Maurice Dudon, un étrange personnage qui mène une vie de cloporte, est renversé par une voiture. L'homme qui la conduisait l'installe à ses frais dans une clinique. Confié à Anne-Marie, une charmante infirmière qu'il épouse, il connaît un destin nouveau.

Une vie comme neuve

L'oncle Antoine est mort mardi, la veille de la Toussaint, vers onze heure du soir vraisemblablement. La même nuit Colette a tenté de se jeter par la fenêtre À peu près dans le même temps, on apprenait qu'Édouard était revenu et que plusieurs personnes l'avaient aperçu en ville. Tout cela a créé des remous dans la famille qu'on a vue hier, à l'enterrement, pour la première fois au complet depuis des années.

Les Autres

L'Ecluse no1


Quand on observe des poissons à travers une couche d'eau qui interdit entre eux et nous tout contact, on les voit rester longtemps immobiles, sans raison, puis d'un frémissement de nageoires aller un peu plus loin pour n'y rien faire qu'attendre à nouveau.
C'est dans le même calme, comme sans raison aussi, que le tramway 13, le dernier « Bastille-Créteil », traîna ses lumières jaunâtres tout le long du quai des Carrières. Au coin d'une rue, près d'un bec de gaz vert, il fit mine de s'arrêter, mais le receveur agita sa sonnette et le convoi fonça vers Charenton.
Derrière lui, le quai restait vide et stagnant comme un paysage du fond de l'eau. A droite, des péniches flottaient sur le canal, avec de la lune tout autour. Un filet d'eau se faufilait par une vanne mal fermée de l'écluse, et c'était le seul bruit sous le ciel encore plus quiet et plus profond qu'un lac.

L'écluse n°1

Des faits le plus minutieusement reconstitués, il ne dégageait rien, sinon que la découverte des deux charretiers de Dizy était pour ainsi dire impossible.
Le dimanche - c'était le 4 avril -, la pluie s'était mise à tomber à verse dès trois heures de l'après-midi.
A ce moment, il y avait dans le port, au-dessus de l'écluse 14, qui fait la jonction entre la Marne et le canal latéral, deux péniches à moteur avalantes, un bateau de déchargement et une vidange.
Un peu avant sept heures, alors que commençait le crépuscule, un bateau-citerne, I'Eco-III, s'était annoncé et avait pénétré dans le sas.

Le Charretier de la providence

Joseph, garçon au Café des Ministères, voit débarquer à huit heures dix du matin un client d’allure quelconque, mais qui va se révéler obstiné: en effet, il va rester pendant des heures assis dans le café, se contentant de consommer des cafés au lait. A trois heures de l’après-midi, il est toujours installé à la même place, et Joseph décide de faire appel à l’inspecteur Janvier.Nouvelle qui fait partie du recueil paru sous le titre Maigret et l’inspecteur Malgracieux.

Le Client le plus obstiné du monde

MON AMI MAIGRET. - Cassette , par Marc Moro

L'horreur faite mère
Jean Nalliers est trouvé mort dans une cour de la ferme qu'il exploite avec sa femme Gilberte. C'est sa belle-mère, Mme Pontreau, qui l'a poussé par une lucarne et qui fait croire que, victime d'une crise d'épilepsie, il a basculé. Elle est dénoncée par un jeune cambrioleur, ancien ouvrier agricole à la ferme. 
Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très "noirs" Romans durs

Le Haut Mal

La Fuite De Monsieur Monde (Simenon) (French Edition)

Prewar Paris - where buses still sported outside platforms and every neighborhood its own bistro, policemen took time for human problems, and car fumes hadn't yet smothered the smell of chesnut blossoms - serves as the setting for these seventeen stories, featuring Simenon's legendary Jules Maigret. Here the Chief Inspector goes about his business in a variety of settings and circumstances, revealing much about his life and his career not found elsewear; we are even given the chance to see Maigret on his retirement from the Quai des Orfevres and to see him indulge in some freelance sleuthing. This volume, along with Maigret's Christmas, completes the collection of Simenon's short detective fiction and adds many fascinating titles to the Maigret mosaic.

Une vie comme neuve

Résumé

Plus de livres de Georges Simenon

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques