On väga tore, kui sul on karu. Aga veel parem on, kui sul on lausa kaks karu!“Minu suur karu, minu väike karu ja mina” on populaarse Hispaania lastekirjaniku Margarita del Mazo südamlik jutustus sõprusest, üksteisest hoolimisest ja paljudest lumistest seiklustest.

Mon grand ours, mon petit ours et moi

Le masque du lion

« Charlie a compris qu’il ne lui fallait que des lunettes pour que tous les regards, surtout celui d’Inès, se tournent vers lui. » Eh oui ! Charlie est convaincu qu’avec une paire de lunettes, Inès le verra enfin. Et c’est tout ce qui compte à ses yeux... être vu de la belle Inès. Ainsi, il se met à la recherche de la paire parfaite, celle qui lui permettra d’attirer l’attention de l’élue de son coeur. Après quelques tentatives qui se révèlent être des échecs, il opte pour la visite chez l’optométriste et tente le coup avec une vraie paire de lunettes pour voir. C’est débordant d’enthousiasme qu’il galope jusqu’à l’école le lendemain matin pour enfin... voir ce qu’il n’avait jamais vu !

Des lunettes pour voir

«Etre un mouton c'est très facile. Il suffit de suivre les indications du manuel des moutons : marcher, manger, dormir, et, tous les soirs, sauter la haie pour aider Simon à s'endormir. Pas besoin de penser, juste faire exactement comme les autres. Oui mais voilà... un jour, un vent de panique souffle sur le troupeau : mouton numéro 4 refuse de sauter la haie ! Y aurait-il quelque chose qui pourrait redonner envie à ce mouton rebelle de sauter ?»

Panique chez les moutons !

C'est pas moi qu'il faut manger

Un soir, Don Romulado a un rendez-vous galant. Il a tellement hâte que le temps lui joue des tours et fait traîner les heures. Au fil des pages et au milieu de tous ces personnages, le jeune lecteur doit découvrir où il se cache.

Don Romualdo

Charlie est un garçon très petit qui n'a d'yeux que pour Ines. Cependant, la grande et jolie Ines, qui attire tous les regards, ne le voit jamais. Charlie a beau faire tout ce qu'il peut pour être remarqué, rien n'y fait : pour Ines, c'est comme s'il n'existait pas. L'espoir renait lorsqu'un jour Ines annonce qu'elle va avoir des " lunettes pour mieux voir " : pour sûr, elle le verra enfin ! Elle était simplement myope ! Malheureusement, les lunettes ne changent rien la situation. Par contre, elles deviennent le grand sujet dont tout le monde parle. Charlie se dit que s'il porte lui aussi des lunettes, il sera au centre de toutes les attentions. Pourtant, il découvre tout autre chose : maintenant qu'il y voit plus clair, il aperçoit la meilleure amie d'Ines, si jolie mais si petite qu'il ne l'avait pas aperçue... Une histoire d'amour et d'optométrie.

Les lunettes

Un moustique aide un vieil homme à découvrir quelle est la chair la plus savoureuse sur terre pour le débarrasser d'un terrible serpent qui veut le manger.
En contrepartie, le vieux le dote d'une dentition de fer pour que nulle victime ne lui résiste, mais l'insecte mordant se laissera entraîner par sa voracité...
 
Sur un ton humoristique, ce conte traditionnel chinois, de caractère étiologique, révèle pourquoi le moustique, au lieu de parler, émet des bourdonnements comme cri de guerre. Le lecteur peut suivre les péripéties des personnages qui montrent comment la justice et la solidarité triomphent sur la taille et la force, dans une histoire qui nous rapproche de la culture traditionnelle d'un peuple qui, pendant des siècles, eut comme moyen d'expression cette voix qui maintenant prolonge sa vie dans l'écriture.
Le texte simple et très amusant s'ajuste parfaitement à l'humour qui imprègne toujours les illustrations de Roger Olmos . Dans ce travail d'Olmos apparaissent les déformations volumétriques qui lui sont si personnelles et caractéristiques. Elles proportionnent une perspective curieuse des personnages, qui rappelle le peintre Botero, probablement sans le vouloir. Les personnages humains sont masculins (le vieil homme, le forgeron, les enfants...), les personnages fantastiques sont des animaux (serpent, moustique, oiseau, hirondelle, rat...) ; une opposition efficace pour expliquer en images une histoire qui semble une leçon anthropologique qui, en paraphrasant Kipling, pourrait avoir comme titre Pourquoi le serpent mange des souris . La proposition plastique que Roger Olmos dans Moustique réunit les caractéristiques auxquelles il nous a habituées dans ses précédents albums illustrés et qui pourraient constituer sa carte de visite pour ce genre de travaux: huiles fortes en prédominance absolue sur un texte qu'il respecte de forme scrupuleuse dans le discours plastique-littéraire de la double page.

Mon grand ours, mon petit ours et moi

Résumé

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