Le livre d'or de la science-fiction: Jules Verne

Parfois, au moment de disparaître dans les flots, le soleil lance sur l'océan une ultime et brève fulgurance: ce fameux rayon vert qui, d'après une légende écossaise, confère à ceux dont il a frappé les yeux le pouvoir de voir clair dans les sentiments et les coeurs.Alors que ses deux oncles et tuteurs, Sam et Sib Melvill, se proposent de la marier à un jeune savant de leurs relations, Aristobulus Ursiclos, la jeune Helena Campbell émet le souhait de contempler le rayon vert. Comment lui refuser ce voyage, au cours duquel, espèrent-ils, elle se laissera  convaincre daccepter l'époux qu'on lui propose? ce qu'ils ne prévoient pas, c'est qu'un jeune artiste-peintre, Olivier Sinclair, va bousculer tous leurs plans.Avec ce roman imprégné de ses souvenirs de voyage en Ecosse, Jules Verne semble vouloir prendre ironiquement le contrepied du reste de son oeuvre. Ici, l'esprit positif et scientifique, incarné par l'ennuyeux et pédant Aristobulus, cède devant l'art, la rêverie, l'imagination poétique, dans une histoire d'amour contée en souriant.

Le Rayon vert

Sans dessus dessous est un roman sympathique qui raconte l'histoire de trois hommes bien décidés à modifier l'axe de la Terre afin de pouvoir exploiter des mines en Arctique.

Sans dessus dessous

Tenté comme nombre de ses contemporains de livrer son épisode de la Révolution, l'écrivain, né à Nantes, reprend l'histoire au 24 février 173. En suivant le comte de Chanteleine que l'inquiétude presse de rejoindre ses terres, le lecteur traverse la presqu'île guérandaise avant d'embarquer pour Quimper, Fouesnant et Douarnenez. A l'époque où il écrit ce récit, Jules Verne est encore, et avant tout, dramaturge : Le Comte de Chanteleine mené tambour battant ne fait l'économie d'aucun coup de théâtre.Les Blancs marchèrent alors de victoire en victoire, et ni Aubert Dubayet, ni Kléber avec ses terribles Mayençais, ni les troupes du général Canclaux ne purent résister à leur indomptable ardeur. La Convention, effrayée, ordonna de détruire le sol de la Vendée et d’en chasser les « populations ». Le général Santerre demanda des mines pour faire sauter le pays, et des fumées soporifiques pour l’étouffer ; il voulait procéder par l’asphyxie générale. Les Mayençais furent chargés de « créer le désert » décrété par le Comité de salut public. Les troupes royales, à ces nouvelles, devinrent terribles ; le comte de Chanteleine commandait alors un corps de cinq mille hommes ; il se battit en héros à Doué, aux Ponts-de-Cé, à Torfou, à Montaigu. Mais enfin, l’heure des revers sonna. Le 9 octobre, de Lescure fut vaincu à Châtillon ; le 15, les Vendéens étaient chassés de Chollet ; quelques jours plus tard, Bonchamps et d’Elbée tombaient frappés à mort. Marigny et Chanteleine firent des prodiges de valeur, mais les colonnes républicaines les serraient de près ; il fallut songer alors à repasser la Loire avec une armée fugitive qui comptait encore quarante mille hommes en état de combattre.

Le Comte de Chanteleine: Épisode de La Révolution

Un savant français, Thomas Roch, auquel les gouvernements refusent de payer l'explosif qu'il a inventé, est enlevé par les pirates de Ker Karraje, ainsi que son gardien Simon Hart. Ses ravisseurs veulent l'obliger à utiliser son invention contre un navire français...

Face au drapeau

El flemático y solitario caballero inglés Phileas Fogg abandonará su vida de escrupulosa disciplina para cumplir con una apuesta con sus colegas del Reform Club, en la que arriesgará la mitad de su fortuna comprometiéndose a dar la vuelta al mundo en sólo ochenta días usando los medios disponibles en la segunda mitad del siglo XIX y siguiendo el proyecto publicado en el "Morning Chronicle", su diario de lectura cotidiana. Lo acompañará su recién contratado mayordomo francés, y tendrá que lidiar no sólo con los retrasos en los medios de transporte, sino con la pertinaz persecución del detective Fix, que, ignorando la verdadera identidad del caballero, se enrola en toda la aventura a la espera de una orden de arresto de la corona inglesa, en la creencia de que, antes de partir, Fogg robó el Banco de Inglaterra.

