« J'ai toujours voulu voir un Martien, dit Michael. Où ils sont, p'pa ? Tu avais promis. - Les voilà", dit papa. Il hissa Michael sur son épaule et pointa un doigt vers le bas. Les Martiens étaient là. Timothy se mit à frissonner. Les Martiens étaient là - dans le canal - réfléchis dans l'eau. Timothy, Michael, Robert, papa et maman. Les Martiens leur retournèrent leurs regards durant un long, long moment de silence dans les rides de l'eau...»

Chroniques martiennes

Un capitaine fou, tel Achab, à la poursuite d'une terrifiante comète.
Une locomotive à vapeur qui entre en gare, en tractant de noirs wagons MGM, Warner Brothers aramount, RKO, NBC ; est-ce Hollywood qu'on enterre ? Un romancier hémophile dont les ennemis affûtent les objets de la vie courante... Un homme, M. Smith, qui sombre dans le coma et dont corps se transforme lentement, sa peau devenant si dure qu'on ne peut y enfoncer l'aiguille d'une intraveineuse ; mais quelle peut bien être la destination de cette métamorphose ? Dans ce recueil rassemblant vingt-cinq textes écrits entre 1946 et 2003, dont " La chrysalide ", récemment porté à l'écran par Tony Baez Milan, Ray Bradbury aborde tous les genres de l'imaginaire : de la chronique estivale, mélancolique, à la science-fiction poétique en passant par le fantastique horrifique.

Léviathan 99

En 1953, Ray Bradbury est appelé dans les environs de Dublin par John Huston pour écrire le scénario de Moby Dick. C'est à une triple confrontation qu'est alors soumis celui qui n'était encore que l'auteur relativement obscur des Chroniques martiennes, de Farenheit 451 et d'un certain nombre de nouvelles. Confrontation avec un monstre sacré du cinéma américain, un homme au formidable appétit de vivre, à l'humeur fantasque, aux plaisanteries truculentes ou cruelles ; confrontation avec cet autre monstre qu'est l'animal mythique imaginé par Melville ; confrontation, enfin, avec un pays où le merveilleux et le loufoque sont toujours prêts à surgir de la grisaille du quotidien.Troisième volet d'une autobiographie romancée inaugurée avec La solitude est un cercueil de verre et poursuivie avec Le fantôme d'Hollywood, La baleine de Dublin délaisse le cadre du roman policier pour une forme plus poétique, une mosaïque de personnages hauts en couleur, d'anecdotes épico-burlesques, de considérations sur l'âme irlandaise qui sont autant d'étapes d'une sorte de rite de passage : celui d'un jeune écrivain qui, au contact d'un grand cinéaste, d'un grand romancier et d'un pays un peu fou, entrera en pleine possession de son propre génie.

La Baleine de Dublin

Le fantome d'hollywood

Extraits de quatre nouvelles de l'auteur des "Chroniques martiennes". Avec un dossier-jeu.

L'Homme brûlant et autres nouvelles

One of Ray Bradbury's classic novels, available as an ebook for the first time.

 In 1953, the brilliant but terrifying titan of cinema John Huston summons the young writer Ray Bradbury to Ireland. The apprehensive scribe's quest is to capture on paper the fiercest of all literary beasts - Moby Dick - in the form of a workable screenplay so the great director can begin filming.

 But from the moment he sets foot on Irish soil, the author embarks on an unexpected odyssey. Meet congenial IRA terrorists, tippling men of the cloth impish playwrights, and the boyos at Heeber Finn's pub. In a land where myth is reality, poetry is plentiful, and life's misfortunes are always cause for celebration, Green Shadows, White Whale is the grandest tour of Ireland you'll ever experience - with the irrepressible Ray Bradbury as your enthusiastic guide.

Green Shadows, White Whales

That The Illustrated Man has remained in print since being published in 1951 is fair testimony to the universal appeal of Ray Bradbury's work. Only his second collection (the first was Dark Carnival, later reworked into The October Country), it is a marvelous, if mostly dark, quilt of science fiction, fantasy, and horror. In an ingenious framework to open and close the book, Bradbury presents himself as a nameless narrator who meets the Illustrated Man--a wanderer whose entire body is a living canvas of exotic tattoos. What's even more remarkable, and increasingly disturbing, is that the illustrations are themselves magically alive, and each proceeds to unfold its own story, such as "The Veldt," wherein rowdy children take a game of virtual reality way over the edge. Or "Kaleidoscope," a heartbreaking portrait of stranded astronauts about to reenter our atmosphere--without the benefit of a spaceship. Or "Zero Hour," in which invading aliens have discovered a most logical ally--our own children. Even though most were written in the 1940s and 1950s, these 18 classic stories will be just as chillingly effective 50 years from now. --Stanley WiaterContents:· Prologue: The Illustrated Man · ss * · The Veldt [“The World the Children Made”] · ss The Saturday Evening Post Sep 23 ’50 · Kaleidoscope · ss Thrilling Wonder Stories Oct ’49 · The Other Foot · ss New Story Magazine Mar ’51 · The Highway [as by Leonard Spalding] · ss Copy Spr ’50 · The Man · ss Thrilling Wonder Stories Feb ’49 · The Long Rain [“Death-by-Rain”] · ss Planet Stories Sum ’50 · The Rocket Man · ss Maclean’s Mar 1 ’51 · The Fire Balloons [“‘In This Sign...’”] · ss Imagination Apr ’51 · The Last Night of the World · ss Esquire Feb ’51 · The Exiles [“The Mad Wizards of Mars”] · ss Maclean’s Sep 15 ’49; F&SF Win ’50 · No Particular Night or Morning · ss * · The Fox and the Forest [“To the Future”] · ss Colliers May 13 ’50 · The Visitor · ss Startling Stories Nov ’48 · The Concrete Mixer · ss Thrilling Wonder Stories Apr ’49 · Marionettes, Inc. [Marionettes, Inc.] · ss Startling Stories Mar ’49 · The City [“Purpose”] · ss Startling Stories Jul ’50 · Zero Hour · ss Planet Stories Fll ’47 · The Rocket [“Outcast of the Stars”] · ss Super Science Stories Mar ’50 · Epilogue · aw *

L'homme illustré

Un couple de vieillards dont la seule préoccupation est de se débarrasser définitivement l'un de l'autre, un curieux psychanalyste tout droit sorti du fond des mers, un détective qui enquête sur l'étrange disparition de trois enfants en se prenant pour Sherlock Holmes, une bibliothécaire capable de faire vivre les personnages des livres, tels sont les héros de ces aventures qui mêlent humour et merveilleux.Loin de Fahrenheit 451 et de Chroniques martiennes, Ray Bradbury nous entraîne dans un univers en apparence familier et pourtant surprenant.

Chroniques martiennes

Résumé

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Critiques

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