Français ; livre unique ; 4ème ; itinéraire audio-visuel niveau 1 (édition 2002)

Présence : les cahiers du forum 104 - N° 2

Ces lettres à Edmond Jabès témoignent de l'amitié qui lia profondément les deux poètes de 1933 à la mort de Max Jacob, interné au camp de Drancy, en 1944.
L'auteur du Cornet à dés y prodigue des conseils au jeune poète égyptien et le place devant sa propre trajectoire poétique et humaine. " Je vair te donner un bon conseil fais des phrases en vrai, c'est dans la syntaxe que se révèle l'individu ". " Un vrai chaud travail " dont se souviendra toute sa vie l'auteur du Livre des Questions. Inédites en France, ces lettres ont été publiées par René Etiemble en Egypte (1945), puis en Italie (1989).

Lettres de Max Jacob à Edmond Jabès

La naissance de Koenigshoffen à l'ouest de Strasbourg est étroitement liée à l'implantation de l'armée romaine dans la ville dès le début du Ier siècle après J.-C. Le long de l'actuelle route des Romains (l'ancien decumanus) s'est développé, entre le Ier et le IVe siècle, un important habitat civil. Plusieurs grandes nécropoles - dont certaines ont livré de remarquables stèles funéraires de légionnaires, de vétérans et de cavaliers auxiliaires - étaient également établies aux sorties de cet axe central qui structure la topographie du vicus antique.
La voirie, l'organisation de l'espace et des vastes quartiers d'habitation, l'implantation des activités artisanales (fours de potiers et de tuiliers) ont été précisées peu à peu grâce aux observations régulièrement effectuées depuis le milieu du XIXe siècle ; un sanctuaire du dieu oriental Mithra a également été exploré au début du XXe siècle par Robert Forrer. Ces découvertes initiales ont été largement complétées au cours des dernières décennies grâce aux fouilles archéologiques préventives réalisées sous l'égide du Service régional de l'Archéologie à l'occasion de grands travaux d'infrastructures et d'aménagements urbains.
Celles récemment menées par Alsace Archéologie dans le cadre du projet "Porte des Romains" ont mis une nouvelle fois en lumière le riche patrimoine archéologique de ce secteur : stèles funéraires de légionnaires, fondations de mausolées en bordure de la voie antique, fragments sculptés de lions et de sphinges funéraires, ainsi que de nombreuses informations nouvelles sur l'urbanisme de ce secteur civil proche du camp légionnaire.
Synthèse de ces découvertes, cet ouvrage propose un large bilan actualisé des connaissances sur le passé antique du vicus de Koenigshoffen et sur les relations entretenues avec le proche camp militaire d'Argentorate.

Vivre à Koenigshoffen à l'époque romaine : un quartier civil de Strasbourg-Argentorate du Ier-IVe siècle après J.-C.

Le chat des villes et le chat des champs

Les regalia, emblèmes et rituels des pouvoirs royaux, sont liés au caractère "sacré" des souverains "investis par les dieux". Des objets divers - sceptre, épée, couronne, mais aussi vases, miroir, pierres, etc. - y participent. Plus diverses encore sont les cérémonies d'intronisation. Des spécialistes s'attachent ici à décrire ces objets et interpréter ces rituels, qui devaient permettre au souverain d'assurer la prospérité du royaume et de perpétuer son accord avec le cosmos.

Regalia

1ère partie « Préparer son voyage ». 
Pour s'organiser quand on ne connaît pas la destination : présentation des sites incontournables avec étoilage, suggestions de séjour en fonction du temps dont on dispose. 
2ème partie « Découvrir ». 
Un portrait vivant et documenté de la région, et se concentre sur ses particularités culturelles : histoire, architecture, traditions. 
3ème partie « Visiter ». 
Les cartes thématiques permettent de repérer tout de suite les lieux correspondants aux centres d'intérêts du lecteur. 
La destination est découpée en une dizaine de micro-régions. Chaque micro-région est introduite par une carte détaillée où figure un itinéraire de visite, les lieux de sports et loisirs. En un coup d'oeil, on verra tout ce que l'on peut voir et faire. 
L'information est structurée en 3 parties, pour coller au mieux aux attentes des lecteurs : 
- Visites culturelles : la plus importante. Tous les sites à ne pas manquer : villes et villages, sites naturels, patrimoine. faisant l'objet d'un descriptif détaillé. Un système d'étoilage hiérarchise les sites (intéressant / très intéressant / incontournable). 
- Produits régionaux : toutes les bonnes adresses classées par thème (gastronomie, ateliers d'artisans,.). 
- Sports et loisirs : une sélection par l'auteur de balades et randonnées (accès, durée, difficulté, intérêt), des adresses d'organismes (plongée, escalade, parapente, chien de traîneau, équitation, .), des bases de loisirs. 
Un picto enfant indique les sites qui leur sont particulièrement dédiés. 
Carnet d'adresses en fin d'ouvrage, classé par lieu : offices de tourisme, CDT et CRT, restaurants, hébergements (hôtels, chambres d'hôtes, campings). La plupart des adresses sont commentées. 
Double index : thématique et géographique.

Corse

Paillarde, gaillarde, licencieuse, obscène, à boire, d'étudiants, d'artisans ou de carabins, la chanson érotique populaire - folklorique plutôt -, dont nous vous présentons aujourd'hui un copieux échantillonnage, remonte aux origines des civilisations.
Mais mal vue vraisemblablement dès le début par les sociétés " convenables ", confinée dans les marges de l'expression, et donc effacée par les interdits divers, la chanson érotique est rarement évoquée dans la culture " sérieuse ". Pourquoi ? C'est un mystère, à notre époque soi-disant " libérée ". En chercher les raisons n'est pas notre objet. Nous avons simplement voulu remettre au jour une part importante de la culture érotique du XVIe siècle à nos jours.
Ces chansons, nous les accompagnons souvent des partitions musicales, quelquefois ignorées - ou mal lues -, de leurs interprètes spontanés. Puissent nos lecteurs prendre autant de plaisir à la présente lecture que nous en avons eu nous-même à composer ce volume.

Français ; livre unique ; 4ème ; itinéraire audio-visuel niveau 1 (édition 2002)

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