Actes Du Sixieme Colloque International Francophone Du Canton de Peyrac Et Du Pays de Quercy Organise a Goudron, Cales

La francophonie au Liban

Fondateur, en 1993, de l'Université arabe privée des sciences (UAS) et du Groupe de l'éducation et des sciences, Mourad Ben Turkia est docteur d'Etat de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne où il a régulièrement enseigné. Scolarisé à Kélibia, sa ville natale, jusqu'en 6e, il termina son cursus universitaire tunisien avec une maîtrise en gestion (qui lui valut le Prix présidentiel). I1 poursuivit ses études à Paris de 1978 à 1982 où il obtint trois diplômes, dont, en Sorbonne, un doctorat d'Etat en sciences de gestion. Il s'agit donc, à bien des égards, d'une carrière exceptionnelle marquée par l'édification d'une université qui ne l'est pas moins. Un tel succès ne passa pas inaperçu sous le régime du Président tunisien Ben Ali qui se mit en tête de faire sienne cette grande réalisation, aidé en cela par sa belle-famille et certains de ses proches. Cc livre raconte tous les stratagèmes mis en oeuvre par le Pouvoir de l'époque pour atteindre ce but, fût-ce au prix de la santé de Mourad Ben Turkia, interdit de soins à l'étranger. Il faudra attendre la Révolution pour que tout se dénoue et que force reste à la loi.

Mourad Ben Turkia - Un proscrit dans la République de Ben Ali

Les XIIe Rencontres Internationales Francophones de la Ville de Gourdon, dont les échanges sont retranscrits dans ce livre, soulignent l'originalité que confère à la Région Guyane sa position unique de terre française en Amérique du Sud. Ce contexte global polyphone oblige la langue française à soutenir dans cette partie du continent le combat de la spécificité et de la diversité culturelle.

Quelle francophonie en Guyane ?

Le droit des peuples

Fondateur en 1993 de l'Université arabe privée des sciences (UAS) et du Groupe de l'éducation et des sciences, Mourad Ben Turkia est docteur d'Etat de l'université Paris I Panthéon-Sorbonne où il  a régulièrement enseigné. Cette carrière ne passa pas inaperçue sous le régime de Ben Ali. Ce livre raconte tous les stratagèmes mis en oeuvre par le pouvoir de l'époque pour tenter de récupérer à son profit cette réalisation, fût-ce au prix de la santé de Mourad Ben Turkia, interdit de soins à l'étranger. Il faudra attendre la Révolution pour que tout se dénoue et que force reste à la loi. (http://nadaillac.sosblog.fr)

Mourad Ben Turkia

Un ouvrage pour un autre regard, au-delà des stéréotypes, sur la République populaire démocratique de Corée, plus connue en France sous le nom de Corée du Nord. "Parmi les nombreux voyages que j'ai accomplis dans le monde (l'équivalent de dix allers de la Terre à la Lune), ceux que j'ai effectués en Corée du Nord comptent parmi les plus surprenants. Je ne suis pas sûr qu'ils aient été parfaitement compris par tous mes amis. Le moment me paraît venu de lever une partie du voile sur mes rapports avec ce pays". Edmond Jouve

La République populaire démocratique de Corée - "Et pour vous, qui suis-je ?"

Jean Siau débute sa vie sacerdotale en 1948, comme vicaire de l'Abbé Cavalié, à Labastide-Murat. Pour les familles rurales de cette époque, messe, catéchisme et prière avaient un sens profond. Il fut un prêtre défricheur et restaurateur, car il arrivait souvent dans des presbytères et des églises délabrés. Pour un homme de foi comme Jean Siau, sa raison d'exister ne pouvait être dans un seul et même lieu toute une vie. Sa carrière fut une carrière de mouvance : Labastide-Murat et ses paroisses, aumônier des lycées de Cahors, Espédaillac, l'Afrique noire pendant six ans à Cotonou, Abidjan, Martel et ses paroisses, l'Afrique à nouveau pendant six ans en République Centre Afrique, Luzech, Prayssac, Cremps et ses paroisses d'Aujols, Cieurac, Laburgade. Il aimait aller à la rencontre des gens de tous âges, de toutes catégories sociales. « Je vais laisser traîner mon oreille », aimait-il à dire. Il savait trouver les mots justes, qui guident et réconfortent. Il portait la bonne parole. Tous ceux qui ont connu le Père Jean Siau ne l'oublieront pas. Il a été un guide pour beaucoup de Lotois. Par ses qualités intellectuelles, humaines et spirituelles, il sut être un « aspirateur de fidèles », mais aussi de non-Croyants, car son souci était de "rassembler les gens pour les aider à vivre". Et il s'imposa par ses qualités. Intellectuel complet, scientifique et philosophe, il consacrait beaucoup de temps à la lecture sélective, qu'il aimait à faire partager autour de lui. Il voyait l'humanité en marche et il contribuait, de tout son savoir, de toute son énergie à l'indispensable réflexion du sens de l'Évangile. Il mettait la Bible à la portée des Fidèles et il aimait être, comme eux, enfant de Dieu.

La francophonie au Liban

Résumé

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