Une maison en gâteau.
 Un généreux petit cuisinier.  des amies souris.  et de jolies illustrations pour raconter cette histoire.

La maison de couci-couca

Elzbieta

Bibi

Quand Titine vient au monde, sa maman à une place l'abandonne dans une boîte à chaussures.
Recueillie par un cirque, puis envoyée au foyer des enfants sans parents, ce sont finalement son oncle Tonton et sa tante Cybèle qui viennent la chercher. Ils l'emmènent dans leur château de la combe obscure où elle fait la connaissance de ses « adorables » cousins, Kouik et Krak. Tout semble rentrer dans l'ordre pour Titine qui retrouve une famille, mais il ne faut pas croire pour autant que les jours vont s'écouler paisiblement

L'écuyère

Assis sur le rivage, un poète s'interrogeait : "Pourquoi suis-je si seul et triste au clair de la lune ? " Et il s'entendit répondre : "Parce que je ne suis pas marié ! " Aussitôt, Mirliton composa un poème, en secret, pour sa bien-aimée... Mais à qui confier son message ?

Le mariage de Mirliton - Occasion

Journal 1973-1976

Polichinelle et son petit chien donnent un spectacle. Mais tout ne se passe pas comme prévu...
Un classique d'Elzbieta, un numéro burlesque et hilarant qui ravira tous les petits. À partir de 2 ans.

Polichinelle et moi

A quoi rêve la médina de Marrakech, dont le monde entier rêve ? Qui est-elle, cette cité aux surnoms innombrables : " la Ville Rouge ", " la Ville des sept saints ", " la Ville Joyeuse ", sans oublier son nom propre, Marrakch, qui a fini par désigner le Maroc tout entier ? Au-delà des clichés flatteurs, des palais secrets, des résidences de milliardaires et du luxe de ses jardins où murmurent les fontaines, que sait-on d'elle ? Qui l'habite ? Qui la fait vivre ? Qui sont les Marrakchis ? Ville en perpétuel mouvement, où les ruines côtoient les chantiers de reconstruction, Marrakech n'est pas présentée ici comme une cité aux magnifiques palais bien connus des touristes. Au-delà des riyads, des chambres d'hôte et des sites renommés, Marrakech, culture populaire de la médina, nous offre la peinture d'une cité inexplorée, parfois par les Marrakchis eux-mêmes. Depuis la vie retirée des derbs, ces petites ruelles où, à l'abri des regards, se mène la vie des familles, jusqu'à ce marché de la parole populaire qu'est, depuis toujours, la place Jamâ I-Fna, les auteurs mettent en lumière des trésors ignorés de cette société, mais aussi, l'enracinement historique de la vie de la médina, là où bat le coeur d'une culture fragile dont on ne dit rien.
De nombreuses créations poétiques et musicales appartenant à la culture populaire marocaine sont ici transcrites et traduites pour la première fois, et font écho aux témoignages de voyageurs du passé tels Ibn Battûta, Léon l'Africain, Georg Host, Jean Potocki entre autres.

Marrakech ; la vie populaire de la médina

Pauvre clown ! Il avait un oiseau bleu... Il s'est envolé.
Il avait une grenouille verte... Elle s'est carapatée !
Même son nez rouge, le merle lui a becqueté.
Heureusement qu'au matin, ouf ! Tout se fi nit bien !

La maison de couci-couca

Résumé

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Critiques

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