La Foi d'un écrivain

Joyce Carol Oates masterfully captures the unique experience of being a teenage girl in this provocative and poignant new novel in the vein of Wintergirls and Thirteen Reasons Why.It wasn't like she had not warned us.It wasn't like she had not prepared us.We'd known that something was wrong those last several months.But then, Tink hasn't actually vanished. Tink is gone, and yet—she is here somewhere, even if we can't see her.Tink? Are you—here?

Ce que j'ai oublié de te dire

Successful author and famous intellectual Marya Knauer did not always occupy such a secure and comfortable position in life. Her memories of her childhood in Innisfail, New York are by turns romantic and traumatic. The early violent death of her father and abandonment by her mother have left her with a permanent sense of dislocation and loss. After decades apart, Marya becomes determined to find the mother who gave her away. In searching for her past, Marya changes her present life more than she could ever have imagined. Vividly evoking the natural beauty of rural upstate New York, and the complex emotions of a woman artist, Marya: A Life is one of Joyce Carol Oates's most deeply personal and fully-realized novels.

Marya

Quand Zoe Kruller, jolie serveuse se rêvant star de country, est découverte brutalement assassinée dans son lit, la police de Sparta vise aussitôt deux suspects : Delray, le mari dont Zoe est séparée, et Eddy Diehl, l'amant de longue date. Mais, sans preuve, l'enquête piétine. Les rumeurs s'amplifient, ravageant au passage l'existence des deux hommes et imprimant un cours étrange à celle de leurs enfants. Aaron Kruller et Krista Diehl, adolescents sacrifiés à l'histoire familiale, chacun persuadé que le père de l'autre est l'assassin, conçoivent peu à peu une redoutable obsession réciproque. Étrange lien que l'éloignement et les années n'entameront en rien. Aussi, lorsque longtemps après le drame ils se rencontrent de nouveau, ils semblent prêts à exorciser les fantômes du passé, à se réconcilier avec leur lourd héritage. Mais rien n'est simple pour ces êtres qui oscillent entre violence muette, désir sauvage, et peur de l'autre. Avec Petit oiseau du ciel, Joyce Carol Oates fait le récit d'une passion romantique et cruelle, sensuelle et destructrice. Dans cet univers brutal, où l'alcool et la drogue font oublier le quotidien, où la dureté est le meilleur des remparts, tous rêvent d'une nouvelle vie, mais est-ce seulement possible ? Une histoire captivante, disséquée comme toujours de manière implacable.

Petit oiseau du ciel

Un jeune garçon se découvre une passion pour les poupées désormais orphelines de sa cousine, victime d'une leucémie. Commence alors une étrange collection, celle de poupées abandonnées, qu'il déniche dans le voisinage. Mais la frontière est parfois ténue entre collection et obsession, et les poupées semblent être, aux yeux du garçon, bien plus que de simples jouets d'enfants...

Des vies ordinaires bouleversées par l'irruption du macabre, voilà ce qui unit « Le maître des poupées » aux cinq autres histoires qui composent ce recueil de nouvelles terrifiantes. Poursuivi par le sentiment de l'inéluctable, le lecteur reconnaît dans chaque personnage un voisin, une camarade de classe, une parente lointaine ou son libraire de quartier. Une jeune fille, délaissée par sa mère, trouve du réconfort auprès d'une autre famille, jusqu'à recevoir beaucoup trop d'amour (« Big Momma ») ; un homme d'affaires avide de pouvoir est prêt à tout pour ajouter à sa collection déjà grande une mystérieuse librairie... Ou encore une femme épanouie dans sa vie de couple, qui découvre avec effroi les desseins de son mari à son encontre (« Equatorial »).

Oates réveille avec talent la fascination pour l'horreur qui gît en chacun de nous, au risque d'y perdre le sommeil.

Le maître des poupées et autres histoires terrifiantes

From Publishers Weekly:"Standouts include Dennis Lehane's gilt-edged chiller, 'A Bostonian (in Cambridge), ' in which a wealthy collector of letters of abandonment falls prey to wily blackmailers, and Joe R. Lansdale's 'The Skull Collector, ' a gangster yarn featuring gun-toting female grave robbers. Overshadowing everything, though, is Lee Goldberg's 'Lost Shows, ' a delightful shocker about a fanatical collector of short-lived and unaired TV shows who has turned his Hollywood home into a mausoleum of lost dreams." A COLLECTION. OF COLLECTIONS What leads one person to collect stamps and another coins, one fine art and another butterflies? Who can say? But one thing is certain: those who've got the collecting bug care passionately-sometimes violently-about the objects of their obsession. No one covets like a collector; and as you will find in the pages of this brand new anthology from MWA Grand Master Lawrence Block, a truly dedicated collector will ignore the other nine commandments, too, in his quest for his personal Holy Grail. From Joyce Carol Oates' tale of the ultimate Marilyn Monroe collectible to Dennis Lehane's bookseller with a penchant for other people's tragic correspondence, from Lee Goldberg's Hollywood hustler with a collection of unaired TV shows to Joe R. Lansdale's stylish foray into noir, culminating in Lawrence Block's own classic story of a killer with a unique approach to choosing his victims, Collectibles illustrates the range of the collecting impulse and the lengths people will go to in their hunger to possess the perfect piece.

