Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Dinan et le val de Rance

Victoire se leva, et ce fut un long cri : - Tout le monde m'abandonne ! On ne peut pas, on ne veut pas, qu'est-ce que ça change, et qu'est-ce que ça me fait ? On veut tuer mon mari, je ne connais plus que cela ! Aucun avocat n'accepte de plaider sa cause. Très bien ! Parfait, messieurs ! Puisqu'il en est ainsi, entendez bien : c'est moi qui plaiderai ! - Mais... mais, bredouilla Nicole, tu déraisonnes ! Ce que tu veux faire là, c'est impossible ! Cela n'a jamais existé ! - Et alors ? « Sa femme plaide et le sauve. » Ainsi, André Castelot titrait-il l'étude qu'il consacrait à Victoire de Villirouët, la première femme de France qui se fit avocate, afin de défendre son mari menacé par la Révolution. Au moment où l'on célèbre les Droits de la femme, Michel Bourguignon, auteur de nombreux romans (Rouge et Or, Flammarion, Presses de la cité...) évoque cette personnalité, dont la foi séduisit l'impératrice Joséphine de Beauharnais.

La première avocate

Comprendre la Corée ? C'est s'attaquer à un puzzle aux pièces vagabondes. Sud. Nord. 38° Parallèle. Russie. PyongYang. Séoul. Zone démilitarisée très militarisée. Kim Il-sung. Park Chung-hee. Bouddhisme. Marxisme. Pentecôtisme. Catholicisme rebelle. Le pays a été amputé, unifié puis redécoupé par les invasions, les jeux de la Chine, du Japon, et des USA. Il faut savoir pourquoi la dynastie post-stalinienne des Kim de Corée du Nord revendique l'héritage magique de Tangun, l'ancêtre mythique du pays, pourquoi, au Sud, le confucianisme pénalise toujours les femmes. Au fait, comment oublier la persistance de l'empreinte nipponne qui pousse à la compétition, avec stress au programme dès la maternelle ? Comprendre les Coréens, c'est détailler les composantes vengeresses de leur mélancolie créative, de leur nationalisme voyageur. C'est appréhender un appétit vorace pour les religions. C'est observer un pays au narcissisme extravagant qui préfère les chamanes aux analystes pour accompagner sa prodigieuse fuite dans la modernité. Avec un maître mot : Ppali, ppali. Vite, vite !

Comprendre les Coréens - Guide de voyage interculturel

Pourquoi et comment se raconter ? Pour laisser une trace ? Pour dire à ses petits-enfants quel a été notre parcours ? Pour se délivrer du passé ? Pour stimuler sa mémoire ? Quelle que soit la raison qui vous pousse à écrire, l'important est... d'être lu ! Et pour être lu, il faut captiver son lecteur. Pour cela, il existe des recettes simples et efficaces que l'auteur, qui anime depuis de nombreuses années des ateliers d'écriture, délivre ici. A travers des exercices concrets, Jean-Yves Ruaux enseigne des méthodes qui permettront à tout un chacun de raconter son histoire d'une manière intéressante et passionnante. Et pour ceux qui souhaiteraient que leur autobiographie soit lue au-delà du cercle des proches, l'auteur donne les clés pour être publié. Jean-Yves Ruaux indique aussi d'autres voies de diffusion : vidéo, blogs, récit oral enregistré... Toutes les pistes sont évoquées. Grâce à cet ouvrage, devenez l'écrivain de votre vie !

J'écris mon histoire

Les châteaux d'Angers à Chenonceaux

Que les retraités soient actifs professionnellement est indispensable aux entreprises, à l'économie et à leur propre bien-être. La France vieillit. Elle manque d'ingénieurs, de médecins, d'infirmières, de métallurgistes, d'enseignants… Collaborer avec des retraités est devenu une nécessité vitale pour éviter la pénurie de talents et la délocalisation des activités. Gérer le pré et le post-retraite est un investissement pour l'industrie et son développement durable. L'enquête le démontre, l'expérience suggère les solutions. Les retraités sont une ressource naturelle de l'entreprise.

Dinan et le val de Rance

Résumé

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