La vuelta al mundo en 80 días

If you try to find, on any map of Flanders, ancient or modern, the small town of Quiquendone, probably you will not succeed. Is Quiquendone, then, one of those towns which have disappeared? No. A town of the future? By no means. It exists in spite of geographies, and has done so for some eight or nine hundred years. It even numbers two thousand three hundred and ninety-three souls, allowing one soul to each inhabitant. It is situated thirteen and a half kilometres north-west of Oudenarde, and fifteen and a quarter kilometres south-east of Bruges, in the heart of Flanders. The Vaar, a small tributary of the Scheldt, passes beneath its three bridges, which are still covered with a quaint medi�val roof, like that at Tournay. An old ch�teau is to be seen there, the first stone of which was laid so long ago as 1197, by Count Baldwin, afterwards Emperor of Constantinople; and there is a Town Hall, with Gothic windows, crowned by a chaplet of battlements, and surrounded by a turreted belfry, which rises three hundred and fifty-seven feet above the soil. Every hour you may hear there a chime of five octaves, a veritable aerial piano, the renown of which surpasses that of the famous chimes of Bruges. Strangers--if any ever come to Quiquendone--do not quit the curious old town until they have visited its "Stadtholder's Hall," adorned by a full-length portrait of William of Nassau, by Brandon; the loft of the Church of Saint Magloire, a masterpiece of sixteenth century architecture; the cast-iron well in the spacious Place Saint Ernuph, the admirable ornamentation of which is attributed to the artist-blacksmith, Quentin Metsys; the tomb formerly erected to Mary of Burgundy, daughter of Charles the Bold, who now reposes in the Church of Notre Dame at Bruges; and so on. The principal industry of Quiquendone is the manufacture of whipped creams and barley-sugar on a large scale. It has been governed by the Van Tricasses, from father to son, for several centuries. And yet Quiquendone is not on the map of Flanders! Have the geographers forgotten it, or is it an intentional omission? That I cannot tell; but Quiquendone really exists; with its narrow streets, its fortified walls, its Spanish-looking houses, its market, and its burgomaster--so much so, that it has recently been the theatre of some surprising phenomena, as extraordinary and incredible as they are true, which are to be recounted in the present narration.

A Winter Amid the Ice (Un Hiver Dans Les Glaces)

Commemorating his death a century before, Gründ published in 2005 hardcover editions of two famous books of Jules Verne : Twenty Thousand Leagues Under the Sea and The Mysterious IslandThe books are large size (22 x 30 centimeters) hardcover editions featuring beautiful illustrations from Didier Graffet.Présentation de l'éditeur[...] Vers l'ouest, une bande nuageuse, nettement dessinée à l'horizon, accroissait les ténèbres, et l'œil ne savait découvrir si le ciel et l'eau s'y confondaient sur une même ligne circulaire. Mais, en un point de cet horizon, une vague lueur parut soudain, qui descendait lentement, à mesure que le nuage montait vers le zénith. C'était le croissant délié de la Lune, déjà près de disparaître. Mais sa lumière suffit à dessiner nettement la ligne horizontale, alors détachée du nuage, et l'ingénieur put voir son image tremblotante se refléter un instant sur une surface liquide. Cyrus Smith saisit la main du jeune garçon, et, d'une voix grave "Une île!" dit-il, au moment où le croissant lunaire s'éteignait dans les flots. [...] (extrait)L'Île mystérieuse est l'un des plus grands succès de Jules Verne et constitue la dernière étape du triptyque formé avec Vingt mille lieues sous les mers et Les Enfants du capitaine Grant.

L'Île Mystérieuse

Edition enrichie illustrée de William Butcher comportant une préface et un dossier sur le roman.

Le professeur Lidenbrock, un scientifique excentrique, découvre un manuscrit crypté révélant l'existence, en Islande, d'un passage menant au centre de la terre. Accompagné de son neveu Axel, le narrateur, et d'un guide islandais, Hans, il organise une expédition dans les entrailles terrestres, qui se révèle être une plongée dans le passé. Après de nombreuses péripéties, les trois hommes découvrent un monde perdu : une caverne contenant plantes, poissons et animaux préhistoriques, dont certains restent bien vivants. 

Dans ce livre plus qu'ailleurs, Verne laisse libre cours à son imagination. Voyage au centre de la terre (publié en 1864 et 1867) anticipe de manière jubilatoire le moment fatidique où la terre sera entièrement cartographiée, y compris dans ses profondeurs. L'auteur y exprime son désir d'exploration mais aussi son rêve d'un ailleurs inexploré.

Le livre d'or de la science-fiction: Jules Verne

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