Le vertige des images - La collection Maciet

L'hôtel de Caumont - Aix-en-Provence

De l'origine de la lettre, de l'alpha à l'oméga, Louis Jou saura tout... Calligraphe ayant le sens inné du trait et des inscriptions, il devient, à 20 ans, " peintre-scripteur ", c'est-à-dire peintre en lettres, ouvrier qualifié pour les inscriptions et les décors. Pierre Seghers nous dresse ici le portrait de ce remarquable typographe, calligraphe et dessinateur, dont il déclare joliment : « Chaleureux et savant, il avait tout lu et traversé toutes les épreuves, en serviteur du Beau et de la connaissance. Sur les autres, il se penchait, pour leur apprendre à mieux apprendre. Un Roi-Mage, disais-je. Il fut pour ma vie, mon patron. »

Louis Jou : architecte du Livre et des Baux

Boîtes romantiques présente une sélection des plus belles pièces de la collection de Janine Nessi, qui, au fil des ans, à réuni à Lugano (Suisse) un ensemble unique au monde de boîtes à inscriptions du XIXe siècle. Thé, café, chocolat, toilette, visites, whist, crochet : il y a une boîte pour chaque activité, chaque moment de la journée. Organisé en chapitres thématiques, émaillé de citations des journaux de l'époque mais aussi des œuvres de Balzac, Eugène Sue, Musset, Flaubert, Maupassant ou Villiers de l'Isle-Adam, le livre explore ainsi la vie quotidienne de la bourgeoisie au temps de Charles X et de Louis-Philippe. Reflets d'un monde sensible à l'élégance et au charme de l'oisiveté, ces objets traduisent aussi l'excellence de la production parisienne. Fabriqués essentiellement dans le quartier du Palais-Royal ou dans le Marais avec des matériaux précieux comme les bois exotiques, l'ivoire, la nacre, ces " petits meubles " bénéficient des progrès de l'industrie : sciage mécanique, presses à vapeur... Ils sont commercialisés dans d'élégants magasins qui font alors leur apparition autour de la Bourse ou à la Chaussée d'Antin. L'Europe entière veut posséder ces " articles de Paris ", symboles d'un luxe de bon goût.

Boîtes romantiques - Nécessaires et autres jolis riens, collection Janine Nessi

Au Louvre, mardi 22 août 1911, le peintre Louis Béroud s'impatiente. La Joconde, qu'il est venu copier, n'est pas à son emplacement habituel dans le Salon Carré. Le gardien Paupardin la fait chercher chez le photographe du musée, chez les conservateurs. Rien. L'alerte est donnée : on a volé la Joconde ! Le préfet de police Lépine fait boucler le musée. Dans ses moindres recoins, l'immense bâtisse est fouillée, en vain. Deux étudiants allemands, un forçat évadé de la Guyane, une bande internationale de receleurs, un collectionneur aux mœurs douteuses : les pistes suivies par la police se multiplient. Guillaume Apollinaire, suspecté à son tour, est écroué à la Santé. Picasso vit dans la terreur d'une arrestation... Dans une France encore meurtrie par l'affaire Dreyfus, l'incroyable vol du Louvre indigne et captive l'opinion. Réalisé à partir des archives et de la presse de l'époque, ce livre raconte l'enquête menée sur le vol le plus spectaculaire de l'histoire.

Loin Du Louvre. Le Vol De La Joconde

Voler La Joconde ? Et pourquoi pas la tour Eiffel ! Le  21 août 1911, le table au est dérobé au musée  du Louvre. On croit d'abord à une farce. Puis l'évidence du vol criminel s'impose. C'est alors dans le monde entier un déferlement de stupeur et d'indignation. Et bientôt un immense éclat de rire. La police et la justice s'essoufflent, les pistes se multiplient à Paris, à Londres, à Bruxelles, à Berlin. On néglige au passage un indice capital, l'empreinte digitale laissée par le voleur sur la vitre du tableau... Tandis que l'extrême droite agite le spectre du « complot juif », Picasso est inquiété, Apollinaire jeté en prison. Et Monna Lisa devient une héroïne populaire. Quand, en 1913, on retrouve enfin le tableau à Florence, le voleur, un ouvrier italien, ne semble pas à la hauteur du crime.
C'est le vol le plus audacieux de l'Histoire que raconte cet ouvrage, fondé sur une enquête dans les archives et la presse de l'époque. C'est aussi une énigme, à laquelle il propose enfin une solution. Qui était donc cet Allemand si assidu au Louvre avant le vol ? Un espion ? Un escroc ?...

Une femme disparaît ; le vol de la Joconde au Louvre en 1911

Au Louvre, mardi 22 août 1911, le peintre Louis Béroud s'impatiente. La Joconde, qu'il est venu copier, n'est pas à son emplacement habituel dans le Salon Carré. Le gardien Paupardin la fait chercher chez le photographe du musée, chez les conservateurs. Rien. L'alerte est donnée : on a volé la Joconde ! Le préfet de police Lépine fait boucler le musée. L'enquête commence. Dans ses moindres recoins, l'immense bâtisse est fouillée par les inspecteurs de la Sûreté. Deux étudiants allemands, un forçat évadé de la Guyane, une dangereuse bande internationale de voleurs d'objets d'art, un riche collectionneur aux moeurs douteuses, un Belge excentrique : les pistes suivies par la police se multiplient. Guillaume Apollinaire, suspecté à son tour, est écroué à la Santé. Picasso vit dans la terreur d'une arrestation... Dans une France encore meurtrie par l'affaire Dreyfus et dont les démêlés coloniaux avec l'Allemagne campent le décor de la Première Guerre mondiale, l'incroyable vol du Louvre indigne et captive l'opinion. Réalisé à partir des archives et de la presse de l'époque, ce livre raconte l'enquête menée sur le vol de tableau le plus spectaculaire de l'histoire.

Le vertige des images - La collection Maciet

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