La ferme de Jo subit un orage d’une rare violence. Annick, son épouse, doit bientôt mettre au monde des jumeaux. Son mari va-t-il pouvoir l’emmener à temps à l’hôpital ? Jo et sa famille sauront-ils accueillir et soigner un car de personnes âgées qui se retrouvent coupées du monde pendant quelques jours ?
  La suite des aventures de Jo, de sa famille et des animauxde la ferme.

L’accueil à la ferme (Jo le paysan, #3)

«Je n'ai jamais connu personne qui, autant que Marc Bernard, eût le travail en horreur. Il suffisait que l'on en proposât un à cet homme si bon pour qu'une lueur mauvaise s'allumât dans ses yeux bleus. Une fois pour toutes, entre le travail et la pauvreté, il avait choisi. C'est pourquoi le lecteur qui ouvre le présent recueil, Vacances, ne doit pas se laisser abuser par le titre. Venant de celui qui tenait si farouchement le travail à distance, il n'est pas possible qu'il s'agisse de congés payés, et pas davantage de Club Méditerranée. Vacances, malgré son titre, n'est pas fait de pages heureuses, de souvenirs ensoleillés. Marc appelle vacances les moments privilégiés où il s'est vraiment senti libre.» Roger Grenier.

Vacances

Ce livre est une histoire d'amitiés. Marc Bernard, à travers la dizaine de portraits que rassemble ce volume, nous parle de ses amis écrivains et des œuvres qu'il admire. On voit ainsi défiler Jean Paulhan, Pascal Pia, Henri Calet ou encore Eugène Dabit à propos duquel Marc Bernard écrit :  "Il est des gens qu'on voit d'en bas, ou d'en haut; on a l'impression qu'il faudra crier pour qu'ils vous entendent, ou parler à mi-voix, bref qu'on ne pourra pas être en face d'eux tout à fait naturel. Avec Eugène Dabit, rien de pareil; il était juste à hauteur d'homme, à votre hauteur. " Et c'est bien aussi à hauteur homme que se place Marc Bernard dans ces portraits.

A hauteur d'homme

Une enfance pauvre, à Nîmes. Une voix qui va droit au coeur. L'ironie et la franchise, la naïveté et la malice, l'amour de la vie, l'honnêteté de la langue et de la pensée font le charme de ce livre, un des plus beaux que le souvenir de l'enfance ait inspiré.Pareils à des enfants... a reçu le prix Goncourt en 1942.

Pareils à des enfants

Un jeune homme et une jeune femme sont pris au piège de la sensualité. Isolés dans une ville de province, coupés du monde, une longue lutte les dresse l'un contre l'autre. L'auteur s'est attaché à peindre ce combat où l'amour et la haine, nourris aux sources du désir, ont des visages à peine différents, où deux êtres qui s'aiment se meurtrissent avec acharnement, cherchant par-delà la volupté une unité jamais atteinte. Peut-être est-il parvenu à montrer - car elle apparaît sous cette forme avec une violence qui l'emporte sur ses autres manifestations - que leur tourment sexuel n'est qu'un des aspects de l'inquiétude qui brûle certains. On peut suivre dans Anny, jour après jour, les efforts de ces deux jeunes êtres pour surmonter cette angoisse qui a pris le visage de la sensualité.

Anny

«Dos veces, y por mi culpa, estuve cerca de perderla. La conocí en el Louvre, ante la Venus de Milo, una mañana del otoño de 1938. Al mismo tiempo que ella rondaba la escultura, yo la rondaba a ella».Hay que decirlo desde el primer momento: este libro es excepcional. Fue escrito en estado de gracia y desgracia a la vez. Desde el momento en que supieron que Else, la mujer del autor y narrador, iba a morir pronto, comenzó de verdad, para ella y para su marido, un nuevo y extraño periodo de felicidad. Fue la cima de su amor, el momento en el que se amaron mejor y en el que revivieron todo lo que su encuentro les había aportado a lo largo de la vida.Gracias a esta narración —que obtuvo un gran éxito de crítica y público en Francia— descubrimos, además, la excepcional personalidad de Else Bernard. Siendo una joven judía, tuvo que huir de su país, Austria, para escapar del Holocausto, y se instaló en París durante algún tiempo. Tenía previsto partir hacia América, pero un día se encontró en el Museo del Louvre con aquel a quien no abandonaría ya. Comenzó así la historia, hoy mítica, que albergan estas páginas de Marc Bernard: su calidad humana y su eco son consecuencia de la gravedad de la temática, pero también, y sobre todo, del tono —a la vez apasionado y reflexivo, sugerente y preciso— con el que evoca la figura de su memorable esposa.

La mort de la bien-aimée

Modane. Des Origines A 1860

A celebration and a record of suffering of a life not spent at work, whether by choice or forced unemployment Marc Bernard dreamed of factories closed for months during the year so that man could return to the wisdom of our primitive forefathers who dedicated themselves to nothing more than fishing, hunting, and love; activities particularly suitable for vacations. Worker, vagabond, aficionado of the bulls in Spain, and sojourner in the Balearic Islands he is above all a great storyteller.

Voici la suite de La mort de la bien-aimée. Marc Bernard, marié à Else depuis trente et un ans, l'avait vue tomber malade et puis mourir. Chacun d'eux savait que la mort ne laissait à leur couple, extraordinairement uni, qu'un mince délai durant lequel l'auteur devait se consacrer à l'apprentissage de la séparation sans recours et de la solitude.«Depuis la mort d'Else je n'ai pas touché une femme.» Ainsi commence le présent livre au cours duquel Marc Bernard, mutilé par le départ de celle qu'il aimait, essaie de continuer à vivre seul, à Cala d'Or, dans l'île de Majorque. Il y entretient avec la disparue un merveilleux rapport de passion. Il retrouve Else partout et toujours, brassant leur passé de bonheur, leur entente, les silences qui les rapprochaient dans la vie et que la mort a pu transfigurer.

L’accueil à la ferme (Jo le paysan, #3)

Résumé

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