Sourire et rire sont assurément les meilleurs remèdes ; alors, il vaut mieux entrer dans une librairie que dans une pharmacie ... Et sans ordonnance !
Fictionnaire : Dictionnaire de mots fictifs.
Aglaçant : Qui irrite froidement.
Cartomanchienne : Voyante pour toutous.
Minuscul : Qui a un petit derrière.
Raidibitoire : Qui reste ferme et inflexible longtemps après l'amour.
« Vous m'avez bien fait rire ! merci... » Jean-Christophe Rufin.

Mon fictionnaire

En 1717 au fond d'un sombre cachot de la Bastille, Antoine de Lamothe-Cadillac écrit fiévreusement ses Mémoires. Fondateur de Détroit, chevalier de Saint-Louis par la grâce de Louis XIV, premier gouverneur de la Louisiane, il ne lui reste désormais que sa plume pour affronter ses ennemis de toujours : les jésuites. Mais des mots valent parfois une épée, pour peu qu'un bouillant sang gascon les anime. Officier de génie, flibustier sanguinaire, coureur des bois en Acadie et en Nouvelle-France, trafiquant d'alcool et de fourrure de castor avec les Indiens, Cadillac fut tout cela avant d'installer un poste avancé entre les lacs Érié et Huron en un lieu nommé le Détroit. Lancé à la conquête de ses rêves, il nous entraîne à sa suite au cour des aventures les plus folles. « Oil d'aigle, jambe de cigogne, moustache de chat, dent de loup », comme son aïeul Cyrano de Bergerac, il est aussi séduisant et truculent que querelleur et affabulateur.

Cadillac - L'homme qui fonda Detroit

Ouvragé dans un style rock'n'roll, cette " American narrative story " est un livre de révolte, où New York pourrait être le personnage principal. En perpétuelle ébullition, Big Apple, est un bouillon de culture où prend corps le langage de la création. La présence des narrateurs successifs contribue à multiplier les fausses pistes, si bien qu'on est intrigué en se laissant entraîner dans un tourbillon de situations comme l'effondrement des tours jumelles, le " fameux " marathon, la naissance d'un cinéaste génial ou les débuts des plus grands musiciens du jazz. Le ton est allègre, la "musique" captivante et, en lisant, on partage avec délice l'émerveillement de l'auteur devant New York, où il aime séjourner et écrire entre deux voyages en Louisiane, l'Etat de sa famille américaine.

News York

En 1717 au fond d'un sombre cachot de la Bastille, Antoine de Lamothe-Cadillac écrit fiévreusement ses Mémoires. Fondateur de Détroit, chevalier de Saint-Louis par la grâce de Louis XIV, premier gouverneur de la Louisiane, il ne lui reste désormais que sa plume pour affronter ses ennemis de toujours : les jésuites. Mais des mots valent parfois une épée, pour peu qu'un bouillant sang gascon les anime. Officier de génie, flibustier sanguinaire, coureur des bois en Acadie et en Nouvelle-France, trafiquant d'alcool et de fourrure de castor avec les Indiens, Cadillac fut tout cela avant d'installer un poste avancé entre les lacs Érié et Huron en un lieu nommé le Détroit. Lancé à la conquête de ses rêves, il nous entraîne à sa suite au coeur des aventures les plus folles. « OEil d'aigle, jambe de cigogne, moustache de chat, dent de loup », comme son aïeul Cyrano de Bergerac, il est aussi séduisant et truculent que querelleur et affabulateur.

Cadillac

Milt Jackson, vibraphoniste vedette du Modern Jazz Quarte, auteur d'une centaine d'albums entre 1940 et 2000, s'est imposé comme l'un des plus grands jazzmen de tous les temps. En 1999, il se produit au Festival de jazz de Montauban pour un ultime concert. Interviewé par Robert Pico, il lui confie le récit de sa vie, puis rentre aux Etats-Unis où il décède quelques jours plus tard.
Ce roman passionné retrace l'incroyable histoire du créateur du style be-bop, celui qui a joué avec les plus grands : Charlie Parker, Thelonious Monk, John Coltrane, Ray Charles, Count Basie et tant d'autres. C'est aussi l'histoire de 60 ans de jazz, avec ses anecdotes truculentes, ses petits secrets. Un portrait sans concession de l'Amérique du racisme et des inégalités ; un roman " black " au tempo nerveux et rapide comme un long solo électrique.

Jackson Jazz

Amour, gloire, beauté - et arnaque - lors du passage à l'euro... ou comment faire fortune, en compagnie de jolies femmes, dans les endroits chics de la capitale. Voici un avant-goût des projets de Greg Anderson, qui entend bien profiter de la grande pagaille monétaire qui bouleverse l'Europe. Pas d'attaques de fourgons blindés, ni de hold-up en cagoules, mais une ingéniosité d'escroc pour les filouteries bancaires. Et Greg va s'emparer d'un magot à faire rêver les Suisses. Mais il n'aurait pas dû oublier les seins de l'Américaine...

Les Seins De L'Americaine

Antoine de Cadillac (né en 1658 dans ce qui sera plus tard le Tarn et Garonne, en France) est l'homme qui fonda Detroit en 1701.Héros sublime pour les uns, fieffé coquin pour les autres, il a donné son nom à la célèbre voiture fabriquée par la General Motors et fut l'un des plus truculents personnages de la Nouvelle-France. Vantard, ingénieux, querelleur, génie pour le commerce, aventurier, visionnaire géopolitique, meneur d'hommes, excessivement sympathique, Cadillac était de la trempe des D'Artagnan, Casanova, Cagliostro et Cavelier de La Salle.Il fut le premier gouverneur de Louisiane, a inspiré l'abbé Prévost pour son roman Manon Lescaut et, après avoir été toute sa vie en butte aux jésuites, il s'est retrouvé à la Bastille avec Voltaire en 1717.Il mourut dans son lit en 1730.

Cadillac, l'homme qui fonda Detroit

Immigré coréen, Kim Junpyeong débarque à Osaka, au Japon, dans les années 1930, pendant la période d'occupation de la Corée. Brutal, cruel mais charismatique, il est hanté par la domination et l'argent. Il va plonger toute sa famille dans son obsession destructrice. Seul son fils parvient à le défier puis à s'éloigner de sa funeste présence. Sa femme, Yi Yeong-hee, mère courage, n'aura de cesse de survivre et protéger ses enfants, aidée par ses voisines coréennes. Devenu un redoutable entrepreneur, Kim Junpyeong se condamne à la déchéance et à la solitude puisqu'il n'aime que ce qu'il a brisé. Sang et os retrace un drame sur soixante ans, celui d'un homme sans foi ni loi pris dans une page méconnue de l'histoire entre la Corée et le Japon. Yan Sogiru, né en 1936 à Ôsaak, est parmi les plus grands représentants de la Littérature coréenne du Japon, dite Zaïnichi bungaku. Il s'inspire du portrait de son propre père pour créer le personnage viloent de Kim Junpyeong dans cette saga familiale qui a pour arrière-plan l'histoire de l'immigration coréenne. Le roman a obtenu le prix Yamamoto Shugorô en 1998 et a été également selectionné pour le prix Naoki. Il a été adapté à l'écran par Sai Yôichi en 2004 avec Kitano Takeshi dans le rôle principal.

Mon fictionnaire

Résumé

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