Cinéma: Entre l'art et l'argent

La place de la culture dans le débat public sur la mondialisation est une spécificité française, qui ne se comprend qu'en prenant en compte l'investissement symbolique très ancien de la nation dans la production artistique et littéraire. L'enjeu de la diversité culturelle est donc particulièrement fort en France, mais les politiques apparaissent aujourd'hui inadaptées. Les évolutions actuelles des marchés des biens culturels résultent non seulement de l'accélération de la mondialisation des échanges, mais aussi des mutations techniques qui affectent profondément ces secteurs. Ces évolutions déstabilisent le système de production et de distribution des biens culturels et accélèrent le mouvement de concentration, favorisant en outre l'arrivée de nouveaux acteurs, opérateurs de télécommunications, éditeurs de logiciels ou fabricants de matériels électroniques. Cette  Note de l'lfri permet de comprendre la position de la France dans les débats sur la mondialisation des industries culturelles, analyse la dynamique de la concurrence clans ces secteurs et suggère des pistes d'évolution des politiques publiques.

Réactions et réponses à la mondialisation - Tome 6, Mondialisation et diversité culturelle : le cas de la France

Le cinéma n'a pas évolué de façon autonome. Ce livre replace son économie et son organisation, en France et aux Etats-Unis, dans le contexte du siècle. L'analyse met en évidence trois grands domaines : la constitution d'une industrie, la recherche d'un public, la confrontation entre Hollywood et le modèle européen. L'une des ambitions de cet ouvrage collectif est aussi de reconcilier l'objet cinéma avec la discipline historique.

Une histoire économique du cinéma français (1895-1995). Regards croisés franco-américains

L'irruption - massive et rapide - des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans les entreprises peut être d'abord ressentie par les salariés comme une " force libératrice " leur permettant - enfin ! - l'accès à l'information, au savoir et aussi à l'autonomie créatrice s'affranchissant de la dépendance hiérarchique et de la complexité organisationnelle.
Les travaux menés par Nicole Vardanega-Lachaud, Pierre-Jean Benghozi, Patrice Pollet et Jacques Trahand et qui ont abouti à la publication de ce livre ont un grand mérite, celui de nous démontrer par une réflexion appuyée sur l'observation des pratiques d'entreprise que les outils qu'elles mettent en place - comme les intranets ou les progiciels de gestions intégrés - ont une vertu créatrice dépassant un déterminisme technologique si leur mise en œuvre répond à des choix clairs de management. Ces choix sont d'ordre organisationnel, économique et ... éthique. Faute de les avoir opérés et exprimés clairement, les entreprises courent le risque du chaos technologique et de la contre performance.
L'étude " Le travail en réseau, au-delà de l'organisation hiérarchique et des technologies de l'information " interpelle au premier chef les dirigeants dans leur réflexion stratégique et aussi l'action au quotidien. Cette interpellation, fondée sur une analyse et une réflexion approfondie, est la bienvenue à un moment où plus que jamais leurs collaborateurs sont avant tout en quête d'autonomie et de sens pour leur implication et leur performance.
Paul Schiettecatte
Directeur général d'Entreprise&Personnel

Internet En Reseau. Au Dela De L'Organisation Hierarchique Et Des Technologies De Demain

L'Économie nous gouverne. mais la science économique permet-elle de prévoir les crises et d'aider utilement à la décision des agents économiques et politiques? 18 économistes de haut niveau répondent à cette question et envisagent l'ensemble des secteurs de la société qui dépendent de la conjoncture, de l'évolution et de la prévision économiques.

L'économie, une science qui nous gouverne ? - Leçons de crises

Une histoire économique du cinéma français, 1895-1995 - Regards franco-américains

L'internet des objets

Le Web n'a jamais offert tant de possibilités d'autonomie à l'individu, alors même que l'environnement semble complexe et risqué. Pourtant, les dispositifs de validation et de légitimation des contenus sur Internet en sont encore à leurs balbutiements.Cet ouvrage offre un aperçu condensé des dispositifs de création de confiance qui se développent dans la société virtuelle (communautés de pratiques, notation, etc.) Ces mécanismes fournissent à l’individu différents types repères : blogs, réseaux sociaux, journalisme citoyen, notations par les utilisateurs, modèles de prescription, de recommandation et de construction de la confiance, etc. Ces dispositifs sont aussi le support d’enjeux économiques et financiers et se transforment en repères de réflexion et d’action pour l’internaute : c’est le cas des business model des sites d’information, du rôle central des intermédiaires-prescripteurs (cf. Google), du poids grandissant des sites d’agrégation de contenus, des nouvelles modalités de protection et de rémunération de la propriété intellectuelle, etc.. Mais les dispositifs de pertinence et de fiabilité se construisent aussi dans l’agencement et l’organisation des compétences. Ces repères de processus spécifiques et de Knowledge Management sont toutefois encore à découvrir : critères de validation, expertise et structures des sites d’information (le cas Wikipedia), les critères des sites d’agrégation (cf. Youtube), l’intégration du capital de connaissances à la vie opérationnelle et quotidienne (cf. méthode Make), etc.Les dispositifs existants se structurent simultanément dans différents registres – sociaux, économiques, cognitifs et technologiques – qui imposent chacun ses propres contraintes. En les analysant séparément, l’ouvrage permet de mieux en comprendre la synergie et,d’offrir, in fine, une vision d’ensemble des enjeux de la confiance et de la manière dont elle se se structure aujourd’hui sur Internet.

Cinéma: Entre l'art et l'argent

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