Une petite histoire pour apprendre à voir la poésie qui se cache tout autour de nous : sous les pattes d'un chat, dans l'immensité du ciel et même sur la table de la cuisine !

La poésie, ça commence tout petit

Irina doit surveiller son petit frère Ivan pendant que leurs parents vont au marché. Elle s’autorise pourtant une escapade mais, à son retour, Irina aperçoit au loin les oies de la sorcière Baba Yaga emportant Ivan. La fillette part à leur poursuite. Dans la forêt, elle croise un four à bois, un vieux pommier, puis une drôle de rivière de lait qui lui proposent leur aide. Mais Irina refuse catégoriquement. C’est une maison dressée sur des pattes de poulet qu’elle rencontre enfin : l’antre de Baba Yaga ! Irina parvient à faire s’évader son petit frère et, dans leur fuite, elle accepte volontiers l’aide de la rivière de lait, du pommier et du four abandonné. Irina et Ivan rentrent chez eux sains et saufs juste avant le retour des parents, qui sont fiers d’avoir des enfants si sages !

Les oies de baba Yaga

Du bobo aux crevettes brésilien à l'authentique gaspacho andalou, de l'étonnante soupe glacée à l'hibiscus au solide pistou des bords de la méditerranée... Cet album vous emporte dans un grand voyage chaleureux et convivial. Aux quatre coins du monde, des marmites vous attendent, Vous, vos amis et vos cuillères à soupe !

Une cuisine qui sent bon les soupes du monde

Voici un texte simple autour des contradictions du jeune enfant : je me cache mais je veux qu'on me cherche.  Ou je veux qu'on me cherche mais qu'on ne me trouve pas ! Les illustrations de faune et de flore enchevêtrées créent un univers paisible et original, où le regard doit fouiller les formes et les couleurs ou, au contraire, se laisser porter par un émerveillement bienfaiteur. Un premier album très créatif signé par une jeune illustratrice que Rue du monde est heureux de faire découvrir aux lecteurs.

Le livre des moi

À la veille de la rentrée, la toute petite maîtresse ne veut surtout pas aller à l'école : elle a trop peur des enfants qu'elle ne connaît pas !
Alors Lola et Paulo, qui jouaient par là, mais aussi le jardinier, le médecin, et bien d'autres encore, vont lui rappeler les mille et une merveilles de la maternelle : comme on y peint, découpe, invente, comme on y chante, danse ou se déguise. Comme on s'y repose aussi et comme on y rencontre des amis très différents de soi.
Bref, en un mot, comme on s'épanouit dans cette école de la vie !
Un livre pour raconter la maternelle aux tout-petits qui vont y entrer et faire revivre de bons souvenirs à ceux qui la connaissent déjà. 
Un clin d'oeil aussi à tous ceux qui défendent cette école que le monde entier nous envie et qui sont inquiets de la voir remise en cause.

On aime tous la maternelle !

Au milieu du monde, poussait une forêt d'une grande importance pour la planète. Elle abritait la Lune, le Soleil et surtout l'arbre de vie. Robinson, l'enfant-grillon, était leur gardien. Les Bûchetrons, eux, ne rêvaient que de devenir riches et puissants grâce au bois de la forêt. Face à leurs ruses, à leurs outils et même à leur énorme machitraille, Robinson n'avait que son courage et son chant.

Robinson et l'arbre de vie

Trois enfants sont fascinés par l'artiste qui travaille au pied de leur immeuble. Pour eux, celui-ci poussera la porte de son école imaginaire de dessin : les rues de Paris !
Sous le métro aérien, il les invite à la perspective. Au marché, il les initie au mouvement...
Les enfants sont enthousiastes, la petite dame qui arrose les fleurs de la cour les suit aussi : elle rêve tant de savoir dessiner les roses du Luxembourg...

Mille dessins dans un encrier

Barnabé a installé sa maison sur le dos d'un vieux crocodile pour mieux visiter le monde au fil de la rivière.

Il raconte qu'il a ainsi rencontré des singeslisant des journaux anglais, un phacochère musicien, des léopards qui tricotent des chaussons de danse. 
Mais attention, barnabé !
Au bord de ["eau, le grand buffle dévoreur de menteurs, guette.

Barnabé qu'on ne croit jamais

Ils s'appellent Naïma, Joachim, Nemo, Bachir ou Dewene. Ils ont tous les droits que leur accorde la Convention des droits de l'enfant, signée en 1989 et pourtant ils manquent d'eau, de soins, de vitamines, d'école, d'écoute ou de libertés. C'est parfois le simple respect de leur personne qui fait cruellement défaut. Et leur vie chavire. Voici un grand album d'images pour que cela se voie, pour que cela se sache. Un album de mots sensibles aussi, pour nous encourager à offrir une autre enfance à ces bientôt trois milliards de petits Terriens.

La poésie, ça commence tout petit

Résumé

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Critiques

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