Le Zloukch

Dominique Demers raconte avec humour et fantaisie la drôle d'aventure de Pétunia, princesse des pets. En plus de nous faire de tendres confidences, l'auteure organise une fantastique chasse aux trésors dans les illustrations du livre, histoire de prolonger le plaisir... La musique est aussi au rendez-vous grâce à la superbe trame sonore composée par Bernard Falaise. Du plaisir à revendre pour les yeux et les oreilles !

Pétunia princesse des pets

Tous les soirs du monde, c'est pareil. A l'heure où la lune se lève, le papa de Pilou abandonne tout. Il s'installe à côté de son petit et se prépare à endormir la planète. Une merveilleuse façon de dire bonne nuit ! Un magnifique texte de Dominique Demers mis en images par Gaspard Talmasse. On voyage sur tous les continents.

Pilou, tous les soirs du monde

Alexia et ses copains sont furieux : on a démoli leur paradis, le skatepark, pour construire un Mégacentre culturel ultrachic. Le jour de son inauguration, les trois skateurs renversent le buffet, disparaissent sans crier gare, et finissent par trouver refuge dans le sous-sol du bâtiment. Leur route croise alors celle de Melle Charlotte, la nouvelle femme de ménage...

Une Fabuleuse Femme De Ménage

D'habitude, les entraîneurs de soccer observent, critiquent... il y en a même qui engueulent ceux qui font des erreurs. Mais jamais mademoiselle Charlotte. Avec ses étonnantes méthodes d'entraînement, son « spling » et son « smalalamiam », la nouvelle entraîneuse a de quoi surprendre! Saura-t-elle mener l'équipe de l'Anse-aux-canards à la victoire? Tout comme son héroïne, Dominique Demers déborde d'énergie et d'imagination. Avec cette sixième aventure de mademoiselle Charlotte, elle nous entraîne dans une partie de plaisir remplie de rebondissements.

La fabuleuse entraîneuse

Une petite fille vraiment minuscule, un vieux monsieur beaucoup trop seul, et voilà la musique qui s'installe pour ne plus nous quitter. Une histoire qui touche à l'essentiel : droit au coeur...

Vieux Thomas et la petite fée

Chacun a ses raisons de passer l’été 1950 à Tadoussac.Pour le Dr Beattie, médecin psychiatre, c’est l’occasion d’un pèlerinage dans une campagne qu’il a connu enfant. Thomas, lui, n’a pas le choix : on ne voulait plus du vieux fou des baleines du côté des Escoumins, où il dérangeait trop les chasseurs de marsouins. Mais Gabrielle, pourquoi est-elle revenue, après 15 ans d’exil dans la grande ville? Elle-même ne le sait plus trop, au moment de descendre du bateau vapeur…Rongée par son passé, incapable de faire face à l’avenir, la jeune femme dépose sa valise à l’hôtel Tadoussac, lieu somptueux où s’ébattent chaque été de riches touristes anglais. Au hasard d’une promenade sur la grève, elle qui ne cherchait plus rien trouvera enfin un sens, une raison de continuer.Et s’il était possible de laisser reposer au fond des océans notre douleur, de la confier aux baleines, pour mieux vivre parmi les hommes?

Pour que tienne la terre

Mlle Charlotte est une vraie tête en l'air ! Au moment de prendre le train elle échange son sac avec celui du Premier ministre. Vite, il faut le rendre à son propriétaire ! Mais cet homme très occupé est insaisissable. Gustave-Aurèle, son fils, vient en aide à Mlle Charlotte. Ensemble, ils découvrent que le Premier ministre prépare une réforme de l'enseignement des plus ennuyeuses !

Mlle Charlotte Tome 4 : une drôle de ministre

Vers quinze ans, Marie-Lune éprouve une grande envie de liberté. Ses parents sont troublés. La vie était si paisible au bord du lac des Laurentides où la famille s'était installée.C'est qu'Antoine est survenu, avec ses yeux verts, immenses, brillants comme la forêt des alentours les matins d'été. Et puis Marie-Lune a commencé à trouver la ville bien attirante.C'est dans ces circonstances que la mort frappe. Marie-Lune chavire. L'intensité du premier amour, l'atrocité d'un départ définitif, l'émerveillement d'une maternité pourtant si dérangeante, tout cela est beaucoup pour une jeune fille. Serait-ce trop? Marie-Lune devra traverser le désert de l'adolescence et aller jusqu'au bout de sa nuit.Voilà un «vrai roman», comme le dit Jacques Allard dans sa préface, «où l'émotion court partout, sans tomber dans le mélodrame».
  Réunit en un seul texte les titres déjà parus:- Un hiver de tourmente ;- Les grands sapins ne meurent pas ;- Ils dansent dans la tempête.

Le Zloukch

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