Sous une fausse identité ; l'agent spécial Will Trent, du Bureau fédéral d'investigation de Géorgie, se fait embaucher comme main d'oeuvre à Fort Knox pour participer à l'inspection et au nettoyage des lingots d'or. Sa mission ? Se rapprocher de l'individu qu'il soupçonne d'avoir tué un policier, vingt-deux ans plus tôt. Ironie du sort, son suspect n'est autre que... Jack Reacher, lui-même en mission secrète à Fort Knox. Mais, alors que leurs enquêtes respectives prennent un tour inattendu, les deux hommes vont devoir apprendre à travailler ensemble s'ils veulent parvenir à découvrir les secrets que dissimulent les murs de la mythique réserve d'or américaine.

Argent sale

You can leave the army, but the army doesn’t leave you. Not always. Not completely, notes Jack Reacher—and sure enough, the retired military cop is soon pulled back into service. This time, for the State Department and the CIA.Someone has taken a shot at the president of France in the City of Light. The bullet was American. The distance between the gunman and the target was exceptional. How many snipers can shoot from three-quarters of a mile with total confidence? Very few, but John Kott—an American marksman gone bad—is one of them. And after fifteen years in prison, he’s out, unaccounted for, and likely drawing a bead on a G8 summit packed with enough world leaders to tempt any assassin.If anyone can stop Kott, it’s the man who beat him before: Reacher. And though he’d rather work alone, Reacher is teamed with Casey Nice, a rookie analyst who keeps her cool with Zoloft. But they’re facing a rough road, full of ruthless mobsters, Serbian thugs, close calls, double-crosses—and no backup if they’re caught. All the while Reacher can’t stop thinking about the woman he once failed to save. But he won’t let that that happen again. Not this time. Not Nice.Reacher never gets too close. But now a killer is making it personal.

La Cible était française (Une aventure de Jack Reacher t. 18)

Jack Reacher, ancien major de la police militaire, bourlingue à travers les USA. Il est stoppé à Despair dans le Colorado : accusé de vagabondage, il est expulsé manu militari de la ville possédée intégralement par un dénommé Thurman. Quel meilleur moyen d'aiguiser sa curiosité ? L'usine de recyclage des métaux qui emploie tous les habitants devient vite l'obsession de Reacher : extrêmement surveillée et proche d'une base militaire, elle semble avoir beaucoup de choses à cacher.

L'espoir fait vivre

WINNER OF THE HRF KEATING AWARD FOR BEST NON-FICTION CRIME BOOK 2018An entertaining history of British thrillers from Casino Royale to The Eagle Has Landed, in which award-winning crime writer Mike Ripley reveals that, though Britain may have lost an empire, her thrillers helped save the world. With a foreword by Lee Child.

 When Ian Fleming dismissed his books in a 1956 letter to Raymond Chandler as 'straight pillow fantasies of the bang-bang, kiss-kiss variety' he was being typically immodest. In three short years, his James Bond novels were already spearheading a boom in thriller fiction that would dominate the bestseller lists, not just in Britain, but internationally.

 The decade following World War II had seen Britain lose an Empire, demoted in terms of global power and status and economically crippled by debt; yet its fictional spies, secret agents, soldiers, sailors and even (occasionally) journalists were now saving the world on a regular basis.

 From Ian Fleming and Alistair MacLean in the 1950s through Desmond Bagley, Dick Francis, Len Deighton and John Le Carré in the 1960s, to Frederick Forsyth and Jack Higgins in the 1970s.

 Many have been labelled 'boys' books' written by men who probably never grew up but, as award-winning writer and critic Mike Ripley recounts, the thrillers of this period provided the reader with thrills, adventure and escapism, usually in exotic settings, or as today's leading thriller writer Lee Child puts it in his Foreword: 'the thrill of immersion in a fast and gaudy world.'

 In Kiss Kiss, Bang Bang, Ripley examines the rise of the thriller from the austere 1950s through the boom time of the Swinging Sixties and early 1970s, examining some 150 British authors (plus a few notable South Africans). Drawing upon conversations with many of the authors mentioned in the book, he shows how British writers, working very much in the shadow of World War II, came to dominate the field of adventure thrillers and the two types of spy story - spy fantasy (as epitomised by Ian Fleming's James Bond) and the more realistic spy fiction created by Deighton, Le Carré and Ted Allbeury, plus the many variations (and imitators) in between.

Kiss Kiss, Bang Bang - The Boom in British Thrillers from Casino Royale to The Eagle Has Landed

Émoi dans tous les services de sécurité du monde : un inconnu vient de tirer sur le président de la République française à Paris, et la balle est américaine. Le sniper a touché l'écran de protection à la distance phénoménale de 1 300 mètres. L'avertissement est clair : la prochaine fois, ça se passera au G8. Et Dieu sait combien il y aura de victimes. Mais qui est ce tireur d'élite ? Seuls quatre individus sont capables d'un tel exploit. L'un deux, John Kott, est un Américain que Jack Reacher a fait mettre en prison quinze ans plus tôt. Libéré depuis peu, l'homme est introuvable. L'armée missionne Reacher en secret pour mettre la main sur le tireur. Entre Paris et Londres, aux côtés des services spéciaux russes, français et anglais qui jouent chacun leur partition, sa tâche risque de ne pas être simple.Traduit de l’anglais par Elsa Maggion.

La cible était française (Jack Reacher, #19)

Ligne 6 du métro de New York. Monté à la station Bleeker, l’ex de la police militaire Jack Reacher remarque qu’il n’y a que cinq passagers dans le wagon et que le cinquième, Susan Mark, a tout du terroriste prêt à se faire sauter pour Allah. Et la rame se dirige vers la gare de Grand Central…Sauf qu’il est 2 heures du matin et que faire exploser une bombe sous une gare presque vide à cette heure ne tient pas debout. Pourtant, selon les critères du Mossad, Susan correspond en tous points à l’auteur potentiel d’un attentat suicide. Reacher s’approche d’elle et est sur le point de la désarmer lorsqu’elle se suicide sous ses yeux.L’enquête montre vite qu’il s’est passé quelque chose entre Susan et Reacher avant son décès. Et ce quelque chose, Al-Quaeda, le FBI, le NYPD, la CIA, les Russes et un sénateur encombrant le veulent.

Elle savait (Jack Reacher, #13)

1996. Jack Reacher fait encore partie de l'armée. Revenu d'une mission très spéciale en Bosnie, il est décoré. Mais, si étonnant que cela paraisse, il est immédiatement envoyé en formation avec deux autres agents également chevronnés. Pourquoi ? Une cellule djihadiste dormante basée à Hambourg et infiltrée par la CIA vient d'entendre parler d'une taupe américaine. Le traître aurait quelque chose à vendre à des terroristes islamistes... et, potentiellement, à d'autres dangereux individus. Le tout pour la coquette somme de cent millions de dollars. Reacher se voit ainsi confier la tâche de retrouver cet homme, de chercher à savoir ce qu'il vend et, naturellement, de faire son possible pour l'arrêter et éviter le pire.On ouvre le livre et c'est parti, on va jusqu'au bout sans descendre. Lee Child a le talent d'embarquer le lecteur immédiatement. François Forestier, L'Obs.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Elsa Maggion.

Argent sale

Résumé

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