. Martin sets his piece a generation before his epic, A Song of Ice and Fire, in the adventure of "The Hedge Knight."Ann McCaffrey, the poet of Pern, returns once again to her world of romance and adventure in "Runner of Pern."Raymond E. Feist's Riftwar Saga is the setting of the tale of "The Wood Boy."Robert Jordan, in "New Spring," tells of crucial events in the years leading up to The Wheel of Time, of the meeting of Lan and Moiraine and the beginning of the search for the child who must grow to lead in the Last Battle.

Légendes

Ecrit en 1956/1957 par un Silverberg de 20 ans, ce roman est un ouvrage de jeunesse qui n'a peut-être pas l'ampleur et l'ambition de certaines œuvres plus récen­tes du même auteur, déjà traduites ou non en langue française.Mais on y découvre une vitalité, une joie juvénile de jongler avec les grands thèmes de la S.-F., qui préfigu­rent ses ouvrages ultérieurs, ainsi qu'une générosité dans le jaillissement des idées, une spontanéité qui manquent, très souvent, aux œuvres plus « accomplies. »Un texte qui marque une étape importante dans l'évolution de Robert Silverberg, et que la collection « Best-Sellers de la S.-F. américaine et soviétique » se devait de révéler à ses nombreux admirateurs.

Droit de vie et de mort

« L'Homme dans le Labyrinthe est basé sur un concept tout entier contenu dans son titre, à savoir : l'histoire d'un homme vivant en ermite sur une planète distante de quelques neuf années-lumière, au cœur d'un labyrinthe rempli de pièges tous plus sadiques les uns que les autres bâti par une civilisation extraterrestre depuis longtemps éteinte. Volontairement exilé dans cet endroit infernal depuis neuf ans, Muller a miraculeusement échappé aux pièges du labyrinthe, disposés dans une série de cercles concentriques entourant la cité où il vit (à la manière de l'Enfer de Dante), et il les utilise pour se préserver des explorateurs — humains ou extraterrestres — qui viendraient perturber sa retraite. Bien sûr, comme on pouvait s'y attendre, une navette fait un jour son apparition : à son bord, une équipe venue de la Terre est à la recherche du seul homme capable de sauver la Planète Bleue ; mais pour le rencontrer, les visiteurs devront d'abord pénétrer dans le labyrinthe...[…]Loin d'être monotone malgré l'austérité de son sujet, la narration de Silverberg — simple et efficace, à l'image de son histoire — oscille constamment entre le point de vue de Muller et celui des visiteurs jusqu'au moment de la rencontre, au cours d'une intrigue parfaitement rythmée qui s'oriente d'abord vers une sorte de jeu de piste avant de virer à la manipulation psychologique entre traqueurs et traqué… »— Florent M.

L'Homme dans le labyrinthe

Sur cette terre du XXIVe siècle, ravagée par l'effet de serre, la disparition de la couche d'ozone et les bouleversements climatiques, jamais plus ne règne la fraîcheur, sous ce ciel brûlant de minuit... Europe et Etats-Unis sont en majeur partie devenus des déserts, et l'on remorque des icebergs depuis l'Antarctique pour s'alimenter en eau... Dans ce monde dévasté, chacun tente de trouver une issue : le météorologiste Paul Carpenter en essayant de prévoir les déplacements des nuages toxiques ; le biologiste Nick Rhodes en étudiant l'adaptation de l'humanité à une atmosphère où l'oxygène s'est raréfié ; quant à Paul Farkas, il tente de retrouver sur un satellite le généticien amoral qui l'a fait naître sans yeux mais doué d'une supervision... Tous pris au piège de ce monde dégradé, de leurs vies et de leurs amours, aussi déboussolés que la Terre brûlante qui les porte. Et qui, tous, cherchent la sortie. Vers les étoiles...

Ciel brûlant de minuit

From the Five-Time Nebula Award-Winner The death stars that brought the apocalyptic destruction on Earth seven hundred thousand years before have stopped falling, and Earth has begun to renew itself. The Long Winter that held the human tribes in their cocoons beneath the ground is over, and the People are spreading rapidly across the newly fertile land. The Queen of Springtime continues the chronicles of the People’s reclamation of Earth begun in the first volume, At Winter’s End. The human tribes struggle to fulfill their destiny as rulers of Earth, but they find the seats of power already occupied. The hjjks, the somber, cold-eyed insect-folk, never retreated, even at the time of greatest chill. The world fell to them by default, and they have been its sole masters for seven hundred thousand years. The Queen of Springtime follows the struggle between these dissimilar beings to establish dominance in the newly emerging world. Exclusive to this Bison Books edition, Robert Silverberg provides an introduction and a synopsis of the unwritten concluding volume of The New Springtime trilogy. Appearing for the first time in print, “The Summer of Homecoming” outline reveals the fates, two hundred years later, of the heroes and their world that were introduced in At Winter’s End and The Queen of Springtime.

La reine du printemps

Nat Hamlin était probablement un génie. Oui. L'un des plus grands artistes de tous les temps. Peut-être. Mais Nat Hamlin était aussi le pire des salauds, un violeur en série d'une extrême violence. Aussi Nat Hamlin a-t-il été effacé. Terminé, Nat Hamlin, son cerveau purgé, l'ensemble de ses souvenirs disparus, sa personnalité oblitérée... Paul Nacy n'a rien a voir avec Nat Hamlin. Paul Macy est différent. Gentil. Stable. Sa personnalité patiemment élaborée par le Centre de Réhabilitation. Une maturation de quatre ans pour un citoyen modèle. Bien sûr, physiquement, Paul Macy ressemble à Nat Hamlin. Mais après tout rien de plus normal, puisqu'il habite le même corps. Mais Paul Macy n'est pas Nat Hamlin. Non. C'est impossible. Et cette voix intérieure lancinante, qui lui dit le contraire, il lui suffit de l'ignorer. Un délire schizophrénique, rien d'autre... Et tant pis s'il lui arrive de perdre de plus en plus souvent le contrôle de ses membres. Tant pis si cette petite voix intérieure, parfois, finit par sortir de sa bouche. Nat Hamlin est mort. Point. Et non, il n'emmènera pas cette gamine sublime dans une ruelle... Non. Non !

L'Homme programmé

Un recueil de nouvelles où Robert Silverberg témoigne qu'il possède à un égal degré le sens de l'humour et le sens du tragique.Dans Les chants de l'été, une distorsion du Temps projette Dugan , un Américain d'aujourd'hui, dans un futur insolite : après un conflit atomique, il n'y a plus sur terre que quelques survivants qui ont découvert les plaisirs de la paresse et de l'anarchie. Hélas pour eux ! Dugan est un citoyen "civilisé", qui a le sens de l'ordre...A pelpel, tout est bon pour passer le temps... et c'est vrai que dans ce village perdu du Chili les distractions manquent. Sauf pour Britton, un botaniste que passionnent les cactus bizarres du pays. Les gens de Pelpel, eux, pour tuer l'ennui, pratiquent l'hallucination collective.Et si Britton se laissait entraîner dans ce jeu dangereux.Les chants de l'été ;L'éternité et après ;Doublé défi ;Le dernier poète ;Comme un frère ;A la croisée des chemins ;La digue ;La nuit du feu ;L'épouse 91 ;Nous savons qui nous sommes ;Sauve qui peut ! ;A pelpel, tout est bon pour passer le temps.

Hawksbill Station

Résumé

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Critiques

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