Collectibles

4 luglio, metà anni '90. Grayling Island, Maine. Una Toyota nera corre a tutta velocità. È notte e gli alberi riducono la visibilità. Al volante un senatore degli Stati Uniti, uomo grande e rassicurante, guidatore aggressivo e alticcio, macina la strada con aria decisa: gli restano solo pochi minuti per raggiungere il traghetto che porterà lui e la giovane Elizabeth « Kelly » Kelleher, appena conosciuta nel corso di un esclusivissimo party, verso la terra ferma. Poi, una curva, gli pneumatici perdono aderenza, l'auto impazzita esce di strada, sprofonda nell'acqua nera dell'Indian River. L'uomo riemerge dalla palude e si salva. Ventisei anni, una laurea in Storia americana, una ricerca sulla figura del Senatore, Kelly Kelleher perde la vita. Da questo episodio di cronaca che sconvolse l'America (l'uomo era Ted Kennedy, la ragazza la sua giovane segretaria), Joyce Carol Oates ha tratto un romanzo intenso, una storia che scorre nei minuti in cui Kelly, intrappolata nell'auto, ripercorre per rapidi lampi le ore precedenti l'incidente e la sua intera esistenza. La coscienza abbandona la ragazza, le immagini le affollano la mente mescolandosi e correggendo la sua imprecisa visione della realtà. Ricordi e riflessioni, impressioni e brani di dialogo si alternano in una serie di schegge sempre più confuse. Attorno a questa cupa istantanea, reiterata senza pietà capitolo dopo capitolo, Joyce Carol Oates assembla un quadro brutale della tracotanza del potere e della politica. Acqua nera si rivela un'opera lucidissima, claustrofobica e disturbante che concilia sperimentazione linguistica e critica politica e sociale in un terribile, perfetto congegno narrativo. Joyce Carol Oates è una delle voci più importanti della narrativa americana contemporanea. Finalista al premio Pulitzer con Per cosa ho vissuto, uscito per il Saggiatore, Oates ha vinto tra gli altri il National Book Award, il Pen Faulkner Award e il Prix Femina Étranger. Insegna all'Università di Princeton e fa parte inoltre della prestigiosa American Academy of Arts and Letters. Tra i suoi libri più recenti tradotti in Italia: Le cascate (2009), L'età di mezzo (2009), La figlia dello straniero (2009), Tu non mi conosci (2009), Sorella, mio unico amore (2011), Uccellino del paradiso (2012), La ragazza tatuata (2012), pubblicati da Mondadori;Blonde (2007), Una brava ragazza (2010), Doppio nodo (2011), pubblicati da Bompiani. Per Marco Tropea Editore, Zombie (1996), Perché sono uomini (1998), Storie americane (2005) e la raccolta di racconti da lei curata Figlie e madri (2003). Nelle edizioni tascabili Net sono usciti Acqua nera (2002) e Ragazze cattive (2004); per il Saggiatore Tascabili La ballata di John Reddy Heart (2010) e Una famiglia americana (2010). alle Kelly.

Acqua nera

Hammond, petite ville au nord de l'Etat de New York, dans l'Amérique des années cinquante. Entre blancs et noirs, la barrière est infranchissable, même dans les quartiers les plus pauvres, même si les enfants se côtoient à l'école et si une attirance existe entre adolescents des deux races. Une situation qui bascule le jour où, pour sauver Iris la blonde, agressée par un minable "petit blanc", Jinx le noir devient un meurtrier.Un lien tragique va dès lors unir les jeunes gens, seule sanction de cet acte qui n'a pas eu de témoin. Les années s'écoulent. Iris survit au divorce de ses parents, à la dérive de sa mère. Elle change de ville et de milieu. Jinx, à la suite d'un accident, renonce au basket, sa passion, et aux études. Il choisit de devenir "un crétin de négro ignorant". Enfermés chacun dans un rôle mensonger, il leur reste la certitude que "personne n'est aussi proche de nous que nous le sommes l'un de l'autre".Une fois encore, la puissance d'écriture, l'ironie et l'acuité du regard de J.C. Oates forcent l'admiration. Celle que les Américains tiennent pour leur meilleur peintre de la réalité contemporaine donne ici l'un de ses plus grands romans.

Cette saveur amère de l'amour

Elles se rencontrent au cœur des années soixante-dix, camarades de chambre dans un collège prestigieux où elles entament leur cursus universitaire. Genna Meade, descendante du fondateur du collège, est la fille d'un couple très "radical chic", riche, vaguement hippie, opposant à la guerre du Vietnam et résolument à la marge. Minette Swift, fille de pasteur, est une boursière afro-américaine venue d'une école communale de Washington. Nourrie de platitudes libérales, refusant l'idée même du privilège et rongée de culpabilité, Genna essaye sans relâche de se faire pardonner son éducation élitiste et se donne pour devoir de protéger Minette du harassement sournois des autres étudiantes. En sa compagne elle voit moins la personne que la figure symbolique d'une fille noire issue d'un milieu modeste et affrontant l'oppression. Et ce, malgré l'attitude singulièrement déplaisante d'une Minette impérieuse, sarcastique et animée d'un certain fanatisme religieux. La seule religion de Genna, c'est la piété bien intentionnée et, au bout du compte inefficace, des radicaux de l'époque. Ce qui la rend aveugle à la réalité jusqu'à la tragédie finale. Une tragédie que quinze ans - et des vies détruites - plus tard, elle tente de s'expliquer, offrant ainsi une peinture intime et douloureuse des tensions raciales de l'Amérique.

La Foi d'un écrivain

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