Un album dénonçant le sexisme langagier quotidien : l'auteure a remarqué par exemple que certains noms masculins désignant des personnes donnaient au féminin des noms d'objets.

Le zizi des mots

Lou a une dizaine d'années et est envoyée en colonie de vacances par ses parents. Elle aurait préféré aller à Deauville avec sa grand-mère, Thelma Norstein, comme l'année dernière. Pour éviter l'ennui, elle écrit à sa grand-mère, qui lui répond. Un roman épistolaire, tout de tendresse et de complicité.

Ta Lou qui t'aime

Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours eu peur des maths. Dès que je vois un chiffre, je ne comprends plus rien. Quand les autres lèvent le doigt en s'étirant jusqu'au plafond, en se tortillant, en criant : " Moi, maîtresse, moi ! " pour être interrogés, je n'ai qu'une envie : disparaître. La maladie des maths, comment ça s'attrape ? Est-ce de naissance, incurable ou réservé aux filles ?

J'ai mal aux maths

Un petit rien, c'est lécher un plat, surtout après la préparation d'un gâteau au chocolat. C'est sentir l'odeur du pain grillé quand on se réveille. Et bien d'autres petits moments du quotidien qui font du bien et qui ne coûtent rien. Un petit délice, c'est un moment à partager à deux : se promener en parlant de tout et de rien, prononcer le même mot en même temps, dire ce qu'on n'osait pas dire...
Voici le début d'une liste de petits bonheurs à compléter à l'infini !

Les magnets : 8 magnets reprennent des pensées d'Elisabeth Brami, les 16 autres sont des reproductions des dessins de Philippe Bertrand. Pour avoir sous les yeux, tous les jours, ces instants de la vie dont il faut savoir profiter.

Les petits riens et petits délices ; 24 magnets qui font du bien ; coffret

Vous qui tremblez dans le noir, ouvrez ce livre comme un grimoire: finis insomnies et cauchemars! Il sera un remède rare. De A à Z, du jamais vu! Des sorcières comme on n'en fait plus: Affreuses, ricaneuses, crochues, magiques, mystérieuses et poilues. Des potions de mots d'origine à déguster par la racine, des astuces, conseils et combines, à lire en rimes et en comptines. Pour qu'enfin, devenues divines, les sorcières deviennent vos copines!

Les Sorcières

Les filles et les garçons n'allaient pas dans les mêmes écoles. On portait des blouses, on écrivait à la craie sur des ardoises, et les cartables à roulettes n'existaient pas. C'est le jeudi qu'il n'y avait pas école. L'hiver, au coin du feu, il y avait toujours un très vieux ou une très vieille qui racontait des histoires de l'ancien temps. Souvent à la fin on l'entendait soupirer.

Y a belle lurette à l'école

Dans ce roman, Elisabeth Brami, forte de son expérience de psychologue clinicienne et de son talent d'auteure jeunesse chevronnée, dénonce les dangers d'un apprentissage trop précoce de la lecture, sans mâcher ses mots et en se plaçant délibérément du côté de l'enfant.
La voix de Victor, le narrateur, sonne vrai et est pleine de fraîcheur. Il nous fait partager sa révolte, sa tendresse, son incompréhension et son humour.
Écrit dans un style vigoureux et tonique, ce roman plein de bon sens réussit à divertir tout en faisant réfléchir.

Mon été pourri chez mamie

Le doudou de Tiloulou est un chiffon très doux. Même s'il n'est pas beau du tout, il est plus précieux qu'un joujou. Et grâce à lui, Tiloulou n'a plus peur du tout. Un album tendre comme un doudou, qui accompagne les tout-petits pour les aider à grandir.

Le doudou de Tiloulou

Moi j'adore, maman déteste...... le manche de la cuillère plein de confiture, de beurre ou de chocolat.... qu'on lui offre un cadeau pour la maison au lieu d'un cadeau vraiment pour elle.... que papa nous permette quelque chose qu'elle a interdit...

Le zizi des mots

Résumé

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Critiques

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