Soustelle’s great book about the Aztecs . . . takes us deep into the life of this great society. . . . Soustelle has the rare quality of entering into the minds of those he is studying and seeing things from their point of view. . . . [His] book is one of the best ever written about the Aztecs, his portrait of their society is a triumph of scholarship, understanding, and literary skill.”The Times Literary SupplementProbably the best general summary available of Aztec culture, both for the general reader and for the student.”Hipanic American Historical Review

La Vie Quotidienne Des Aztèques À La Veille De La Conquête Espagnole

C'est avec respect et sensibilité que Janine Raynond - vivement impressionnée par la mythologie aztèque au cours d'un voyage au Mexique et au Guatémala - s'adresse aux dieux mexicains, celui du printemps et des orfèvres, à la déesse-mère Quilaztli, au lumineux Xochipilli, « prince des fleurs », à la belle et jeune déesse de l'amour, au sombre « Miroir-Fumant » symbole de la Grande Ourse et protecteur des guerriers. "Elle montre un don de sympathie, au sens plein du terme, qui lui a permis de s'aventurer, sans s'y perdre, dans le labyrinthe enchanté de la pensée mexicaine antique..." Jacques Soustelle

Dialogue avec les dieux - Poèmes sur le Mexique et le Guatemala, 1966

« Il eut suffi qu'un des proconsuls ou des généraux chargés d'étoiles qui occupaient les résidences d'Outre-Mer se prononçât pour la poursuite de la lutte et il n'y aurait pas eu de Gaullisme... » « La Résistance, si on ne tenait pas compte des pseudo-résistants de novembre 1944, des Tartarins de sous-préfecture et des agents du double jeu, n'était le fait que d'une infime minorité... » « Une constante escalade dans l'invective, puis dans les coups, aggravée par l'intransigeance du Général et l'obstination du Maréchal, fit dériver de plus en plus loin les deux fractions de la France. » « L'institution de tribunaux d'exception est toujours exécrable. De Gaulle devait montrer à plusieurs reprises dans sa carrière un goût singulier pour cette caricature de justice. » « De Gaulle n'était pas candidat. « Vous me voyez, me dit-il, mettre mon chapeau dans ma petite armoire au vestiaire du Palais Bourbon ? » « Georges Bidault disait un jour en parlant du général : « Je n'ai jamais vu personne prendre autant de mouches avec du vinaigre ». » « En conseil des ministres, le général de Gaulle à M. Antoine Pinay : « M. le Ministre des Finances, cette question n'est pas de votre ressort ». - « Monsieur le Président, je suis solidaire de mes collègues et de tout le gouvernement. J'estime avoir le droit d'exposer mon point de vue. » - « Non, moi seul détermine la politique. » Sur quoi Antoine Pinay prit son fameux chapeau et s'en alla. » « Les conseils des ministres, tels que je les ai connus, ne sont qu'une figuration. Il n'y a pas de débat. Chacun parle à son tour, comme dans la petite classe. Le magister conclut d'un mot... »

Vingt-huit ans de gaullisme

Gaulliste et Résistant de 1940, membre du Comité national de Londres, chef des Services d'action secrète en 1943-1944, Commissaire de la République puis Ministre après la Libération, Jacques Soustelle, devenu leader parlementaire du R. P. F., assume - en 1955 - la charge de Gouverneur général de l'Algérie face à la rébellion naissante. Trois ans plus tard, au 13 mai, il joue un rôle déterminant, et prend une responsabilité primordiale dans les événements qui ont ramené le Général de Gaulle au pouvoir. Ministre de la Ve République, il rompt avec le régime et son chef, en janvier 1960. Pourquoi ? Ce livre est le premier témoignage d'un observateur, qui fut aussi un acteur, sur la naissance et les débuts de la Ve République, et sur le déroulement du drame algérien jusqu'à la fin de l'année 1961. Engagé, son auteur ne se défend certes pas de l'être, et définit avec vigueur ses positions idéologiques et politiques ; en même temps, il fait ouvre d'historien, en révélant - pour la première fois - bien des faits ignorés dont a été formée la trame de cette période agitée. Son livre constitue un document dont nul, quelles que soient ses tendances, ne peut récuser la valeur.

