Probloemes 2

La collection Plain-Poèmes s'adresse à tous ceux qui aiment écouter les mots et les images vibrer, virevolter... Des poèmes légers comme des bulles de savon pour inciter les enfants... et les grands à se "repoétiser" l'esprit et le coeur ! ... La balade poétique aux côtés de François Seine, entreprise dans les pas de L'Arbre qui voulait courir le monde, se poursuit à vol d'oiseau de mai, après une halte inopinée Au marché des mots où, paraît-il l'escalier a fait un rêve... Chemin faisant, la route et la rue divaguent, le TGV snobé par l'escargot oublie de regarder les vaches, les saumons iraient bien au concert des oiseaux accompagnés d'Esteban, mais l'oeil du notaire leur déconseille de regarder au-dessus du dessus... Pour tous les âges. Illustrations de Joëlle Ginoux-Duvivier

Au marché des mots

La balade poétique aux côtés de François Seine, entreprise dans les pas de L'Arbre qui voulait courir le monde, se poursuit à vol d'oiseau de mai, après une halte inopinée Au marché des mots où, paraît-il l'escalier a fait un rêve... Chemin faisant, la route et la rue divaguent, le TGV snobé par l'escargot oublie de regarder les vaches, les saumons iraient bien au concert des oiseaux accompagnés d'Esteban, mais l'œil du notaire leur déconseille de regarder au-dessus du dessus...

La collection Plain-Poèmes s'adresse à tous ceux qui aiment écouter les mots et les images vibrer, virevolter... C'est à un vrai carnaval de mots et d'animaux que nous convie François Seine dans ce recueil, dont un poème, "le dodo", a été traduit en créole réunionnais. Tandis que le hérisson songe dans son coin à un monde de velours où la rose du matin dissimule ses épines dans les perles de rosée, l'oiseau de pluie s'est arrêté en lisière de nuage. Plus grave, la tortue a mordu un haricot tordu et le kangourou a perdu ses sous parce que sa poche était pleine de trous ! Illustrations de Cécile Froidurot - traduction du dodo par Henriette Dijoux

Ani'mots

Patatos et Vermicelle n'auraient jamais dû se rencontrer. D'abord parce qu'avant ils ne s'appelaient ni Patatos ni Vermicelle, mais Médor et Frisette. Des noms ringards au possible, entre parenthèses ! Mais surtout, si leurs maîtres n'avaient pas eu une pierre à la place du coeur et un pois chiche à celle du cerveau, Médor et Frisette n'auraient jamais été abandonnés sur une aire d'autoroute. Et, s'ils n'avaient pas été abandonnés, ils auraient conservé leurs noms, Médor et Frisette, de sorte que Patatos et Vermicelle n'auraient jamais existé. C'est bizarre la vie, non ? A quoi ça tient ? A une pierre ou à un pois chiche mal placés... Mais aussi à la météo ! ... Comment ne pas s'émouvoir et rire à la lecture des aventures rocambolesques de ces deux pleins de poils, croqués parla plume alerte de François Seine ? Mais, à y bien regarder, derrière le langage truculent du poète, ces deux chiens du voyage pointent les travers des humains que nous sommes avec une grande finesse d'analyse. Comme la plupart des oeuvres de François Seine, ce roman est destiné aux lecteurs de tout âge, qui y trouveront leur compte grâce au cocktail humour, tendresse et lucidité de l'auteur.

Patatos et Vermicelle - Chiens du voyage

Plantissi'mots

Peu importe la différence, lorsque la tendresse est là.
Quand un zèbre amoureux d'une girafe reçoit les conseils de son ami le ouistiti.

Irène et Zibor

C'est à un vrai carnaval de mots et d'animaux que nous convie François Seine dans ce nouveau recueil. Tandis que le hérisson songe dans son coin à un monde de velours où la rose du matin dissimule ses épines dans les perles de rosée, l'oiseau de pluie s'est arrêté en lisière de nuage. Plus grave, la tortue a mordu un haricot tordu et le kangourou a perdu ses sous parce que sa poche était pleine de trous ! La collection Plain-Poèmes s'adresse à tous ceux qui aiment écouter les mots et les images vibrer, virevolter... Tout Public

Cette fois, c'en était trop ! Le Nez sentit au plus profond de lui que la vie n'était plus possible au milieu de cette figure. Il réfléchit alors plus fort qu'aucun Nez n'avait encore réfléchi avant lui. La situation était sans issue. Il avait cessé de s'entendre avec les Oreilles qui ne l'écoutaient plus et passaient des heures avec le téléphone portable. Les Yeux le regardaient d'un sale oeil et lui décochaient des avalanches volontaires. La Bouche avait une dent contre lui ; elle n'hésiterait pas, un jour ou l'autre, à se décrocher la mâchoire pour le dévorer tout cru... Dans ces conditions, après avoir flairé le pour et le contre, il prit la décision la plus difficile à prendre dans une vie de Nez : il décida de s'en aller.

Probloemes 2

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