Vendetta

Membre d'un corps d'élite, la Criminalpol, Aurelio Zen est de retour, mais personne n'est censé le savoir. Après les mois d'hôpital qui lui ont été nécessaires pour se remettre d'un attentat à la bombe contre sa voiture, il fait le mort sous un faux nom dans une station balnéaire de la côte toscane, en attendant de témoigner bientôt dans un procès antimafia. Les instructions de Zen sont claires : rester à l'écart et goûter les classiques vacances italiennes à la plage - se prélasser au soleil dans sa chaise longue réservée sur une bande de sable pâle très bien tenue, manger du poisson et des fruits de mer, et engager un petit flirt léger avec la séduisante femme assise sous le parasol voisin. Mais Zen se laisse gagner par l'inquiétude alors qu'un nombre inquiétant de morts s'accumulent autour de lui. Combien de temps avant que la mafia n'achève son sale boulot ?

Et Puis Tu Meurs...

Orage de sang

Après cinq ans de mise au placard pour avoir croisé le fer avec ses supérieurs du ministère de l'Intérieur, le détective vénitien Aurelio Zen se voit confier une enquête à première vue banale: le kidnapping d'un grand industriel de Pérouse, patriarche d'une des familles les plus riches et les plus puissantes d'Italie, les Miletti.Mais les Miletti se révèlent un clan bien étrange et les motifs d'enlèvement ne sont pas aussi simples qu'on pouvait l'imaginer. L'enquête de Zen nous plonge au coeur des turpitudes cachées de la grande bourgeoisie et des liens qui l'unissent au pouvoir politique. Le detective aura bientôt la sensation d'être lui-même devenu l'otage d'une redoubtable machination.

Piège à rats

Our Review
The Art of ZenWriting a review of a Michael Dibdin novel is not easy, let me tell you. All the superlatives have been used so many times they've lost their power.Elegant stylist. Bedazzling plotter. Spellbinding psychologist. And great storyteller.In Blood Rain, Dibdin's Italian detective, Aurelio Zen, goes (not by choice) to Catania, where he is to make an assessment of certain spy operations there, said operations meant to penetrate the inner workings of the Mafia.The physical danger comes from the violence so common to this district. The spiritual danger comes from an encounter with his adopted daughter and the precarious health of his mother.An American would handle this material very differently, tending, I think, to either boozy melancholy or the dry, distancing, tough-guy stuff of the hard-boiled boys. And it would probably take place in L.A. or Florida.But with Dibdin there is a Fellini-esque quality (I'm thinking here of Amacord), where the world is made up of all things human -- sorrow, humor, fear, reflection, vulgarity, poetry -- and society is not good or bad, merely a reflection of all human vagaries. For all the decay and corruption Zen encounters, there is little real anger in the book. Zen (and not for nothing has he been so named) is a man of wisdom and acceptance. He is a detective in both the literal and metaphysical sense. And he manages to be so without being in the least pretentious.An excellent novel in all respects. And an edifying one. Dibdin's introspective approach is a relief from screaming potboilers.
  
  --Ed Gorman

Aurelio Zenyes'>#8212;cynical and tough, yet worn down from years of law enforcementyes'>#8212;has just been given the worst assignment he could imagine. He has been sent to the heart of hostile territory: Sicily, the ancient, beautiful island where blood has been known to flow like wine, and the distinction between the police and the criminals is a fine one. Even worse, he has been sent to spy on the elite antiMafia squad.The only thing that makes the job palatableyes'>#8212;and takes his mind off routine details like the rotting body found in a remote train caryes'>#8212;is that Zen's adopted daughter, Carla, is also in town. But life becomes precarious for Carla when she stumbles upon some information she'd be better off not knowing and befriends a local magistrate on the Mafia's most wanted list. What ensues is a breakneck plot of amazing complexity that culminates in a stunning finale. Blood Rain, emotionally gripping and defiantly original, is surely one of Dibdin's finest works.From the Trade Paperback edition.

BLOOD RAIN - AN AURELIO ZEN MYSTERY

Le commissaire Aurelio Zen a quitté Venise, théâtre de ses précédentes enquêtes, pour Naples. En butte aux manœuvres de ses ennemis politiques, de ses supérieurs et de ses ex-maîtresses, il a choisi un poste subalterne pour se fondre dans l'anonymat de cette ville chaotique, bien décidé à déranger le moins possible les trafics illicites dont son nouveau commissariat est le centre. Il préfère se livre au jeu de l'intrigue amoureuse, en aidant sa propriétaire, une charmante veuve, à débarrasser ses filles de deux prétendants qui pourraient bien être des hommes de la Mafia. Aurelio Zen utilisera joyeusement la trame de l'opéra de Mozart, Cosi fan tutte, pour arriver à ses fins. Mais il devra s'occuper au passage d'un cadavre poignardé retrouvé dans le port de Naples, et se demander pourquoi disparaissent avec régularité des maffiosi notoires et des hommes d'affaires louches...
Michael Dibdin conjugue la légèreté de Mozart et la violence du Parrain. Ce livre est un dangereux ballet d'amour et de mort dont seul un Aurelio Zen peut tirer les ficelles.

CosÁi fan tutti

Comment le milliardaire italien Oscar Barolo a-t-il pu être assassiné? L'extravagante propriété de Sardaigne, luxueuse et totalement isolée, où il vivait au milieu de sa cour, était une véritable forteresse, entourée de fauves, bardée d'ordinateurs et de caméras vidéo. L'une d'elles a même filmé sa mort.Pour résoudre cette énigme qui bouleverse les données classiques du crime en chambre close, l'inspecteur Aurelio Zen devra se colleter avec les prouesses de la technologie de pointe, explorer les arcanes de la politique, déjouer les pièges des services de police rivaux, bref: percer tous les mystères -- sanglants -- de l'Italie moderne.

Vendetta

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