L'Instit : L'Angelus Du Corbeau

Moi, ma grand-mère, ce n'est pas une grand-mère ordinaire. Vous en connaissez beaucoup, vous, des grand-mères qui mordent leur chien pour défendre le facteur ? Qui changent de couleur lorsqu'elles tombent malades ? Qui provoquent des ouragans lorsqu'elles éternuent ?

Ma grand-mère est une catastrophe !

Les Aventures d'Autorouteman

21 contes à "croquer" les soirs d'hiver, avant d'aller se coucher, avec ce qu'il faut de géants, de roi Roi et de reine Reine, de princes transformés en grenouilles et de belles endormies, de lutins verts et de fées malicieuses, de vieux rabougris ou de vieilles édentées...

Le Croqueur de Lune

La vie en rose est un véritable événement ! Ce n'est pas un roman comme les autres, c'est un roman autobiographique. Paru en version « adulte », il y a une douzaine d'années, Gudule a retravaillé, ou plutôt revisité entièrement, ce beau récit. La narration n'est cependant pas à la première mais à la troisième personne. Cette distance de l'auteur vis-à-vis d'elle-même est, sans doute, outre son aspect protecteur, une allusion au caractère inévitablement « fictif » de l'autobiographie. Celui qui se retourne sur son passé, analyse, articule, rassemble et donc transforme les événements vécus. L'intérêt même de l'exercice réside dans ce double regard : Celui d'hier et celui d'aujourd'hui. Entre souvenir et fantasme. La situation se déroule dans les années 60 en Belgique. Rose est une adolescente plutôt mal dans sa peau mais au tempérament follement romanesque. Étouffée par un milieu « petit bourgeois » bigot , elle désire vivre l'amour et l'aventure... Elle découvrira les deux, la douleur en prime. Un premier amour, un homme plus très jeune, l'attente d'un enfant, de longs mois d'espoir et de souffrance. Mais souffrir, c'est aussi terriblement romanesque ! Bref, cette autobiographie est peut-être l'un des plus beaux romans de Gudule.

La Vie en rose

Au gringo's bar

Jérôme, onze ans, s'inquiète. À la suite d'une dispute entre ses parents, son père a disparu. Quant à sa mère, rien ne semble l'inquiéter. D'ailleurs, elle a une nouvelle manie : elle ne cesse d'acheter des meubles. Mais quand le nouveau mobilier se met à vibrer, Jérôme a vraiment la frousse : et si sa mère était une sorcière ?

T'es une sorcière, maman ?

Mickette a de sales notes, elle est envoyée dans une pension où toutes les filles se ressemblent...
Mickette collectionne les zéros. Son père est furieux : au revoir l'école publique, adieu les jeans et les baskets troués ! Mickette terminera son année de CM2 à la pension Suave. Les jeunes filles y sont sages... Trop sages ? Aucune ne cherche à savoir ce que cache la "zone interdite" ! Mickette ne tarde pas à se sentir mal à l'aise...

L'école qui n'existait pas

Le grand-père de Morgane est en train de mourir. Elle voit bien qu'il a des difficultés à passer de l'autre côté. Épuisée de veiller à ses côtés‚ Morgane s'endort. Elle se retrouve soudain avec lui dans le tunnel de la mort. En principe‚ un être aimé déjà décédé devrait y accueillir son grand-père et le guider jusqu'au bout du tunnel. Mais personne ne vient. Personne n'aurait aimé Grand-père ? Pas même Grand-mère ? Il faut que Morgane comprenne. La voici à la lumière des lampions et sur des rythmes de tango‚ au milieu d'un bal de village‚ en 1947. Le bal où son grand-père et sa grand-mère se sont rencontrés. Jusqu'où Morgane devra-t-elle aller pour modifier le passé de son grand-père sans bouleverser son propre présent ?

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