Attablé dans un café parisien, un écrivain voit son attention attirée par un curieux spectacle : tout en se mêlant adroitement au flot des passants, un étrange individu semble faire les cent pas devant la terrasse du café. Policier en civil ? Détective en mission secrète ? Soudain c'est l'évidence, l’énergumène est pickpocket, « vrai métier » ardu et risqué... qui réserve bien des surprises à cet écrivain très observateur.--Contient deux nouvelles :- Découverte inopinée d'un vrai métier- La vieille dette

Découverte inopinée d'un vrai métier

Souvenirs et rencontres

Queen of Scotland and the Isles By Stefan Zweig. Originally published in 1935. Foreword: The clear, the manifest, is self-explanatory but mystery is a spur to creative imagination. Always, therefore, figures and events that are shrouded in mystery demand elucidation and stimulate the ingenuity of the artistic mind Among historical problems that call unceasingly for solution, the tragedy of Mary Stuart ranks as a crucial instance. Surely of all the women who have made their mark in the world, no other has been the theme of so many dramas, novels, biographies, and discussions. Throughout four centuries she has allured poets and tor mented the fancy of men of learning. Still, today, her story has again and again to be retold. Because that which is confused craves for clarity, that which is in darkness strains towards the light. The answers to the riddle of Marys life and character are almost as contradictory as they are manifold. Some regard her as a murderess, others as a martyr some as an intriguer, others as a saint. The diver sity of opinions about this woman is due, not to a shortage of material but to the perplexing superabundance of contemporary records. In the thousands upon thousands of documents, reports, records of trials, letters, etc., relating to her, the question of her guilt or innocence Is continually being re-examined, and the re-trial has continued for three centuries. The more meticulously we scrutinize the documents, the more painfully do we become aware how dubious is the authenticity of historical evidence, and how untrustworthy therefore the con elusions of historians. For no matter how mcontestably genuine an ancient document may be, this genuineness does not provide any guarantee as to the human validity of its contents. In the of Mary Queen of Scots more plainly perhaps than in any other do we become aware how diversely two or more observers may describe an incident which they have witnessed simultaneously Every well-attested it quot Yes is countered by an equally quot f by a rebuttal Falsehood and truth, fact and arc so mingled, that every possible view as to her or this or that matter is concerned and as to her in Darnley s murder, seems equally by When, over and above this conflict of evidence, we to for the partisanship of politicians and patriots, our as tie value of the picture that emerges Is yet In any case It Is but natural for to lake acters, ideas, and outlooks are contrasted so few, i any, can avoid the temptation of one and the other wrong, one guilty and the other If, as lit the Instance, the witnesses belong to one or of the parties, religions, or philosophies, we bias to be a of course. Speaking generally, we find the blame to Mary, and CathoMc ones the to lish historians tend to describe the former as a ess, whilst Scottish authorities Incline to her and to of her as a victim of calumny The of tme the Casket Letters the thorniest problem the as the members of the other faction arc no less that these epistles must have The of extends Into the most trivial details of the life It Is perhaps easier for one who is am nor a to an unbiased judgment upon for one blood begins to course more swiftly when they tip for tion easler for him to contemplate with which Is at one and the same time and Trae it would be over-bold even for a foreigner to he was capable of learning the truth, the whole truth, and but lie truth about Mary Smart s life...

