J'ai mal a la france

De la brousse à la jungle

Piste Sans Fin..

J'ai toujours dit que je ne retournerais a Dien Bien Phu que reduit en cendres, larguees e parachute. Pourtant, quarante ans apres, j'y suis revenu pour rendre un dernier hommage a ces jeunes de 20 ans, morts pour la France Ma guerre d'Indochine n'est pas La Guerre d'Indochine, mais le recit d'un homme qui se souvient de cette tragedie avec emotion. Plus de deux cents documents d'archives et somptueuses photos d'aujourd'hui, permettent au lecteur de suivre les traces d'un homme peu ordinaire, de partager sa souffrance et de mieux connaitre une partie de notre histoire trop vite oubliee.

Ma Guerre d'Indochine

A l'issue du premier tome des Lettres d'Indochine, le général Bigeard a reçu une quantité de courrier phénoménale. Lettres aux familles, missives des fiancées, journaux intimes, carnets de route lui sont parvenus et l'ont ému aux larmes. C'est pourquoi il a décidé de livrer un deuxième volume de ces témoignages bouleversants d'une époque révolue mais qui reste si présente dans le cœur des Français. Combats dans la boue de Dien-Bien-Phu, embuscades meurtrières dans les rizières, nuits de veille sur les fleuves, lentes progressions sur les pistes, agonies dans les camps de prisonniers et dans les hôpitaux : les combattants dévoilent, avec leurs mots, leur quotidien. Au-delà de l'héroïsme, c'est une page d'Histoire que l'on va découvrir dans ces lignes.
A la demande du général Bigeard, comme pour le premier volume, tous ses droits d'auteur seront versés aux Restos du Cœur.

Lettres D'Indochine. Tome 2

Le 7 mai 1954, après cinquante-six jours de combats acharnés contre les forces du Viêt-Minh, la garnison française du camp retranché de Diên Biên Phu cessait le feu. Des deux côtés, les pertes en hommes étaient terribles : 7000 tués et 15000 blessés chez l'adversaire, 80 % des effectifs de Paras et de Légionnaires mis hors de combat. Placé au centre de cette hécatombe, le médecin-commandant Paul Grauwin, chirurgien du camp, a écrit de ce drame, qui constitue la dernière page de l'histoire de l'Indochine française, l'un des récits les plus hallucinants et les plus bouleversants que la guerre ait jamais inspirés. Durant cinquante-six jours et cinquante-six nuits, s'enfonçant à la fin dans la boue jusqu'aux mollets, assisté par quelques infirmiers puis, à partir du 13 mars, par une convoyeuse de l'air au nom aujourd'hui légendaire, Geneviève de Galard, mille cinq cents fois Paul Grauwin s'est penché sur un champ opératoire. Comme un Chemin de Croix, le processus chirurgical se déroulait. Les blessés, les opérés, bloqués de plus en plus nombreux dans un espace réduit, transformaient l'antenne chirurgicale en un étrange hôpital, qui aurait mieux été à sa place sur une rive du Styx. Les cris, la boue, le sang, la pourriture, la puanteur, la chaleur terrible... et la défaite !

J'étais médecin à Diên Biên Phu

Ses valeurs, ce sont avant tout le patriotisme et la foi en un idéal, loin du matérialisme triomphant de notre époque. Un constat, implacable : les Français ont perdu le goût de l'effort et de la discipline. un certain sens de la volonté collective, et préparent pour leur pays un avenir bien sombre, un avenir de déclin. si rien n'est fait pour mettre fin à cette dérive. Le général Bigeard identifie un défi majeur auquel est confronté notre pays, comme d'ailleurs tous les pays occidentaux, ainsi que les Etats-Unis, l'Espagne ou encore la Grande-Bretagne ont pu en faire l'expérience : la lèpre du terrorisme islamique. L'ouvrage se clôt sur des considérations plus personnelles, dévoilant pour la première fois des pans entiers d'une vie privée qui était jusqu'alors restée entièrement dans l'ombre. Une manière de dire que la vie est un tout, et que les parcours personnel et professionnel du héros de Dien Bien Phu sont indissociables.

Adieu ma France

Pour une Parcelle de Gloire

Que mon parcours rappelle aux jeunes générations le sens des valeurs que j'ai toujours défendues, celles qui font la grandeur d'un homme et d'un pays » Marcel Bigeard. Auteur fidèle des éditions du Rocher où il a publié de nombreux ouvrages, le général avait confié à son éditeur le texte de son ultime livre à paraître à titre posthume : Ma vie pour la France dans lequel le général retrace son parcours d'exception depuis sa naissance à Toul en 1916, jusqu'à ses derniers mois de 2010.

J'ai mal a la france

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