Un lieu, une date : l'assassin annonce ses crimes et lance un défi à Hercule Poirot. L'assassin est-il un maniaque des annuaires téléphoniques et des indicateurs de chemins de fer ? Celui qui signe A.B.C. tue par ordre alphabétique.

A.B.C. contre Poirot

The daughter of an American millionaire dies on a train en route for Nice...  When the luxurious Blue Train arrives at Nice, a guard attempts to wake serene Ruth Kettering from her slumbers. But she will never wake again - for a heavy blow has killed her, disfiguring her features almost beyond recognition. What is more, her precious rubies are missing.  The prime suspect is Ruth''s estranged husband, Derek. Yet Poirot is not convinced, so he stages an eerie re-enactment of the journey, complete with the murderer on board...

THE MYSTERY OF THE BLUE TRAIN - POIROT

Une étrange famille habite cette maison biscornue. Sous la domination d'un aïeul tyrannique (mais adoré) d'origine levantine : deux fils, une belle-fille actrice et une autre, femme de science, trois petits-enfants, une vieille tante. Il y a aussi la toute jeune seconde épouse du grand-père et le précepteur qui pourrait bien être son amant... Qui donc a tué l'aïeul ? Tout paraît accuser le couple adultère. La seule personne qui semble avoir une idée bien précise là-dessus c'est Joséphine, douze ans. Joséphine d'ailleurs a des idées sur tout, y compris l'art dramatique, les motivations des criminels et l'art aussi d'empoisonner les gens. C'est un petit monstre sympathique. Il faut être très attentif aux petits monstres...

La Maison biscornue

When nurse Amy Leatheran agrees to look after American archaeologist Dr Leidner’s wife Louise at a dig near Hassanieh she finds herself taking on more than just nursing duties – she also has to help solve murders. Fortunately for Amy, Hercule Poirot is visiting the excavation site but will the great detective be in time to prevent a multiple murderer from striking again?

Meurtre en Mésopotamie (Collection le masque #283)

Poirot joue le jeu + Cartes sur tablePoirot joue le jeu: Tout a ete prevu dans les moindres details. Munis d'un premier element de solution, les concurrents doivent se debrouiller pour trouver victime, arme du crime, assassin et mobile. Un pur divertissement ! Mais rira bien qui rira le dernier...Cartes sur table: Mr Shaitana s'amuse a organiser un bien etrange diner. Les invites: quatre specialistes du crime (dont Hercule Poirot) et quatre criminels impunis. Mais au cours d'une partie de bridge qui prolonge la soiree, leur hote est poignarde.On se distrait comme on veut, ou comme on peut, oubliant qu'il arrive parfois aux choses de mal tourner. Heureusement qu'Hercule Poirot veille aux respects de certaines regles, dont la plus elementaire: tuer n'est pas jouer.

Poirot reprend la main: Poirot joue le jeu / Cartes sur table

Hercule Poirot semble enfin avoir trouvé des adversaires à sa mesure : un quatuor criminel, dont le but n’est rien moins que de s’assurer la domination du monde. Rude bataille en perspective

Les Quatre

Dix personnes apparemment sans point commun se retrouvent sur l'île du Nègre, invités par un mystérieux M. Owen, malheureusement absent. Un couple de domestiques, récemment engagé, veille au confort des invités. Sur une table du salon, dix statuettes de nègres. Dans les chambres, une comptine racontant l'élimination minutieuse de dix petits nègres. Après le premier repas, une voix mystérieuse s'élève dans la maison, reprochant à chacun un ou plusieurs crimes. Un des convives s'étrangle et meurt, comme la première victime de la comptine. Une statuette disparaît. Et les morts se succèdent, suivant le texte à la lettre. La psychose monte. Le coupable se cache-t-il dans l'île, parmi les convives ? Une poignée de personnages admirablement campés, une ambiance tendue, un suspense à couper le souffle et une fin complètement inattendue... La reine de crime nous livre ici un classique de la littérature policière ! --Sophie Colpaert

Dix petits nègres

Trois generations de la famille Leonides vivent sous le meme toit. Celui d'une vaste maison un rien biscornue... Quand le grand-pere, un patriarche tyrannique, meurt assassine, tout le monde est soupconne, meme ses petits enfants ! Et justement, Josephine, douze ans, semble s'interesser de pres au crime et aux differentes facons d'eliminer son prochain. Un veritable petit monstre... Or on devrait toujours se mefier des petits monstres, aussi adorables soient-ils. Traduit de l'anglais par Janine Levy

La maison biscornue

First, there were ten—a curious assortment of strangers summoned as weekend guests to a little private island off the coast of Devon. Their host, an eccentric millionaire unknown to all of them, is nowhere to be found. All that the guests have in common is a wicked past they're unwilling to reveal—and a secret that will seal their fate. For each has been marked for murder. A famous nursery rhyme is framed and hung in every room of the mansion:"Ten little boys went out to dine; One choked his little self and then there were nine. Nine little boys sat up very late; One overslept himself and then there were eight. Eight little boys traveling in Devon; One said he'd stay there then there were seven. Seven little boys chopping up sticks; One chopped himself in half and then there were six. Six little boys playing with a hive; A bumblebee stung one and then there were five. Five little boys going in for law; One got in Chancery and then there were four. Four little boys going out to sea; A red herring swallowed one and then there were three. Three little boys walking in the zoo; A big bear hugged one and then there were two. Two little boys sitting in the sun; One got frizzled up and then there was one. One little boy left all alone; He went out and hanged himself and then there were none."When they realize that murders are occurring as described in the rhyme, terror mounts. One by one they fall prey. Before the weekend is out, there will be none. Who has choreographed this dastardly scheme? And who will be left to tell the tale? Only the dead are above suspicion.

A.B.C. contre Poirot

Résumé

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