La burlesque équipée du cycliste

Ranked among the classic novels of the English language and the inspiration for several unforgettable movies, this early work of H. G. Wells was greeted in 1896 by howls of protest from reviewers, who found it horrifying and blasphemous. They wanted to know more about the wondrous possibilities of science shown in his first book, The Time Machine, not its potential for misuse and terror. In The Island of Dr. Moreau, a shipwrecked gentleman named Edward Prendick, stranded on a Pacific island lorded over by the notorious Dr. Moreau, confronts dark secrets, strange creatures, and a reason to run for his life.While this riveting tale was intended to be a commentary on evolution, divine creation, and the tension between human nature and culture, modern readers familiar with genetic engineering will marvel at Wells’s prediction of the ethical issues raised by producing “smarter” human beings or bringing back extinct species. These levels of interpretation add a richness to Prendick’s adventures on Dr. Moreau’s island of lost souls without distracting from what is still a rip-roaring good read.

L'Île du Docteur Moreau

«Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'un odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, au-dessous desquels se trouvait immédiatement une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque des lanières, étaient disposés en deux faisceaux de huit chacun. Depuis lors, avec assez de justesse, le professeur Stowes, le distingué anatomiste, a nommé ces deux faisceaux des mains.»

La guerre des mondes

Pourquoi la Terre est-elle bombardée, en permanence, par les rayons cosmiques ? Joseph Davis avance une hypothèse : ce phénomène ne serait pas purement mécanique. Il pourrait alors s'agir d'une action délibérée pour transformer la matière vivante.Quand on mesure le chemin parcouru depuis la naissance du globe, les mutations génétiques soulignent que l'évolution privilégie l'intelligence. C'est aussi pourquoi l'homme affine ses connaissances et accroît ses capacités intellectuelles, de siècle en siècle, en raison de ces mutations à peine discernables. Quelle entité, ou quelle race du cosmos, voudrait ainsi infléchir notre avenir ? Et dans quel but ?

Enfants des étoiles

"Die ersten Menschen auf dem Mond" ist ein Roman des britischen Schriftstellers Herbert George Wells. Das Buch wurde zum ersten Mal 1901 unter dem Titel "The First Men in the Moon" veröffentlicht. Im Bruns Verlag/Minden erfolgt im Jahr 1905 die Deutsche Erstveröffentlichung unter dem Titel "Die ersten Menschen im Mond".

Die ersten Menschen im Mond

C'est en hiver que l'étranger s'est installé à l'auberge du village d'Iping. Ses bandages, qui lui enveloppent entièrement la tête, sauf le nez, d'un rouge vif, lui donnent un aspect étrange, assez terrifiant, et les langues vont bon train.On l'aurait peut-être laissé en paix s'il n'avait pas retardé le paiement de sa note et s'il n'y avait pas eu un vol mystérieux au presbytère. Mandat est donné de l'arrêter, mais comment se saisir d'un personnage qui disparaît à mesure qu'il se dépouille de ses vêtements? Quant à l'étranger, obligé d'être nu pour échapper aux poursuites, il souffre cruellement du froid et de la faim.Ainsi débute l'aventure du savant qui a découvert la formule de l'invisibilité, un des romans les plus célèbres de Herbert George Wells et, par son invention et son humour, un des chefs d’œuvre de la littérature fantastique.

L'homme invisible

La machine à explorer le temps suivi l'île au docteur moreau.

Que recèlent les apparences paisibles des marais de Cainsmarsh? Les habitants ne sortent pas la nuit, ils vivent en proie à une angoisse terrible, qui gagne peu à peu le docteur Finchatton, nouvellement installé. Un danger plane. Et depuis toujours. Nul ne parvient à extirper la panique du cœur des hommes, des femmes, du sol lui-même, voilà ce que raconte au narrateur le jeune médecin sur la terrasse d'un hôtel où il est allé se reposer. Mais que croire? Qui croire? Finchatton est-il fou? Est-ce le narrateur, bien curieux joueur de croquet, il est vrai? Le conservateur de musée, le curé, le vicaire? Ou est-ce la vérité? Et si cela n'avait pas d'importance...

La burlesque équipée du cycliste

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