Le vase de Delft et autres nouvelles

La Ville à Voile est un songe : celui de Josty, qui a quitté Anvers pour faire fortune à l'autre bout du monde et y revient quarante ans après, riche et malade. Un autre songe tient en éveil les hommes réunis à bord du fameux Findor : le plaisir qu'ils ont connu à La Vita Breve, dans les bras d'une célèbre odalisque assassinée neuf ans plus tôt.Ces personnages hantés par leur passé s'efforcent de le ressusciter à l'aide de simulacres avant de découvrir que le désir s'éteint dans la possession et que le rêve se brise au contact du réel.

La Ville à Voile suivi de La Vita Breve

Blessures

Lorsque Julien découvre la chronique du cygne de Maître Hondius, sa vie est bouleversée. Il décide de vivre en ermite et s’installe dans un domaine aux allures poétiques. Peut-on encore sauver les jardins et leur langue de la décadence, de la nostalgie ?

La Chronique du cygne

First published in French in 1983, The Cathedral of Mist is a collection of stories from the last of the great Francophone Belgian fantasists: distilled tales of distant journeys, buried memories and impossible architecture. Described here are the emotionally disturbed architectural plan for a palace of emptiness; the experience of snowfall in a bed in the middle of a Finnish forest; the memory chambers that fuel the marvelous futility of the endeavor to write; the beautiful woodland church, built of warm air currents and fog, scattering in storms and taking renewed shape at dusk, that gives this book its title. The Cathedral of Mist offers the sort of ethereal narratives that might have come from the pen of a sorrowful, distinctly Belgian Italo Calvino. It is accompanied by two meditative essays on reading and writing that fall in the tradition of Marcel Proust and Julien Gracq. Paul Willems (1912-97) published his first novel, Everything Here Is Real, in 1941. Three more novels and, toward the end of his life, two collections of short stories bracketed his career as a playwright.

La cathédrale de brume

Avant de devenir le dramaturge majeur que l'on sait, Paul Willems fut prosateur. Il le redevint à la fin de son parcours, notamment dans les nouvelles du Vase de Delft. Le désir de voir et de comprendre, de rassembler des bribes, de traverser l'apparence des choses, d'approcher leur mystère dans un moment de ravissement et de vertige se retrouve, sous diverses formes, dans chacun des textes que rassemble ce recueil. Ces morceaux de vie, plutôt que d'être emportés par l'éparpillement du hasard, sont consignés par une écriture qui est étroitement liée à une lecture, à un véritable déchiffrement du réel. Au demeurant, deux méditations de Willems, sous les titres Lire et Ecrire, complètent et éclairent ces plongées dans un monde à double fond, dont l'auteur, visionnaire, connaît les itinéraires secrets.

Trois pièces, inédite ou devenues introuvables, du magicien de Missembourg. Trois pièces de la seconde moitié des années 1950. Elles laissent entrevoir le cheminement d'un auteur qui va donner, coup sur coup, sa pièce la plus rose, Il pleut dans ma maison(1958), et sa pièce la plus sombre, Warna (1962). Avec un inédit : Marceline.

Le vase de Delft et autres nouvelles

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