Max Beckmann - Figures in Exile

Catalogue sur les portraits de la Belle Epoque Catalogue en version anglaise. L'exposition entend proposer une grande rétrospective de la peinture de la fin du XIXe siècle et du début du XXe. Elle s'articule autour du portrait, un genre pictural parmi les plus importants de l'époque qui offre aussi les clés iconographiques et psychologiques permettant aux visiteurs de faire le lien entre l'histoire de l'art et les événements culturels et sociaux de ce moment historique. Exposition en Espagne réalisée par : Fundacion La Caixa Madrid Consorcio de Museos de la Comunitat Valenciana

Portraits of the Belle Epoque

Antoni Clavé (1913-2005) fait partie des grands peintres graveurs du XXe siècle qui ont trouvé dans la gravure une pratique complémentaire de celle de la peinture et la sculpture. Ce catalogue raisonné s'ajoute aux ouvrages de référence de Roger Passeron (1977) et de la Sala Gaspar (1984) en réunissant, autour des oeuvres précédemment publiées, des oeuvres inédites redécouvertes, les dernières estampes réalisées par l'artiste, ainsi que les ouvrages de bibliophilies. Ce catalogue se veut un outil définitif pour les amateurs autant qu'une plongée au coeur d'un oeuvre gravé en corrélation permanente avec les oeuvres peint et sculpté, révélant ainsi la démarche créatrice globale de cet artiste singulier qui a occupé une place à part dans l'histoire de l'art français et espagnol de la seconde moitié du XXe siècle.

Antoni Clavé - Oeuvre gravé, catalogue raisonné

L'Arlésienne, personnage devenu mythique, a toujours fasciné les artistes. Séduits par son allure, sa grâce, son élégance, la beauté de son costume, elle demeure une source d'inspiration créatrice pour des peintres tels que Paul Gauguin, Adolphe Monticelli, Vincent Van Gogh, Pablo Picasso... Dès ses débuts et bien avant d'arriver au faite de la gloire, Picasso est marqué par la figure tragique et magistrale de Van Gogh. Il est fasciné par le caractère pathétique des autoportraits dont il s'inspirera. Lors de ses fréquents voyages à Arles, à l'occasion des corridas, il ne manquera jamais de se rendre sur les lieux peints par son aîné. Il est obsédé par Van Gogh et va explorer ce thème magique avec l'acharnement qui le caractérise.
Dès 1912, il peint ses premières Arlésiennes, et poursuit ses recherches jusqu'en en 1937, 1938 puis de 1954 à 1958, avec le portrait de sa femme, Jacqueline, achevant ainsi la célèbre série des Arlésiennes. L'artiste nous offre un véritable florilège de son art et récapitule ici toutes les expériences stylistiques qu'il a menées depuis le début du siècle.

Max Beckmann - Figures in Exile

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