Les Erreurs De L'Eglise

cet écrit s'adresse principalement aux 15-25 ans, mais la lecture n'en est pas pour autant interdite aux aînés, voire à toutes personne désireuse de mieux connaître le " vrai " message de l'église catholique en matière de sexualité. pour ombre d'enseignants et d'animateurs de jeunes, ce livret est devenu un outil pédagogique utile pour parler du sexe. 
a ces éducateurs, l'auteur donne le conseil suivant : faire lire un ou deux chapitres aux adolescents, puis en parler avec eux.  il est, en effet, plus simple de parler d'un texte que de sa propre sexualité.  même si cela revient toujours un peu au même. 
ce livre fut publié une première fois en 1998 sous les titre : ce sexe.
qui n'est pas celui des anges.  epuisé en librairie, il est réédité neuf ans plus tard.  a cette occasion, l'auteur a quelque peu retouché son texte, afin de l'adapter à la décennie nouvelle.

Apprendre à vivre sa sexualité

Telle est - cruelle - la question de fond : le christianisme a t-il encore quelque chose à apporter à notre Occident ? À quoi sert-il de repenser une Eglise plus démocratique, enfin ouverte, adaptée aux temps nouveaux, si le christianisme ne semble pas avoir une consistance suffisante pour les hommes d'aujourd'hui ? La " boîte à symboles " qu'était la religion de nos grands-mères, nous l'avons déconstruite en mettant à nu ses innombrables rouages psychologiques, sociologiques et historiques... puis nous avons tout jeté aux oubliettes de l'histoire. Avec un humour décapant, l'auteur présente l'aventure chrétienne avec des mots qui lui sont propres. Ceux-ci s'adressent à l'homme contemporain, capable du meilleur mais également englué de consommation, taraudé par la peur d'être un looser et son ennui d'exister. Le masque craque de partout et derrière, il y a un enfant qui pleure. À tous ceux qui sont déroutés, " désorientes " dans leur foi et leur désir, que ces paroles de discernement et de liberté les décomplexent !

Lettre ouverte aux déçus du christianisme

Le christianisme offre-t-il un bon produit à nos contemporains ? Ce produit est-il encore concurrentiel ? Pour y répondre, dans un langage facile d'accès, Eric de Beukelaer offre une relecture dynamique et perspicace des fondamentaux de l'Eglise : la personne de Jésus, la foi, la démarche spirituelle, la vie ecclésiale, l'impact social du christianisme et son avenir dans un monde où la concurrence religieuse est forte. Il n'hésite pas non plus à approfondir les sujets sensibles d'aujourd'hui en y apportant des propositions concrètes. Car, dit-il, soit l'Eglise n'est qu'une institution humaine parmi tant d'autres. Alors, qu'importe qu'elle se casse la figure ? Ceci est dans l'ordre des choses humaines. Des empires millénaires s'écroulent, pourquoi l'Eglise ferait-elle exception ? Par contre, si l'Eglise est inspirée par celui que les hommes appellent Dieu...

Pourquoi je ne crois pas à la faillite du christianisme

Quand l'Eglise perd son âme

" Le titre de ce livre ne se veut pas provocateur, mais bien révélateur. Au cours de son histoire, l'Eglise a trop oublié que judas était au nombre des douze témoins choisis par Jésus. Une pieuse tradition a rapidement tiré le rideau sur la figure sombre de l'Iscarioth, comme si son rôle dans l'histoire du salut s'arrêtait avec la trahison.
Pour moi, tout geste du Christ est un signe qu'il nous adresse jusqu'à la fin des temps. Bien loin d'être une erreur de jugement, le choix de Judas rappelle que dans notre Eglise fondée sur la foi des Apôtres, une part du mystère d'iniquité demeure.
Oui, pour le chrétien que je suis, l'Eglise est le peuple de Dieu en marche qui donne la vie du Christ aux hommes par la puissance de l'Esprit. Pourtant, ce peuple n'en demeure pas moins aussi, et à bien des égards, traître à sa mission surnaturelle. Là où brille l'éclat du Crucifié sur cette terre, apparaît invariablement l'ombre triste du pendu... "

L'Eglise De Judas. Essais Sur Les Erreurs, Fautes Et Peches Commis Au Nom De L'Eglise Au Cours De Son Histoire

Sommes-nous au seuil d'une éclipse de l'humanisme ? Le choc des civilisations, la mondialisation anarchique, le capitalisme débridé, le fondamentalisme religieux, le dérèglement étique et la perte de confiance en soi vont-ils faire reculer la civilisation de plusieurs siècles ? Un peu à l'instar de l'Occident au tournant des Ve et VIe siècles après que de vastes mouvements de populations eurent raison de l'empire romain ? Ou encore, à l'image des peurs délirantes qui hantèrent l'Europe entre les XIVe et XVIIe siècles des suites de la grande peste ? Bien malin qui pourrait prévoir l'avenir. Le propos de ce livre est d'appeler le lecteur à la lucidité et à la vigilance. Au cours de son histoire récente, notre humanité s'est retrouvée plus d'une fois au bord de l'abîme. Le fait que nous y ayons globalement échappé doit nous inviter à la confiance en la capacité humaine à ne pas s'autodétruire. Cependant, pareille sérénité ne peut faire perdre de vue qu'il n'existe aucune assurance tous risques contre la folie suicidaire qui, par moment, se saisit des civilisations. L'urgence humaniste est notre défi à tous.

L'urgence humaniste - Plaidoyer pour une renaissance - Occasion

Depuis 65 ans, la vie politique en Occident se fonde sur le rejet intuitif de tout ce que représente le nazisme. La Déclaration universelle des droits de l'homme (1948) découla de la Charte de l'Atlantique souscrite en 1941 par les Alliés. En ce début de XXIe siècle, la génération au pouvoir ne connaît ces événements que par les livres d'histoire. Dans une société sécularisée, avec des citoyens aux convictions philosophiques et religieuses diverses, comment dès lors encore fonder une civilisation humaniste ? Voilà la question posée dans cet ouvrage.

Credo politique ? Ce titre se veut tout d'abord un petit clin d'oeil vers l'auteur. Quand un prêtre parle politique, cela sent toujours un peu le soufre... Clin d'oeil aussi au contenu de ce livre qui - comme les credos - ne vise pas tant l'originalité, que le rappel d'évidences fondatrices. Credo politique, enfin et surtout, parce que la thèse centrale de cet essai est que l'humanisme ne se fonde pas uniquement sur des résultats électoraux, si libres et démocratiques soient-ils. La civilisation des droits de l'homme postule l'adhésion à un étalon qui transcende les contingences historiques. Un sens de l'histoire que les hommes libres se doivent de défendre - comme le martelait le grand Churchill - to the bitter end. Pareil credo est-il de nos jours encore d'actualité ? Au lecteur de se faire une religion.

Les Erreurs De L'Eglise

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