Walker evans

Henri Cartier-Bresson - Interviews and Conversations, 1951-1998

Collection photographie ; musée national d'Art moderne/centre Pompidou

En 2011, le Centre Pompidou faisait l'acquisition de la collection de Christian Bouqueret, le dernier grand ensemble de photographies des années 1920 et 1930 encore en mains privées en France. Le fonds conserve près de 7000 tirages d'époque répartis en une centaine d'ensembles monographiques, parmi lesquels figurent les plus grands photographes présents à Paris à cette époque. "Voici Paris" a pour ambition de présenter les richesses de cette extraordinaire collection, mais aussi d'esquisser le portrait de la création photographique en France à cette époque où la capitale aimante toutes les forces vives de la création internationale : des Américains. des Allemands, des Hongrois et bien d'autres encore. Aux côtés des photographes français, ils participent à l'une des périodes les plus flamboyantes de l'histoire du médium, celle où s'invente la vision moderne.

Voici Paris - Modernités photographiques, 1920-1950

Cette première monographie complète sur la photographie de Mohamed Bourouissa revisite et contextualise les grandes images théâtrales qu'il a réalisées pour parler de la vie des banlieues françaises.

Mohamed Bourouissa : péripherique

Lorsque les premières cabines de photomaton furent installées à Paris en 1928, les surréalistes en firent un usage intensif et compulsif. En quelques minutes, et pour une somme modique, la machine leur offrait, dans le domaine du portrait, une expérience similaire à celle de l’écriture automatique. Depuis des générations d’artistes ont été fascinées par le principe du photomaton. De Salvador Dalì à Andy Warhol, en passant par Francis Bacon, Christian Boltanski, Arnulf Rainer, Thomas Ruff, Cindy Sherman, ou Pierre et Gilles, ils sont nombreux à s’être emparés du photomaton pour jouer avec leur identité, raconter des histoires, ou simplement faire des mondes.

Derrière le rideau - L'esthétique Photomaton

Cette série, présentée à la fondation Cartier Bresson en 2020 puis au SF MOMA en 2021, a été réalisée par le photographe Gregory Halpern lors d'une résidence en Guadeloupe. Le titre, référence à Aimé Césaire, traduit le caractère hybride du travail d'Halpern qui a voulu témoigner à travers paysages et portraits de l'histoire mouvementée de l'archipel mais aussi de sa nature luxuriante.

Gregory halpern let the sun beheaded be

En este pequeño y renovador ensayo, Clément Chéroux nos propone una historia de fotografía contada a traves de errores. Lejos de presentarnos un simple museo de equivocaciones y de horrores, el conservador de fotografía del Centre Pompidou retoma algunos de los iconos fotográficos más representativos, así como una serie de imagenes anónimas para demostrarnos de qué manera ciertos intentos fallidos han contribuido a impulsar los alcances y la evolución de la fotografía.

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