Après les « Échos du silence », voici « Seul, l'amour... ». Dans son livre "Lettre à l'Inconnue", André Maurois écrit : "Camille Belguise rappelle Joubert, parfois Sainte-Beuve dans les moments où il est tendre et délicat. Elle dit des choses admirables sur la nature et sur l'amour". On trouve dans « Seul, l'amour... » la même poésie secrète de la vie et la même résonance intime.

Seul, l'amour

Voici ce que nous apporte Camille Belguise : une sagesse attentive à l'harmonie cachée sous la discordance universelle, « la grâce d'aimer les choses proches », la poésie du quotidien et, surtout, la présence rayonnante de l'homme auquel l'ont unie le destin et l'histoire littéraire. Car Camille Belguise est Madame Jacques Chardonne. Le grand écrivain va s'éteindre, elle le pressent et goûte plus avidement encore les magies d'une pensée qui illumine tout ce qu'elle touche. Quand cette douceur de soir qui tombe aura basculé dans le néant, Camille Belguise, afin de la faire revivre, tentera de dominer sa douleur. Va-et-vient du refus à la révolte, avec des éclaircies d'acceptation toute chardonnienne...

La vie a tout dicté

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Seul, l'amour

Résumé

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