L'espérance trahie (1958-1961)

Héritiers d'une longue série de civilisations raffinées, les Aztèques ont tenté une synthèse de trois mille ans de réflexion et de rêve. Les anciens Mexicains voyaient le monde comme un " système de symboles qui se reflètent les uns les autres, un plaisir dont les murs seraient faits de miroirs ou mieux, d'une forêt aux innombrables échos ".
Chatoyant et multicolore, tour à tour gracieux et terrible, régi par l'implacable logique de la prédestination, l'univers des Aztèques est pour nous aussi étrange que pourrait l'être une planète lointaine. Leur pensée, complexe et subtile, demeure irréductible à la nôtre. Son originalité, qui nous déconcerte, n'a cependant pas empêché les bâtisseurs de Tenochtitlan de rassembler et de gouverner un empire. Leur Etat, profondément pénétré de religion, n'était pas une théocratie. Leur vision du monde et leurs règles d'action embrassaient à la fois toutes les folies et, toutes les sagesses. Jacques Soustelle guide le lecteur dans cet univers fascinant en lui faisant partager ses vastes connaissances et surtout sa profonde sympathie pour les peuples indiens du Mexique.

... texte fondamental. Le Figaro.
La vision du monde et les règles d'action des Aztèques, héritiers de civilisations raffinées. Le Monde.
... une information rigoureuse, érudite. Le Nouvel Observateur.
... Loin de cette époque confuse dans laquelle nous nous débattons. Le Point.
... l'âme aztèque. Qui chante les planètes, les dieux, se tourne vers la vie de l'au-delà dans le rituel des sacrifices de la mort, certes, mais aussi dans le déroulement des jours. C'est ce poème que nous apprend Soustelle. Elle.
Jacques Soustelle réussit une nouvelle performance... qu'il nous livre comme sujet de méditation salutaire. Connaissance des arts.

L'Univers des Aztèques

« ?Les Aztèques [.] dominaient avec éclat la plus grande partie du Mexique quand les conquérants espagnols y pénétrèrent en 1519. Leur langue, leur religion s'étaient imposées, de l'Atlantique au Pacifique et des steppes du nord au Guatemala, sur d'immenses étendues. Le nom de leur souverain Motecuhzoma était vénéré ou craint d'un bout à l'autre de ce territoire. Leurs commerçants parcouraient le pays en tous sens avec leurs caravanes de porteurs. Leurs fonctionnaires percevaient partout l'impôt. Aux frontières, les garnisons aztèques tenaient en respect les populations insoumises. À Tenochtitlán (Mexico), leur capitale, l'architecture et la sculpture avaient pris un essor extraordinaire, tandis que se développait le luxe du vêtement, de la table, des jardins, de l'orfèvrerie.? »

Les Aztèques

"Les Aztèques [...] dominaient avec éclat la plus grande partie du Mexique quand les conquérants espagnols y pénétrèrent en 1519. Leur langue, leur religion s'étaient imposées, de l'Atlantique au Pacifique et des steppes du nord au Guatemala, sur d'immenses étendues. Le nom de leur souverain Motecuhzoma était vénéré ou craint d'un bout à l'autre de ce territoire. Leurs commerçants parcouraient le pays en tous sens avec leurs caravanes de porteurs. Leurs fonctionnaires percevaient partout l'impôt. Aux frontières, les garnisons aztèques tenaient en respect les populations insoumises. A Tenochtitlán (Mexico), leur capitale, l'architecture et la sculpture avaient pris un essor extraordinaire, tandis que se développait le luxe du vêtement, de la table, des jardins, de l'orfèvrerie."

La Vie Quotidienne Des Aztèques À La Veille De La Conquête Espagnole

Résumé

Plus de livres de Jacques Soustelle

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques