L'ephelide

Ma famille

Simon exulte : à neuf ans, il vient d'être admis dans la bande des Pièces-à-trou, la bande des grands du village. Il va partager leurs jeux et leurs secrets. Mais le lendemain, le 10 mai 1940, l'Allemagne envahit la Belgique. Sur fond d'Occupation, les jeux des Pièces-à-trou prennent la couleur de la peur. Et leurs secrets, celle de la résistance.

Le commando des Pièces-à-Trou

Lulu le chat

Alexis a disparu. Pourquoi ne s'est - il pas rendu à sa leçon de violon ? Accident ? Fugue ? Enlèvement ? La police enquête mais piétine... si bien que le professeur de musique va se retrouver mêlé à une aventure pleine de rebondissements qui va le mener de Bruxelles à Paris. Autant de pistes brouillées, d'attentes, de planques et de découvertes inattendues... jusqu'au terminus Odéon.

Terminus Odéon

" On appelle amoureux celui qui, courant sur la neige, ne laisse point trace de ses pas. " Proverbe turc

L'Amour mauve

Les JAFFABULES, qui ont une L, de page en page, papillonnent au-delà des rangs, par-delà les murs, sans compartiment, sans clôture. Elles sont MONTS à défaut de merveilles. Elles sont TONS comme fruits au soleil. Elles sont SONS et méli-mélo mélodique dans le monde des mots qui font de la musique.

Jaffabules

Faut-il encore présenter Pierre Coran, auteur d’une centaine d’ouvrages de poésie, littérature jeunesse, romans, essais, couronnés de nombreux prix, dont le Grand Prix de poésie pour la jeunesse (Paris,1989) et le Prix de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour le rayonnement de la littérature de jeunesse (2007)… Si sa réputation d’auteur pour la jeunesse n’est plus à faire (« Jaffabules », chez Hachette – Livre de Poche, en est à sa cinquième édition), il est aussi l’auteur d’œuvres pour adultes dont la qualité ne le cède en rien à celles pour l’enfance. « Les Chemins de Janus », est le voyage poétique d’un errant en quête d’un autre lui-même. Trois étapes jalonnent le cheminement : l’euphorie du départ, les épreuves à surmonter et la lumière atteinte : « Je m’étais cru désert et j’étais habité. » Il illustre le chemin de vie de l’auteur et sa devise d’homme ordinaire, à l’image d’un alexandrin du Prince de Ligne : « J’avance dans l’hiver à force de printemps. »

L'ephelide

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