On sait pas trop comment ça a commencé... Un petit garçon est entré dans la salle de sport, une petite fille l'a suivi... Et paf, elle lui a fait un gros bisou sur la bouche. Carrément ! Un bécot. Un gros bécot ! Et c'est comme ça qu'à débuté l'épisode connu dans l'histoire sous le nom de "Guerre des bisous".

La guerre des bisous

Le premier bain, les premiers petits pois, la première bagarre, les premiers amis... C'est ainsi qu'on entre dans la ronde de la vie.

Titre recommandé par le ministère de l'Éducation nationale, pour le cycle 2 de l'école primaire.

La première fois que je suis née

Bellaque, c'est moi. Ma maîtresse, elle dit toujours : "Bellaque, de toute façon, avec toi, y a jamais de problèmes". C'est vrai, ça, y a jamais de problèmes. Sauf depuis qu'un hélicoptère s'est posé dans la cour et que tout un tas de policiers a déboulé dans la classe. Là, la maîtresse, elle a dû changer d'avis. Surtout quand ils ont dit : "Bellaque Mostaganem ? Tu es en état d'arrestation".

Je suis Bellaque

Henri Grouès naît à Lyon en 1912. Éduqué dans une famille catholique tournée vers les autres, il est sensibilisé dès l'enfance à l'entraide et au partage. Se faisant d'abord appeler « Frère Philippe », Henri adopte après la Seconde Guerre mondiale un nom qui va rester dans toutes les mémoires : celui de l'Abbé Pierre. Réunissant des compagnons pour fonder Emmaüs, il mène dès lors une lutte acharnée contre le mal-logement. À l'hiver 1954, il lance son célèbre appel à la radio, et tout au long de sa vie l'Abbé Pierre a créé des communautés, en France et à travers le monde, afin de venir en aide aux personnes démunies. Par son infatigable action, il nous rappelle que la dignité est à la fois un enjeu de civilisation et un droit universel.

L'Abbé Pierre - Une vie pour les autres

Il fait super chaud, mais Émile, lui, a froid : point à la ligne. Le voilà entortillé dans sa doudoune. Sauf qu'aujourd'hui Émile doit aller à la piscine... Qu'à cela ne tienne, Émile met son maillot de bain et garde sa doudoune. Il a décidé qu'il avait froid, un point c'est tout!

Émile a froid

Je m'appelle Vincent, Vincent Cuvellier, j'ai 46 ans, je suis le papa d'un petit garçon, je suis écrivain, et le général a raison, je suis quand même un peu un sacré branleur. Oui, j'ai dit écrivain, je n'ai pas dit auteur jeunesse. Pourquoi je ne dis pas auteur jeunesse ? Ben, je sais pas, je ne connais pas ce métier, je ne sais pas ce que c'est, auteur jeunesse, pour moi ça ne veut rien dire... écrivain, ça a plus de gueule. Auteur jeunesse, je sais pas, c'est un peu cucul la praline à dire... comme si, parce qu'on écrit pour les gamins, on n'assumait pas complètement la dimension artistique du métier. Genre, on serait des auteurs, ça suffit, pour les mômes, c'est bien bon. Pour moi, c'est simple : je fais des livres, j'écris, donc, je suis écrivain. J'imagine un musicien qui ferait des disques pour enfants et qui dirait «je suis compositeur jeunesse».

Je ne suis pas un auteur jeunesse

Momo, sa maîtresse et ses amis ne sont pas au bout de leurs surprises ! Tous les jours, un nouveau débarque dans la classe... mais ce n'est jamais un élève comme les autres. De Louis XIV à une princesse en passant par une jeune star de la chanson ou Tarzan, les nouveaux sont tous différents, et toujours les bienvenus dans cette école qui ressemble, elle, à n'importe quelle école. Bien sûr, avec des tels personnage, les journées sont plutôt mouvementées... Alors, tous en classe pour les découvrir !

Les nouveaux, Tome 01

Des faits marquants jusqu'aux détails et anecdotes, la vie de celui que l'on connaît mieux sous le nom de Roi Soleil, incarnation de la monarchie absolue, à la fois souverain puissant, homme de guerre et prince des arts. L'occasion d'évoquer Versailles, mais aussi la Fronde, la promulgation du Code noir et la persécution des protestants...

Louis XIV

Émile veut une chauve-souris. Voilà. C'est comme ça et pas autrement ! Emile veut une chauve-souris. Une vraie. Une qui vole la nuit. Une avec ses ailes toutes bizarres, ses yeux noirs, ses petites dents, ses petites griffes. Et Émile, il n'est pas têtu : il est très, très, très têtu.

La guerre des bisous

Résumé

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Critiques

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