Pourquoi les chevaliers ont disparu

Cybersix, tome 5

Argentine, XIXe siècle. Angustias porte sur la peau la marque du fer rouge dont l’a frappée son frère. Depuis, une malédiction touche tous les hommes qui approchent la jeune femme, à l’exception de Thomas, un jeune artiste français en fuite dont elle tombe éperdument amoureuse...Angustias Terrero est la filleule de Juan Manuel de Rosas, le terrible dictateur qui plongea l'Argentine dans le sang vers le milieu du XIXe siècle. C’est en plein conflit entre l’Argentine et l’Uruguay, dans lequel Rosas soumet les tribus indiennes par la force et avec l’aide des propriétaires terriens, qu’Angustias rencontre Thomas, un révolutionnaire français pétri d’idéaux égalitaires en mission secrète… Après un premier tome haletant et poignant, Trillo et Domingues nous offrent ici la suite des aventures des deux tourtereaux. Tandis que la guérilla fait rage, la magnifique jeune femme est de plus en plus hantée par le profond mystère entourant ses origines. L’idylle naissante des deux amants saura-t-elle résister à la tourmente de l’Histoire ?

La marque du péché #2: La nuit de la disgrâce

La grande arnaque et L'iguane, oeuvres fondamentales de la BD argentine, n'ont pas pris une ride et continuent renoncer avec leur ton mordant le fonctionnement des régimes totalitaires auxquels ont été soumis les pays d'Amérique du sud... Mais pas seulement ! Dans un pays imaginaire d'Amérique centrale, un dictateur sanguinaire couche avec sa nièce qu'il fait passer pour la vierge intouchable afin de limiter les naissances d'enfants pauvres...
Oui rejoignent ensuite les troupes de la guérilla. un ex-policier alcoolique est charge par ide femme fatale de retrouver certaines photos compromettantes ou elle apparait aux cotes du chef de police... Ce point de départ typique d'un polar noir dérive rapidement en un vaudeville et une persécution menée tambour battant par l'iguane, tortionnaire officiel du régime dictatorial en place et véritable bête noire d'une société régie par la peur.
Plus de vingt ans après leur première publication, Ilatina édite en l'intégrale La grande arnaque et L'iguane, le chef d'oeuvre de Carlos Trillo et Cacho Mandrafina.

La grande arnaque ; l'iguane

Cybersix, tome 4

La historia de los Centobucchi, una familia disfuncional cuyas desventuras deberían convertirse en la gran novela americana, sirve de base a sus autores para ofrecernos su mordaz visión de la piedra angular de la sociedad. La vida del tío Amerigo Centobucchi no ha sido nada aburrida: con su violencia, ha sembrado el terror entre amigos y familiares; con su pasión, ha traído la desgracia a sus hermanos y a su mujer… Pero todo esto pertenece al pasado y sólo puede volver a la vida en la memoria. En Viejos canallas Trillo y Mandrafina se alían para presentar una historia de violencia, amor y pasión, en una obra que presenta un concepto muy particular de la institución familiar.

Vieilles canailles #2: L'honneur des Centobucchi

Je suis fils de Pharaon.Depuis plus de cinq mille ans, j'arpente cette terre.Le soleil est ma malédiction, et je ne connaîtrai jamais le repos éternel.A chaque résurrection, ma némésis m'attend : Ahmasi, la grande prêtresse de la secte du serpent.Notre affrontement est sans répit, et ne trouvera son issue qu'à la disparition de l'un d'entre nous.Mais comment mourir ?Elle comme moi sommes immortels.Nous sommes des vampires.

Je suis un vampire - Seconde partie (Je suis un vampire, #3-4)

Desde 1992, Clara Fernández revolea su carterita en una doble página del semanario español El Jueves y en una media vertical del suplemento No de Página 12. Nos la pidió el legendario Gin, gran dibujante y, por entonces, director de El Jueves. “Quiero una historia humorística con el jodido dibujo realista y negro del Jordi”, nos dijo. Y agregó: “Eso sí, tiene que ser una historieta de puta madre”. Como es sabido, Bernet y yo somos de esos obsecuentes que cumplimentan al pie de la letra los pedidos, sobre todo si provienen de la autoridad del medio en el que vamos a publicar. Y Clara resultó puta y madre. Como yo, con la experiencia de escribir historias muy largas, no sé rematar en pocos cuadros, pedí auxilio a Eduardo Maicas, humorista gráfico y radial habituado a la contundencia del chiste de un solo cuadro. Cuando nos juntamos a escribir por primera vez decidimos exprimirnos las neuronas al máximo para hacer un año de Clara de Noche. “No va a dar para más”, profetizamos. La venimos haciendo todas las semanas desde hace trece, y esto – parece - es solo el principio. Carlos Trillo

Pourquoi les chevaliers ont disparu

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