Le collège des Bernardins (Hors-série connaissance des arts #370)

Fêtes et crimes à la cour d'Henri III (Hors-série de l'estampille/l'objet d'art #52)

cartoville Rome

Dans le royaume des Sept Couronnes de Westeros un jeu complexe et périlleux se noue entre les grandes maisons suzeraines qui se disputent le pouvoir, Targaryen, Lannister, Stark, Baratheon, Bolton... Des alliances se tissent, des guerres se livrent, des régicides se commettent et de nouvelles souverainetés voient le jour. Game of Thrones. Les Maisons suzeraines de Westeros se veut un guide détaillé de ces luttes intestines entre familles et de l'évolution hiérarchique du Royaume. La place de chaque famille est rappelée à travers son écusson, sa devise, l'histoire de son fief et de son territoire. Un à un sont présentés les membres de chacune des familles, ainsi que les vassaux et courtisans qui gravitent autour d'eux. Un livre indispensable pour saisir les arcanes de cet univers foisonnant, richement illustré d'images extraites de la série et de PHOTOGRAPHIES des costumes et accessoires.

Game Of Thrones - Les maisons suzeraines de Westeros

Amsterdam et ses environs

C'est bien connu : on ne doit jamais cracher dans la soupe... Sauf peut-être quand on a des comptes à régler avec tout ce que l'Hexagone compte de grands chefs. Frédo le toqué, détenu modèle de la prison de la Santé, cuisinier lui-même et fin palais – il a la manie de faire rôtir aux petits pois les pigeons qu'il capture depuis sa cellule – à décider de se venger des " étoilés " du Michelin en les ridiculisant là par où ils ont péché : la colère pour l'un, la cupidité pour l'autre ou la couardise pour celui-ci... Le commissaire Broutard (Il ressemble à s'y méprendre au célèbre Broussard...) et son équipe de bras cassés, eux-mêmes ne dédaignant pas les pauses casse-croûtes bien arrosées, vont tenter de déjouer les plans diaboliques de Frédo et l'empêcher de ridiculiser la fine fleur de notre gastronomie. Danielle Thiery, l'une des figures du polar français, n'y va pas de main morte quand il s'agit de croquer avec férocité, humour et tendresse nos maestros du " piano " et ces policiers qu'elle connaît si bien pour avoir été la première commissaire divisionnaire de la police française. Mais ce polar, qui respecte toutes les lois du genre – suspens et rebondissements - n'est pas tout à fait un polar comme les autres puisque l'auteur a décidé de proposer aux lecteurs quelques recettes – celles de Pierre Labalette - au fil de l'intrigue. Des recettes qui raviront les fines gueules autant que les amateurs de romans policiers qui découvriront sous le couvercle de la marmite ce premier " polar culinaire ".

J'irai cracher dans vos soupes

Cahiers d'Histoire - Histoire et images

Code général des impôts 2013

Le mot péplum désigne communément toute production audiovisuelle dont le scénario se déroule pendant l’Antiquité égyptienne, grecque ou romaine. Le premier péplum est né à Lyon en même temps que le cinéma : en 1897, les frères Lumière, qui vivent et ont installé leur usine dans la ville, projettent Néron essayant des poisons sur un esclave deux ans après avoir inventé le cinématographe. C’est donc assez naturellement que les musées gallo-romains du lyonnais ont décidé de consacrer non pas une, mais deux expositions à ce genre cinématographique très populaire. Le péplum sera traité sous deux aspects. Le musée de Saint-Romain-en-Gal s’attachera à aborder ses origines diverses (peinture, littérature, théâtre…) et les ingrédients qui ont contribué à son succès. La place des personnages féminins, le traitement idéalisé du héros, les scènes de bataille ou encore l’utilisation de décors monumentaux seront ainsi décryptés. Le musée de Lyon-Fourvière portera quant à lui un regard ludique sur le sujet à travers le prisme de sa collection contemporaine et mettra en perspective des objets archéologiques et des éléments de décors de cinéma, des costumes ou des photographies de tournage pour ainsi nous révéler les mécanismes de cette « antiquité spectacle ».

Le collège des Bernardins (Hors-série connaissance des arts #370)

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