Meurtre dans un fauteuil / Un certain goût pour la mort (Les dames du crime)

Romans

Four previously uncollected stories from one of the great mystery writers of our time--swift, cunning murder mysteries (two of which feature the young Adam Dalgliesh) that together, to borrow the author's own word, add up to a delightful "entertainment." The newly appointed Sgt. Dalgliesh is drawn into a case that is "pure Agatha Christie." . . . A "pedantic, respectable, censorious" clerk's secret taste for pornography is only the first reason he finds for not coming forward as a witness to a murder . . . A best-selling crime novelist describes the crime she herself was involved in fifty years earlier . . . Dalgliesh's godfather implores him to reinvestigate a notorious murder that might ease the godfather's mind about an inheritance, but which will reveal a truth that even the supremely upstanding Adam Dalgliesh will keep to himself. Each of these stories is as playful as it is ingeniously plotted, the author's sly humor as evident as her hallmark narrative elegance and shrewd understanding of some of the most complex--not to say the most damning--aspects of human nature. A treat for P. D. James's legions of fans and anyone who enjoys the pleasures of a masterfully wrought whodunit.From the Hardcover edition.

Les Douze indices de Noël

When the quiet Little Vestry of St. Matthew's Church becomes the blood-soaked scene of a double murder, Scotland Yard Commander Adam Dalgliesh faces an intriguing conundrum: How did an upper-crust Minister come to lie, slit throat to slit throat, next to a neighborhood derelict of the lowest order? Challenged with the investigation of a crime that appears to have endless motives, Dalgliesh explores the sinister web spun around a half-burnt diary and a violet-eyed widow who is pregnant and full of malice--all the while hoping to fill the gap of logic that joined these two disparate men in bright red death. . . .

Un Certain Goût Pour La Mort (Adam Dalgliesh, #7)

1811. Dans les brouillards de l’est londonien, deux séries de meurtres sont perpétrées à douze jours d’intervalle, avec une sauvagerie telle que l’opinion publique s’émeut et que le gouvernement finit par promettre, à quiconque aiderait à trouver les coupables, la plus fabuleuse récompense jamais offerte...La romancière d’Un certain goût pour la mort, lauréate des plus prestigieuses récompenses dans le domaine du roman policier, offre ici à ses lecteurs une surprise originale. Cette affaire criminelle a bel et bien eu lieu, elle fit couler des rivières d’encre et ne fut détrônée – si l’on ose dire – que par les exploits de Jack l’Eventreur.Secondée par un historien, P. D. James brosse un extraordinaire tableau du Londres de Dickens et des méthodes policières dans l’Angleterre de l’époque. Mieux : reprenant le détail de l’enquête, elle innocente le coupable désigné et, un siècle et demi plus tard, dévoile la vérité, preuves à l’appui... Un tour de force!

Les meurtres de la Tamise

Brillante avocate londonienne, Venetia réussit à faire acquitter au bénéfice du doute Garry Ashe, un jeune voyou soupçonné du meurtre de sa tante. Mais voilà que sa propre fille Octavia annonce qu'elle veut épouser Ashe... L'avocate, qui cherche à empêcher le mariage, est retrouvée assassinée dans son bureau. Qui est le coupable ? Ashe ? Octavia ? Ou plutôt l'un des collègues et néanmoins concurrent de Venetia qui aurait pu profiter des circonstances pour se débarrasser d'elle ? Le commandant Adam Dalgliesh et l'inspecteur Kate Miskin auront beaucoup de mal à démêler l'écheveau.P. D. James, qui a écrit ce roman à près de 80 ans, prouve une fois de plus qu'elle est bien la reine du roman policier classique contemporain. Elle fait parler son expérience incomparable de la construction d'intrigues millimétrées, tout en développant à l'extrême la psychologie de ses personnages. En prime, une peinture peu flatteuse du monde judiciaire en Angleterre. Un régal pour les amateurs du genre. --Bruno Ménard

Une certaine justice (Adam Dalgliesh, #10)

Le manager français Gérard Étienne n'aurait pas dû vouloir restructurer la Peverell Press, très honorable maison d'édition londonienne installée dans Innocent House, une imitation de palais vénitien planté sur les bords de la Tamise. En tous cas, il en est mort. C'est ce que pense au début de son enquête le célèbre commandant Adam Dalgliesh, policier et poète. Mais les cadavres vont vite se multiplier et l'affaire se compliquer furieusement. Excellente école pour Kate et Daniel, les nouveaux adjoints d'Adam...Miss James s'est visiblement beaucoup amusé avec cette enquête dans le milieu de l'édition confronté comme les autres aux impitoyables exigences du marché. Clin d'oeil : la respectable dame d'âge mur auteur de romans policiers, qui meurt effroyablement assassinée au cours de l'enquête, ressemble fort à l'auteur. Les fans apprécieront comme d'habitude la description millimétrée des décors, les personnages très travaillés, les fausses pistes et l'enchevêtrement de l'intrigue qui, de faux suicides en vrais assassinats, maintiennent le suspense jusqu'au bout. --Bruno Ménard

Péché Originel (Adam Dalgliesh, #9)

"At seventy-seven it is time to be in earnest," wrote Samuel Johnson, and bestselling crime writer P.D. James took this maxim as a challenge, setting out to record "one year that otherwise might be lost." The result is a fascinating and reflective account, part diary and part memoir, of one very full year of Baroness James's life, interspersed with her memories and intelligent analysis of "what it was like to be born two years after the end of the First World War and to live for seventy-eight years in this tumultuous century." P.D. James grew up in Cambridge, England, between the wars and worked in the home office of the forensic and criminal justice departments, which sparked her interest in that area, though she did not become a published novelist until 1962 with Cover Her Face. She began to write full-time after her "retirement" in 1979, and along the way became a governor of the BBC before taking a seat in the House of Lords in 1991. Time to Be in Earnest is a lucid and penetrative work by one of the most influential figures currently involved with the arts in Britain. James reveals her vast scope for enjoyment, interest, and simply getting on with life (her husband, Connor White, died at the age of 44 in 1964 after years of mental illness), whether it be spending time with her children and grandchildren, musing on the hideous British architectural mistakes of the 1960s, or giving her view of the controversies continually surrounding the running of the BBC. At an age when many people would be considering slowing down, James seems constantly on the move, recording her day-to-day existence and her past with an alert and judicious eye. "I am sustained by the magnificent irrationality of faith," she states. "I inhabit a different body, but I can reach back over nearly 70 years and recognise her as myself. Then I walked in hope--and I do so still." --Catherine Taylor, Amazon.co.uk

Il Serait Temps D'être Sérieuse

Un village des Fens, au sud-est de l'Angleterre. Des marécages, de la pluie, la découverte d'un cadavre de femme. Le lendemain le Pr Lorrimer, responsable du service biologie d'un laboratoire de médecine légale, est à son tour troué assassiné dans son bureau, toutes portes fermées. Au fil d'une enquête extrêmement minutieuse parmi le personnel médical, le commandant Dalgliesh va démêler l'écheveau des passions et des rancœurs, pour aboutir à des mystères où sexe et superstition se rencontrent, bien loin de la rationalité scientifique. Passions destructrices, vérité psychologique extraordinairement fouillée : l'auteur de " Meurtre dans un fauteuil " et d' " Un certain goût pour la mort " (Grand prix de Littérature policière 1988) nous entraîne une fois de plus dans un cauchemar ambigu et troublant.

Meurtre dans un fauteuil / Un certain goût pour la mort (Les dames du crime)

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