Dassault 50 ans d'aventures aeronautique

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SHOPPING is arguably the last remaining form of public activity. Through a battery of increasingly predatory forms, shopping has infiltrated, colonized, and even replaced, almost every aspect of urban life. Town centers, suburbs, streets, and now airports, train stations, museums, hospitals, schools, the Internet, and the military are shaped by the mechanisms and spaces of shopping. The voracity by which shopping pursues the public has, in effect, made it one of the principal-if only-modes by which we experience the city. The Harvard Design School Guide to Shopping explores the spaces, people, techniques, ideologies, and inventions by which shopping has so dramatically refashioned the city. Perhaps the beginning of the twenty-first century will be remembered as the point where the urban could no longer be understood without shopping. The PROJECT ON THE CITY, formerly known as "The Project for What Used to be the City," is an ongoing research effort that examines the effects of modernization on the urban condition. Each year the Project on the City investigates a specific urban region or a general urban condition undergoing virulent change. It tries to capture and decipher ongoing mutations in order to develop a new conceptual framework and vocabulary for phenomena that can no longer be described within the traditional categories of architecture, landscape, and urban planning. The first project, Great Leap Forward, focuses on the new forms and speeds of urbanization in the Pearl River Delta, China. The second project investigates the impact of shopping on the city. The third project explores the urban condition of Lagos, Nigeria. The fourth project treats the invention and expansion of the "systematic" Roman city as an early version of modernization and a prototype for the current process of globalization.

Project On The City. Volume 2, Harvard Design School Guide To Shopping

150 questions difficiles et charmantes issues des exercices d'orthographe et de syntaxe de Pierre Larousse. 
Forts en orthographe ? Peut-être... mais saurons-nous répondre sans fautes, ou presque, aux épineuses questions proposées à nos aïeux ? 
Genres de noms incertains (un ou une arcane ?), accords de participes retors (Rien ne l'émeut, elle se tient coi - coite ?), pluriels pleins d'embûches (des oeil-de-chat ?), pièges de construction (La clef est [à... après] la porte), citations d'auteurs classiques tronquées à dessein, tout concourt ici à la gymnastique intellectuelle, voire au casse-tête.
Avec ces questions subtiles et amusantes conçues par Pierre Larousse lui-même, on retrouve l'esprit de l'école de la IIIe République et on s'amuse à tester son niveau d'orthographe au fil des 150 exercices.
Exercices sélectionnés et réunis par Daniel Berlion, inspecteur d'académie.

Auriez-vous été bon en orthographe en 1870 ?

Les jeunes issus de l'immigration maghrébine voient dans la banlieue un point d'ancrage social et identitaire : le point d'une nouvelle identification à laquelle ils rattachent un langage métissé qui leur est propre. Quelle influence la banlieue exerce-t-elle sur les pratiques langagières ? Quelles sont les caractéristiques linguistiques de ce métissage ? Quelles sont les représentations sociolinguistiques attachées à cette pratique ?

LA LANGUE DU QUARTIER : APPROPRIATION DE L'ESPACE ET IDENTITES URBAINES CHEZ DES JEUNES ISSUS DE L'IMMIGRATION MAGHREBINE EN BANLIEUE ROUENNAISE

Du guidon au manche a balai

Par l'impératrice Joséphine et de sa descendance, des réseaux familiaux se sont tissés entre trois dynasties : celles de Napoléon Ier, de Bernadotte, roi de Suède, et du tsar Alexandre Ier.
Tandis que Joséphine de Leuchtenberg (1807-1876), fille du pince Eugène de Beauharnais aînée des petites-filles de l'impératrice, épouse en 1823 le prince héritier Oscar de Suède, son frère puiné, Maximilien (1817-1852), s'allie en 1839 avec la fille du tsar Nicolas Ier.
L'histoire de ces liens permet de comprendre le destin des collections de l'impératrice dont des chefsd'oeuvre figurent de nos jours aussi bien dans les collections royales suédoises qu'au musée de l'Ermitage, héritier des oeuvres d'art des Beauharnais-Leuchtenberg-Romanov.
Mais, au-delà du goût personnel de Joséphine, ces pièces de prestige reflètent les canons artistiques de l'époque.
Outre des pièces remarquables, telles celles du service Dihl et Guerhard, conservées au musée de l'Ermitage, et qui retrouveront celles que possède Malmaison, de nombreux bibelots, objets du quotidien et souvenirs de famille, reflets de la personnalité et du savoir-vivre de leurs propriétaires, rendent compte de la mémoire et de la tradition historique au sein des dynasties descendant de Joséphine.
Cette exposition étant organisée en partenariat avec le musée national du château de Compiègne, ce catalogue complète et accompagne celui de Compiègne.

Destins souverains ; Joséphine, descendante princière

Pour ce numéro, nous avons souhaité vous proposer deux grands dossier de Une, de 22 pages chacun. Le premier se consacre à l'optimisation de la netteté de ses images, différenciant le traitement des fichiers Raw, Jpeg et Tiff. Le second est un guide sur la réalisation de séquences vidéo ou comment apprendre à filmer avec son reflex dans de bonnes conditions. Trois autres dossiers viennent compléter ce numéro : un grand comparatif sur les livres-photo proposés par douze grands laboratoires en ligne ; une grande enquête sur la nouvelle photographie mobile, baptisée phonéographie ; enfin, un dossier très pratique pour numériser ses diapositives et négatifs avec son reflex ! Pour ceux qui n'ont pu se rendre cette année au Salon de la Photo, vous découvrirez également les neuf lauréats des trois Prix Compétence Photo : Prix Leica, Prix Zeiss et Prix Multiblitz. En couverture : la photo de Marc Lamey, lauréat du Prix Zeiss.

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