Quand un président de conseil syndical découvre un cadavre dans la cave de l'immeuble... Ni une ni deux, les balourds de la Police rappliquent et le suspectent : il lui faut mener l'enquête lui-même pour prouver son innocence. Il met le doigt dans un engrenage rocambolesque...

Une impression macabre - Occasion

Un meurtre s'est produit dans la remise du Jardin des Hespérides, maison de retraite managée de main de maître par la « cheffe ». Les soupçons se portent inexorablement sur Anatole Steinbach, romancier policier et procureur à la retraite. Ce poids moral ajouté à sa solitude aura-t-il raison de ce jeune veuf fraîchement promu au rang d'enquêteur ? Parfois le crime est dans les gènes

Le jardin des désespérés

Alpes du Nord

Ils n'auraient jamais dû se rencontrer.
 Ils représentent tout ce qu'ils haïssent.  ils se méprisent.  ils s'exècrent.  et pourtant, entre le petit cadre abject, sexiste, homophobe et raciste, et la beurette prostituée, grande gueule et prête à tout, va se nouer une étrange passion, morbide et mercantile. elle a besoin de son fric et de sentir son pouvoir sur lui ; il ne peut plus se passer de leur avilissement mutuel.  prisonniers de leurs perversions, ils s'entraînent peu à peu par le fond.
 Non, décidément, ils n'auraient jamais dû se rencontrer.

Brune

Dans le milieu feutré de ta franc-maçonnerie de province, un meurtre est commis pendant une réunion. Le meurtrier ne peut être qu'un franc-maçon puisque les portes d'accès du bâtiment sont restées fermées. Alors que toutes les exigences et les vertus prônées par cette confrérie rendent impensable un tel acte, il faut se rendre à l'évidence : un faux frère est au coeur de la bergerie. De préjugés en petites combines, Pierre Taillefer, professeur de Lettres à la retraite, soutenu par le capitaine Bonnefoy, inspecteur de police, va découvrir des coulisses peu reluisantes de cette institution lumineuse. Un récit moqueur et rythmé sur te dos des "Enfants de la Veuve".

La théorie du rasoir

« Tu vois la cicatrice qu'a ma femme au-dessus de la bouche ?Carine, approche-toi. Plus près. Voilà. 19 mars. C'était bien le 19, chérie, je ne me trompe pas ? Le 16 ? Ah bon ? Qu'importe. Un coup de cutter par un toxicomane, en bas de chez nous, avenue du Général-Leclerc, dans le XIVe. En pleine journée ! Deux mois plus tard, on emménageait ici. Marc regarda tour à tour sa femme, son fils et sa fille. Sa petite famille réunie. Peut-être pas heureuse comme il l'auraitespéré, mais en sécurité. Il jeta un discret coup d'oil à Loane. Jamais il n'aurait dragué une telle fille, si grasse. Et puis cette sueur : on la dirait recouverte de vernis. Il faudra qu'il en touche un mot à Stéphane. »Marc, Carine et leurs deux ados Stéphane et Marie forment unefamille presque ordinaire, où chacun compose avec ses frustrations. Ils viennent de s'installer à Val-d'Europe, l'un de ces nouveauxparadis pour urbains stressés. Air pur, musique d'ambiance, cinéma en 3D et barbecue : à peine le temps de profiterde cette dolce vita qu'un drame fait exploser leur rêve climatisé. Une comédie de mours cinglante et déjantée. Mano a trente-trois ans. Il a déjà publié Rip hop (Exils, 2004) et Brune (Fayard, 2006).

Les habitants

" Vacances secrètes " propose une autre manière de se ressourcer au sein de nos belles provinces françaises. Voir la campagne en dehors des sentiers battus, découvrir la région a son rythme en goûtant le charme des petits hôtels ou des gîtes de caractère, déguster les spécialités du pays dans des auberges, des restaurants et des tables d'hôte ou la qualité n'est pas un vain mot tous ces plaisirs peuvent se décliner dans un mouchoir de poche, à partir d'un cadre élu - Un vieux Moulin, Un phare aménagé, une ferme vinicole, etc. - connu souvent plus seuls autochtones. Avec son répertoire d'adresses exceptionnelles, garantit ainsi l'art de vivre sus vacances à travers les vrais trésors cachés de notre terroir.

Landes, Pays Basque, Bearn

Ce roman « judiciaire » et historique rompt, avec les romans précédents, par le thème que l'auteur, Mano, s'est choisi., conservant toutefois le style « mordant » qui est sa marque 
Cette narration, inspirée librement d'un cas judicaire réel, révèle combien les procès en sorcellerie, bien que prenant appui sur le fameux Malleus Maleficarum et respectueux d'une procédure établie, étaient avant tout affaire d'argent et de captation d'héritage. Si les femmes étaient réputées au XVIIe siècle ne pas posséder d'âme, en revanche leur porte-monnaie attisait maintes convoitises. La pauvre veuve convaincue de sorcellerie sur la foi d'un ivrogne éconduit sera donc poursuivie par Johann Häring, éminent professeur de Fribourg et son bras droit le professeur Chullotus. 
L'innocence de la veuve n'a pas à être vérifiée. La procédure en revanche doit être suivie à la lettre avant l'implacable mais sans surprise sentence

Une impression macabre - Occasion

Résumé

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