Marie Stuart

Stefan Zweig possédait une connaissance intime de l'esprit français, de la culture et de l'histoire de notre pays. Dans la lignée de ses grandes biographies, cet ouvrage nous invite à découvrir son panthéon littéraire personnel où se côtoient Verlaine, Stendhal et Proust, Flaubert, Claudel et Rimbaud, Balzac et Romain Rolland. Il permet aussi de mieux saisir l'évolution intellectuelle de l'auteur, le développement de son goût, ses passions constantes, de connaître ses coups de coeur plus éphémères et ses rencontres parfois déterminantes.
Lorsqu'il parle d'un autre écrivain, Zweig fait toujours montre de ses dons de passeur : ces textes sont avant tout des exercices d'admiration de « maîtres » ou de proches. Il sait comme personne créer un long dialogue, par-delà la vie et la mort, avec des présences fraternelles. Zweig aime aimer et faire aimer ; l'enthousiasme est sa première vertu. C'est par le biais d'une démarche de sympathie, émotive et subjective, qu'il perce le mystère des créateurs en entrant dans leur « chambre aux secrets », selon sa propre formule.
Zweig nous rappelle ainsi que l'art n'a pas d'autre fin que celle d'unir les hommes : toute littérature digne de ce nom - de même toute musique - est réconciliatrice. Elle est faite pour ouvrir les coeurs, éclairer les intelligences, rassembler et pacifier. Inspiré par cette idée de partage et de transmission, Zweig propose à l'admiration de ses lecteurs des « bâtisseurs » exemplaires. Des artistes qui oeuvrent, à leur manière, pour un absolu. C'est ainsi que curiosité, profondeur et élégance règnent constamment dans ces pages puisées aux sources mêmes de l'humanisme européen.

La chambre aux secrets

Sur le port de Buenos Aires, l'agitation était la même qu'à New York, douze jours plus tôt. Cette fois encore, Czentovic ne passerait pas inaperçu: une meute de journalistes guettait le champion du monde d'échecs au bout de la passerelle. Je me serais bien glissé parmi eux si ma femme, qui n'avait aucune sympathie pour le personnage, ne m'avait persuadé d'attendre la presse du lendemain. Les journaux lui consacraient de longs articles élogieux, mais une seule chose m'intéressait: allait-on évoquer le camouflet qu'un joueur inconnu lui avait infligé dans le tournoi que nous avions improvisé sur le bateau? De fait, tous les quotidiens rapportaient les déclarations du champion à ce sujet: "Je vois que les nouvelles vont vite. Effectivement, j'ai rencontré un excellent amateur sur le paquebot. J'ignore qui est ce monsieur et je ne connais pas son passé. Je suppose qu'il avait l'habitude de disputer des blitz, mais sa façon de jouer était plutôt... pathologique. Je ne pus m'empêcher de sourire. Czentovic n'avait rien d'un psychologue, mais il me fallait admettre que le propos ne manquait pas de pertinence."

Le joueur d'échecs

6 nouvelles où la plume de l'auteur vous transperce le cour et vous fait basculer dans un monde de frissons.

Nouvelles

Six textes inédits de Stefan Zweig sur la poésie et les poètes, et en premier lieu Charles Baudelaire, dont on va célébrer le bicentenaire, mais aussi Victor Hugo, Paul Verlaine, Rainer Maria Rilke, etc.

Baudelaire - Et autres poètes

Brennendes Geheimnis ist eine Novelle von Stefan Zweig. Publiziert wurde das Werk erstmals im Jahre 1911 in dem Band "Erstes Erlebnis - Vier Geschichten aus Kinderland". Ein junger Baron nimmt sich einen Urlaub auf dem Semmering und ist enttäuscht und gelangweilt von der Gesellschaft, die er dort vorfindet. Später jedoch bemerkt er eine etwas angejahrte, aber immer noch attraktiv erscheinende jüdische Frau mit ihrem zwölfjährigen Sohn Edgar. Der Baron freundet sich mit dem Jungen an und verspricht ihm unter anderem einen Hund, doch ihm geht es in erster Linie nur um Mathilde, dessen Mutter.

Brennendes Geheimnis

Dans la Vienne du début du siècle, il n'est pas un bibliophile qui ne connaisse Jakob Mendel, catalogue vivant de l'ensemble du savoir imprimé. Monomaniaque à la mémoire prodigieuse, affreusement peu doué en affaires, il est affligé d'une boulimie bibliographique qui fait de lui un homme précieux. Perpétuellement installé à la table d'un café du vieux Vienne dont il a fait son quartier général, il délivre ses expertises érudites à tous les amateurs ou spécialistes qui ont le bon sens de venir le consulter. La Première Guerre mondiale va mettre sens dessus dessous l'univers de Mendel, et le précipiter brutalement dans le monde des vivants, dont il n a jamais rien appris...

Découverte inopinée d'un vrai métier

Résumé

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