Crise du logement et mouvements sociaux urbains - Enquête sur la région parisienne

La societe en reseaux

Après avoir vécu toute sa jeunesse sous le régime franquiste et y avoir résisté en diffusant tant bien que mal des tracts ronéotypés, Manuel Castells peut déclarer avec raison que " le pouvoir repose sur le contrôle de la communication, et le contrepouvoir sur sa capacité à déjouer ce contrôle ". Devenu depuis lors un spécialiste mondial des sociétés en réseaux et de la communication, il nous offre ici un ouvrage de synthèse qui prolonge et actualise sa fameuse trilogie, L'ère de l'information (Fayard, 2000-2004). A partir d'une série d'analyses empiriques - la campagne électorale de Barack Obama, les stratégies de certaines entreprises de communication internationales -, il élabore des réflexions théoriques qui intéresseront aussi bien la communauté des chercheurs en sciences sociales qu'un plus large public. " Ce que je veux vous raconter ici, c'est une histoire sur le pouvoir : l'histoire du pouvoir dans le monde où nous vivons. Et ça, c'est ma façon à moi de défier le pouvoir en place : la seule dont je dispose vraiment, c'est de révéler sa présence au cour même de nos processus cognitifs. "

Communication et pouvoir

Après avoir vécu toute sa jeunesse sous le régime franquiste et y avoir résisté en diffusant tant bien que mal des tracts ronéotypés, Manuel Castells peut déclarer avec raison que "le pouvoir repose sur le contrôle de la communication, et le contrepouvoir sur sa capacité à déjouer ce contrôle". Devenu depuis lors un spécialiste mondial des sociétés en réseaux et de la communication, il nous offre ici un ouvrage de synthèse qui prolonge et actualise sa fameuse trilogie, L'ère de l'information (Fayard, 2000-2004). A partir d'une série d'analyses empiriques-la campagne électorale de Barack Obama, les stratégies de certaines entreprises de communication internationales, il élabore des réflexions théoriques qui intéresseront aussi bien la communauté des chercheurs en sciences sociales que la société civile.

A review of the original French edition of this book in the American Journal of Sociology hailed it as "the most finished product yet to emerge from the new (Marxist) school of French urban sociology... The aim of the book is nothing less than to reconceptualize the field of urban sociology. It is carried out in two stages: a critique of the literature of urban sociology (and urbanization) and an attempt to lay the Marxist bases for a reconstructed urban sociology."The problems facing the world's cities, whether problems of development or of decay, cannot be solved until they have been diagnosed. The race riots in Detroit, the shantytowns of Paris, the financial crisis of New York must not be seen in isolation. The mushrooming cities of the third world, demolition and urban sprawl at home are located in a network of economics, social welfare and power politics, and the decisions we are called upon to make elude us in a fog of ideology.This brilliant exposition of the function of the city in social, economic and symbolic terms illuminates the creation and structuring of space by action—administrative, productive and more immediately human. The interaction of environment and life-style, the complex of market forces and state policy against a background of traditional social practice is scrutinized with the aim of establishing concepts and research methods that will enable us to come to grips with the cities themselves and the way in which we view them.Castells draws on urban renewal in Paris, the English New Towns, the American megalopolis for concrete data in his empirical and theoretical investigation. In this English edition, a newPart V has been added on urban development in America. The chapters on the pobladores in Chile and the struggle of the FRAP in Quebec have been greatly extended and an Afterword traces the development of research in the past five years.

La question urbaine

Quelle est la relation existante entre organisation de l'espace et développement des forces productives ? Ce livre essaie d'avancer dans le traitement d'une telle question, qui semble être centrale pour l'aménagement du territoire, en analysant la logique sous-jacente à l'espace de la production. Pour cela, il étudie les rapports existant entre l'industrialisation, l'urbanisation et l'espace en critiquant la théorie économique classique de l'implantation industrielle. Il procède ensuite à l'analyse concrète de deux situations très différentes, la région parisienne et la région de Dunkerque, en déduisant quelques axes interprétatifs. Enfin, il pose le problème des nouveaux rapports entre l'industrie et l'environnement en fonction de la crise actuelle du capitalisme et de la nouvelle division internationale du travail.

Crise du logement et mouvements sociaux urbains - Enquête sur la région parisienne

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